Sortie TMS n° 140928 - Marché traditionnel d'Agde 0 Marché traditionnel d'AgdeJe vous propose de faire un tour au marché traditionnel d'Agde qui a lieu toute l'année le jeudi de 8h à 12h30 sur La Promenade, autour des halles et place du Jeu de Ballon. A la recherche de légumes de producteurs locaux à Agde ? Les agathois et leurs voisins peuvent se rendre au marché pour acheter légumes, viandes, poissons mais aussi d'autres produits non alimentaire style vêtements, chaussures, articles de la maison, fleurs...En ce moment sur les marchés, vous pouvez acheter des haricots, des courgettes, des concombres, des radis, des choux, des petit pois, des aubergines. Pour les fruits, des abricots; des pêches, des fruits rouges, des prunes, des nectarines, des melons...Nous pourrons faire connaissance et discuter ensemble en marchant ou aller après à une terrasse si cela vous plaisir de vous - en vacances à Agde Avec précaution bien sûre, masque obligatoire et gel sur les stands. Merci de respecter les règles sanitaires en vigueur et les distances. Chacune règle ses achats et est responsable de ses actes. Je n'ai aucun intérêt financier à proposer cette sorite gratuite. Info TMS En publiant cette sortie, Marc067 s'est engagé à être présent à l'heure indiquée pour accueillir tous les participants, et à accompagner tous les participants pendant toute la durée de la sortie. Merci de vous connecter ou de vous inscrire gratuitement sur TMS pour Voir la liste des participants Voir les coordonnées exactes Voir les commentaires des participants Voir les profils détaillés des participants Et bien sûr... vous inscrire à cette sortie TMS

Mieux vaut tard que jamais pour faire son Mea Culpa. Comme l’a écrit ce bon vieux Charles, Le problème avec le monde, c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes tandis que les plus stupides sont pleins de confiance. J’ai longtemps été dans ma petite bulle parisienne, où la qualité d’une personne se mesure en fonction de son salaire. Décidé de ne pas attendre ma mort pour les bienfaits de la contrition, je prends un peu d’avance sur mon Mea qu’un branleur parisien ?Le branleur parisien est une espèce assez rare sur terre. Vous le reconnaîtrez facilement dans la rue, avec ses Airpods, sa petite mèche dans le vent, et son légendaire air hautain, capable d’énerver un moine qu’il est parisien, il travaille soit dans un groupe qui dirige le monde, soit dans une start-up. Il est au minimum CEO, voire Facilitateur agiliste / Dream Maker. Le stress du boulot? Il l’évacue facilement, en se réveillant avec PetitBambou, avec qui il retrouve la paix petit nuage d’été, on ferme le sternum, et on ouvre bien grand les chakrasLe branleur parisien, c’est celui qui va en week-end en Normandie, dans sa résidence secondaire. Il y va en train, car il aime partager des moments de fraternité. Non je déconne. Il prend sa voiture, seul, ou parfois accompagné de ses amis Marie Églantine et Pierre Edouard, qui veulent eux aussi voir si les gens parlent français en dehors du le parisien se croit supérieur à tout le monde. Il méprise le banlieusard, peut-être avec le même niveau de mépris que pour un provincial. Les seuls endroits qu’il respecte en France sont Courch’ pour le ski et Ajaccio pour se baigner l’ culpa et remise en questionDe mon côté, la bulle parisienne a perduré quelques années avant d’être percée. J’ai eu la chance d’avoir un électrochoc à 25 ans… Puis quelques idiots se baladant avec des kalashnikovs un soir d’automne m’ont aidé à me forcer à trouver un sens à ma vie. Finalement, je vous dois quelque chose une prise de conscience, une recherche d’éthique constante, et un refus du bullshit de plus en plus je me suis rendu compte de quelque chose mais qui es-tu, petit branleur ? Faire des power points, des stats sur excel, c’est ça la vie? T’es capable d’animer une formation sur le trading haute fréquence, mais t’es pas foutu de savoir si un fruit est de saison ?? Soyons honnêtes je ne sais rien faire de mes mains. Lâchez-moi en forêt, je ne tiens pas 24H. Même les sangliers se foutraient de ma voire mépris des agriculteursJe crois que le pire, c’est de partir tellement loin dans les idées, dans la fumisterie au travail, qu’on en oublie les fondamentaux ce que l’on mange dans nos assiettes. Et ce que nous mangeons, nous le devons en grande partie à nos agriculteurs. Pendant que j’ai les fesses au chaud derrière un ordinateur 8h par jour, certains agriculteurs subissent le froid, la canicule, tout cela sans un jour de repos et pour gagner 10 fois me rappelle avoir demandé avec étonnement en plein cours de finance pourquoi l’agriculteur ne prenait pas un future pour se hedger, au lieu de se plaindre. En français, cela veut dire acheter un contrat financier pour se protéger contre les aléas du prix futur de sa récolte, en étant sûr de vendre sa récolte à un prix donné, une date donnée. Bah ouais Michel, pourquoi, en plus de te lever à 5h pour travailler 16h par jour et gagner un salaire qui très souvent n’atteint même pas le RSA, t’es pas expert sur le marché des matières premières ? Putain, ça me dépasse sur l’autosuffisance… AlimentaireLa prof avait eu un léger rictus. Moi, en y repensant, j’ai envie de me taper la tête contre le mur. Petit rappel en France, 1 Français sur 100 produit la nourriture des 99 autres. S’il y en a un qui doit bien le respect à l’agriculteur, c’est le consultant innovation fraîcheur de Putaing, là-bas, j’aperçois un connard parisien avec des Airpods !On prend pour acquis le fait de manger chaque jour, ce que l’on veut, quand on veut. On commence même à pleurnicher quand UberEATS est en retard. Tout cela, c’est naturel ! Nous sommes complètement à la ramasse sur ces questions d’autonomie n’est jamais trop tard pour se poser les bonnes questions. Notre système alimentaire est-il à l’abri de perturbations majeures ? J’ai entendu et lu à plusieurs reprises que l’autonomie alimentaire de la ville de Paris était 72H. En 1800, Paris était autosuffisant alimentairement. Personne s’inquiète les gars ? Que se passe-t-il si les 30000 semi-remorques qui traversent chaque jour notre pays pour nous alimenter se prennent quelques jours de congés ?Chaque département exporte la quasi-totalité de sa production agricole et importe la quasi-totalité de sa nourriture. Autonomie, 0. Comme les powerpoints ne se mangent pas, je ne suis pas très sociétal du travailAvant de creuser le sujet du travail et de son impact sur le climat dans un prochain article, j’aimerais partager un sentiment. Toujours dans l’optique de se remettre en question, j’aime poser la question de l’intérêt sociétal d’un travail. Qu’est ce que mon travail apporte concrètement à la société ? Mon travail apporte-t-il plus qu’ par exemple ?Ainsi, j’ai en tête vaste sujet d’indexer le salaire d’un travail sur son utilité. Vous imaginez bien que le consultant d’un big four qui fait des powerpoints toute la journée, il repasse au SMIC, pour commencer. L’agriculteur, qui nourrit des milliers de bouches, il voit en revanche son salaire augmenter. Je vous laisse deviner ce que je pense de l’influenceuse sortie tout droit de la télé-réalité qui vit à Dubaï… Ce n’est plus Fillon rends l’argent, mais NABILLA RENDS L’ARGENT !!Si t’as pas de sac à 300000€ avant tes 50 ans, c’est que t’as raté ta l’exercice, interrogez votre entourage, vous verrez que les débats sont en général passionnants. Gardez bien en tête que si votre activité nuit à la planète, vous devez la remettre en question. Si votre travail flingue la planète, vous devez vous demander moi le premier si vous ne devriez pas changer, ou tout faire pour le changer de l’intérieur. C’est ce que je m’efforce de faire, quitte à passer pour un écologiste extrémiste depuis un bon moment au bureau. Ethique > Culpa, le mot de la finSi vous vous êtes mal comporté, repentez-vous, faites amende honorable et promettez de mieux vous comporter la fois prochaine. Ne ressassez pas vos erreurs. Se traîner dans la boue n’a jamais été le meilleur moyen de se nettoyer’. – Aldous Huxley avait vu juste, je me sens égoïstement mieux, après cette séance de toute chose, le message derrière ce Mea Culpa, c’est l’humilité. Il va falloir redescendre de notre piedéstal, dégonfler le melon, et se rappeler que nous ne sommes que de passage sur notre belle planète. Avoir un peu plus de respect pour les gens qui nous nourrissent, pour les personnes qui nous permettent de jouer de la flûte toute la journée dans un bureau climatisé. Je crois que des stages NATURE feraient du bien au plus grand nombre. Se rapprocher de la nature, des champs, de la forêt, comprendre ce qu’est la biodiversité, qu’on flingue encore plus vite que le Russell disait Le problème en ce bas monde est que les imbéciles sont sûrs d’eux et fiers comme des coqs de basse cour, alors que les gens intelligents sont emplis de doute. Alors je ne sais pas trop où me situer, car je suis fier comme un coq d’être empli de la question de l’utilisation des futures, les agriculteurs considèrent régulièrement la possibilité de se couvrir sur le MATIF. Toutefois, les frais d’achat Marges des intermédiaires sont très élevés pour ces particuliers et ne rendent pas toujours très intéressantes ces stratégies de couverture. ReplyVous m’avez fait bien rire avec cet article… Moi aussi les sangliers se foutraient de ma gueule et j’ai toujours un peu de mal à distinguer les potirons/courgettes/navets/citrouille/chouxFaut vraiment que je me mette au travail !A bientôt sur ce blog ReplyCor 21 August 2021C’est une très bonne chose d’avoir pris conscience de tout ce qui existe en dehors des villes. Pour autant, est-ce que ce mea-culpa suffit à se repentir de votre “vie d’avant”? Où étiez vous en 2009 lors de la grève du lait ? crise qui n’est toujours pas désamorcée faute de soutien de la population aux paysans. Où étiez-vous, 1 mois avant le début des gilets jaunes,lorsque les paysans avaient commencé à bloquer les raffineries pour protester contre la hausse des prix des carburants ? Et ensuite venir réclamer les tracteurs et remorques pour bloquer les routes …La vraie question à se poser après ce mea-culpa est qu’est-ce que je fais à mon échelle pour l’agriculture française ? Pour garantir à mon pays l’indépendance alimentaire,la force industrielle? On a laissé partir l’industrie textile et maintenant on a perdu le savoir-faire pour la laine par exemple. des entreprises relancent la laine française mais sont obligées de faire réaliser le lavage en Belgique et en Italie de mémoire faute de connaissances, alors qu’on savait le faire avant ! Vous parlez du bio mais le bio ne sauvera pas le monde. Toutes les maladies et plantes toxiques qu’on ne saura pas éliminer sans traitement seront un risque pour notre santé. Rien qu’en Europe,on n’a pas les mêmes exigences sur le bio. La France importe du bio d’Espagne qui est traité avec certains produits interdits en France depuis les années 80! Et c’est pourtant étiqueté “bio” en France ! Le chemin est encore long et la seule chose qui sauvera la France dans son ensemble c’est le consommer local, seule garantie de production et seule solution pour rémunérer correctement les paysans, pour réduire la taille des fermes et multiplier leur nombre ReplyJ’ai la chance d’être petite-fille et nièce d’agriculteurs, fille et nièce de très bon jardiniers de potagers et pratique aussi tout en habitant une grande ville composteur compris !. Je suis très respectueuse et en connais le prix de celles et ceux qui travaillent la terre. Pour la question de l’utilité de nos activités professionnelles, je vous recommande le livre “L’entreprise altruiste” très inspirant a l’aube d’une nouvelle rentrée… ReplyMerci pour cet article plein d’humour et de vérité. Une prise de conscience qui a été la mienne, il y a 1 an et demi et qui m’a fait lâcher mon poste de directrice RSE d’un grand groupe, pour lancer mon association sur le thème du retour à la terre, ne suis pas une branleuse parisienne, mais lyonnaise ! mais c’est tout comme 😉 je vous invite à découvrir notre chaîne youtube qui valorise tout un tas d’initiative sur le thème du retour à la terre. encore merci pour cet article que je vais relayer !! ReplyNous vivons effectivement dans une société où l’éthique est supplantée par la recherche égoïste d’un plus grand pouvoir, prestige ou confort. Bertrand Russell s’écrit avec deux L. ReplyC’est mis à jour, merci ! Pas faute d’avoir plusieurs livres de lui en plus… ReplyNouveau sur le blog arrivé via un com d’une vidéo du Shift Project et MERCI ! L’article est excellent, un concentré de bon sens et d’intelligence ! ReplyComme quoi je devrais commenter un peu plus sur Youtube ! Merci pour ton message et merci de me lire 😉 ReplyMerci “mon” pote pour ton article sur ta vision de l’agriculture, en plus de bien m’avoir fait rire, il me parrait sincère 😉. Je suis agriculteur, si tu cherche un regard sincère sur notre profession, je suis disposé à te répondre. Merci de me contacter sur Thierry Au plaisir ReplyMerci Thierry pour votre retour. Je suis depuis 5h non stop en train de lire sur votre beau métier, j’en ai pour l’année je crois ! ReplyFX 23 July 2020stage nature c’est encore un truc de branleur. par contre ramener la nature dans les villes, ca c’est disruptif 😉 ReplyJ’ai changé depuis, j’ai fait le marché 2 fois et acheté des tomates bio ! Replyback to basics… La conclusion est bonne 😉 ReplyBonjour Antoine, merci pour le lien ! Pourquoi estimez-vous que Laval est un bon endroit pour ce genre de projet ? Avez-vous fait une étude d’impact en cas de sécheresse, ou manque d’approvisionnement ? Si vous avez un document plus complet, je serais ravi de le lire. N’hésitez pas à me joindre sur les réseaux sociaux ou par email bonpoteofficiel ReplyJ’aime beaucoup l’idée salaire vs utilité ! Merci pour cet article plein de sens, d’humilité et d’humanité ReplyL’auto-dérision, l’opium du peuple ReplyLeave a Reply

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Aprèsles plages confidentielles en Bretagne où s’étendre et les endroits secrets en bord de mer où prendre une grande bouffée d’air marin, EnVols, aidé du Comité régional de Tourisme de Bretagne, dévoile une liste (non exhaustive) de lieux bretons emblématiques à visiter absolument.. Le Golfe du Morbihan . On dit qu’elle est l’une des plus belles baies du monde.

Les semences paysannes sont désormais suffisamment reconnues par la loi pour pouvoir être vendue légalement ce qui n’était pas le cas jusqu’à présent. Pour participer à cette superbe histoire d’indépendance alimentaire autant que de sauvegarde de la biodiversité, procurez-vous des graines chez des semenciers de convictions, c’est une manière de les soutenir. Rédigé par , le 22 Feb 2021, à 7 h 56 min Les semences paysannes sont un enjeu de sécurité alimentaire mais également un enjeu moral qui rejoint d’une certaine manière le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. En effet, comment pourrions-nous accepter de ne pas avoir le droit de reproduire des plantes que l’on a nous-même fait pousser et ainsi d’être légalement obligés de racheter des graines aux multinationales ? Le combat a été mené et les choses ont désormais changées… Enfin ! Et merci à tous ceux qui n’ont rien lâchés ! Il reste encore du chemin à parcourir avant leur reconnaissance pleine et entière mais ce premier pas est particulièrement prometteur. Qui sont les semences paysannes ? Les semences paysannes sont des semences traditionnellement produites par des agriculteurs et des jardiniers amateurs pour leurs propres besoins ou ceux de proches, tels que voisins, collègues et amis. Les semences paysannes ne sont pas inscrites au catalogue officiel car elles sont moins stables dans le temps que les variétés conventionnelles par exemple modifiées génétiquement ou hybridées F1 », etc.. Le fait qu’elles ne puissent être inscrites dans ce catalogue officiel les a rendus tout simplement illégales jusqu’au 11 juin dernier, une belle manière de favoriser les grands semenciers au détriment des petits producteurs. Elles sont aussi et surtout ? le fruit d’un savoir-faire et d’une transmission locale notamment quant à leur utilisation sur un territoire et dans des conditions particulières. Semence paysanne – La souveraineté alimentaire est un enjeu colossal auquel vous pouvez participer © photka Lire aussi Calendrier des semis quand et comment faire ses semis ? Pourquoi est-ce une bonne chose de choisir la semence paysanne ? Les particuliers peuvent désormais acheter ces semences en toute légalité. Le premier pas vers cette autorisation à été engagé avec la loi biodiversité de 2016 même si l’autorisation de la semence paysanne a été ensuite retiré du texte. En juin dernier une loi les a – enfin – autorisées et c’est une excellente chose pour la biodiversité avec des milliers de variétés qui arrivent sur le marché ! Mais acheter des graines bio de semence paysanne, c’est aussi et surtout travailler à une indépendance alimentaire, à une sécurité alimentaire même, car seuls quelques semenciers détiennent tous les brevets des semences partout dans le monde. Où acheter des semences paysannes ? Avec cette propriété mondiale sur les semences vient un pouvoir phénoménal ; en achetant désormais ailleurs que chez eux, vous faites pencher la balance vers plus de liberté. Kokopelli S’il est bien un endroit où acheter ces semences bio et paysannes, c’est chez Kokopelli sans qui et grâce aussi au Réseau Semences Paysannes vous ne seriez certainement pas en train de lire cet article. Association créée en 1999 justement pour faire valoir les semences paysannes face aux multinationales, Kokopelli a engagé presque autant de frais de justice pour la cause que d’actions en tous genres. Kokopelli Réseau Semences Paysannes Germinance C’est dans la sève même de Germinance que de produire, faire produire et vendre des semences paysannes à la fois en agriculture biologique et biodynamique. Leur catalogue est riche et, ce qui ne gâche rien, très beau avec nombre d’aquarelles magnifiques. Germinance Ferme Sainte Marthe Créée en 1974, rien que ça, la Ferme de Sainte Marthe produit uniquement des graines de semences paysannes en agriculture biologique, en petits volumes pour les particuliers comme en gros volumes pour les maraîchers et autres agriculteurs. Leur professionnalisme, la taille de leur catalogue vraiment complet ils sont vraiment balaises en haricots et en variétés anciennes et la qualité de leur service vous permettent d’y aller les yeux fermés. Ferme de Sainte Marthe Semailles Semailles se bat littéralement pour la sauvegarde des variétés potagères au voie de disparition autant en France qu’en Belgique. Et en Belgique justement, 90 % du patrimoine légumier a pratiquement disparu et le métier d’artisan semencier avait totalement disparu du territoire depuis 1950. Achetez chez eux c’est aussi, si vous êtes Français, avoir l’esprit européen. Semailles Le Biau Germe Fondé en 1982, Biaugerme est un groupement de producteurs de graines bio militants pour les semences paysannes, la libération du savoir qui les accompagne et pour la sécurité alimentaire de tous… Un dénominateur commun avec tous les autres producteurs et vendeurs de semences paysannes ! Biaugerme Les semences, graines donc, sont au tout début de l’aventure et donc essentielles © photolona Il existe bien sûr d’autres grainetiers mais qui ne sont pas forcément tous très militants ou qui se positionnent un peu sur le tard maintenant que le marché est ouvert. Ces producteurs se repèrent assez facilement en fonction du pourcentage de graines bio qu’ils vendent, du fait qu’ils vendent souvent des variétés F1 et autres hybrides en plus des semences paysannes et qu’ils revendent aussi très souvent des produits chimiques de lutte contre les nuisibles » terminologie qui n’est plus utilisée depuis longtemps par ceux qui ont pris la peine de comprendre le fonctionnement de la Nature et des écosystèmes. Les semences – Un patrimoine vital en voie de disparition de Pierre Rabhi et Juliette Duquesne 75 % des variétés de semences ont disparu en un siècle. Or elles sont la base même de la vie. Comment expliquer, alors, que ce sujet crucial ait été si longtemps maintenu hors de portée et de compréhension du grand public ? À découvrir sur Illustration bannière Les semences paysannes ont désormais un sacrément bel avenir © Nopparat Promtha consoGlobe vous recommande aussi... Rédigé par Julien Hoffmann Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rédacteur .