La cinquième saison des Marseillais VS Le Reste du monde débute, ce lundi 31 août, sur W9. Découvrez les 27 candidats !Événement, ce lundi 31 août sur W9, avec le lancement de la cinquième saison des Marseillais VS Le Reste du monde ! Le programme de télé-réalité le plus populaire de la télévision fait son grand retour après un tournage perturbé par l'épidémie de Covid-19. À l'occasion de ce lancement, Télé Star vous propose de découvrir qui sont les 27* candidats qui vont s'affronter, cette année, pour aller décrocher le côté des Marseillais, l'équipe sera, bien évidemment, emmenée par Julien Tanti. Le Roi des problèmes n'a pas du tout envie de lâcher son rôle de chef de famille. Au départ de l'aventure, il sera accompagné de cinq autres Marseillais Jessica Thivenin, qui fait son grand retour dans l'aventure après avoir donné naissance à Maylone, Benjamin Samat, qui vivra sa première aventure sans Alix, Carla Moreau, Greg Yega et Victoria Mehault. Cette dernière est l'une des trois candidates des Marseillais aux Caraïbes à avoir gagné sa place pour cette nouvelle aventure. Les deux autres sont Océane El Himer et Éloïse qui arriveront, au cours de l'aventure. Les autres Marseillais de cette cinquième saison sont Maeva Ghennam, Kévin Guedj, Paga, Nacca et Thibault Garcia, qui fait, lui aussi, son grand de petits nouveaux chez le Reste du mondeDu côté du Reste du monde, beaucoup de nouveautés ! Nikola Lozina et Milla Jasmine, tous les deux présents dès le début de l'aventure, seront les chefs d'une famille recomposée. Ce lundi, pour le lancement, ils seront d'ailleurs accompagnés de quatre petits nouveaux Angèle Salentino, gagnante de Love Island, Antoine Goretti, vu dans La Villa des coeurs brisés, Marvin Anthony, passé par Love Island et Marine El Himer, sœur jumelle d'Océane. Ils seront rejoints, au cours de l'aventure, par huit autres candidats Mélanie Da Cruz, ancienne de Secret Story qui fait son grand retour dans le monde de la télé-réalité, Ricardo et Nehuda, eux aussi de retour après plusieurs mois d'absence, Illan Castronovo, rare habitué du programme, Mudjat Saglam, alias "le mec à Milla", Kévin Zampa, vu dans La Villa des coeurs brisés, Inès Sberro, candidate des Princes et Princesses de l'Amour et Charlotte Bobb, ancienne candidate à l'élection de Miss France et aperçue dans Les Princes et Princesses de l'Amour, elle aussi.* En réalité, ils seront 29 puisque Manon Tanti et Laura Lempika, toutes les deux enceintes, participeront, par intermittence, au programme sans participer, à proprement parlé, à la compétition. Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités © Amelie FERRARI/W9 2/28 - Jessica Jessica Thivenin fait son retour Les Marseillais © Amelie FERRARI/W9 3/28 - Benjamin Benjamin Samat Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 4/28 - Angele Angele Salentino est la gagnante de Love Island Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 5/28 - Carla Carla Moreau Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 6/28 - Greg Greg Yega Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 7/28 - Julien Julien Tanti, une nouvelle fois, en chef de famille Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 8/28 - Maeva Maeva Ghennam Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 9/28 - Marvin Marvin Anthony a participé à Love Island Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 10/28 - Melanie Melanie Da Cruz fait son grand retour Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 11/28 - Milla Milla Jasmine, candidate emblématique du Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 12/28 - Antoine Antoine Goretti, vu dans La Villa des coeurs brisés Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 13/28 - Victoria Victoria Mehault Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 14/28 - Kevin Kevin Zampa vu dans La Villa des coeurs brisés Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 15/28 - Kevin Kevin Guedj, fidèle au poste Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 16/28 - Nehuda Nehuda fait, elle aussi, son retour Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 17/28 - Paga Paga, indéboulonnable Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 18/28 - Ricardo Ricardo, une arrivée de poids chez le Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 19/28 - Ines Ines Sberro, vue dans Les Princes et princesses de l'amour Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 20/28 - Nikola Nikola Lozina, toujours chef du Reste du monde ? © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 21/28 - Illan Illan Castronovo Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 22/28 - Oceane Oceane El Himer Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 23/28 - Marine Marine El Himer sera opposée à sa jumelle Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 24/28 - Thibault Thibault Garcia Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 25/28 - Charlotte Charlotte Bobb, aperçue dans Les Princes et princesses de l'amour Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 26/28 - Mujdat Mujdat, "le mec à Milla" Reste du monde © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 27/28 - Eloise Eloise Les Marseillais © Amelie FERRARI / Agence 1827 / W9 28/28 - Nacca Nacca Les Marseillais
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Alors qu’elle se dirige vers la gare centrale de Marseille, Eda Nano nous montre du doigt ce qui ressemble à un lampadaire dans la rue des Abeilles. Le long pied s’incurve à son sommet, où est fixé un dôme blanc abritant une ampoule de couleur foncée. En fait, cette élégante pièce de mobilier urbain n’est pas un réverbère, mais une caméra de vidéosurveillance qui permet d’avoir une vue à 360 degrés sur la ruelle. Eda Nano, une développeuse de 39 ans, veut faire prendre davantage conscience aux Marseillais qu’ils sont surveillés. Elle fait partie d’un groupe appelé Technopolice qui organise différentes actions pour cartographier la montée en puissance de la vidéosurveillance. Avec quelque 1 600 caméras installées dans la ville, il y a fort à faire ! Parmi celles-ci, on trouve aussi, selon Eda Nano, une cinquantaine de caméras “intelligentes”, conçues pour détecter et signaler les comportements suspects, mais elle ne sait pas exactement où elles se trouvent, ni comment elles sont utilisées. Dans le monde entier, les caméras de vidéosurveillance font désormais partie intégrante du paysage urbain. De nombreuses villes chinoises en possèdent des réseaux très denses. Londres et New Delhi ne sont pas à la traîne. Aujourd’hui, la France cherche à rattraper son retard. Depuis 2015, l’année de l’attentat terroriste du Bataclan, le nombre de caméras à Paris a été multiplié par quatre. La police a d’ailleurs utilisé ce genre de dispositifs pour faire appliquer les mesures de confinement durant la pandémie et surveiller des manifestations, notamment celles des “gilets jaunes”. Une nouvelle loi de sécurité nationale, adoptée l’an dernier, autorise la police à procéder à de la vidéosurveillance par drones lors d’événements comme des manifestations ou des défilés. Les libertés sont fragiles Pour Eda Nano, cette surveillance qui s’insinue de plus en plus évoque des souvenirs liés à sa vie personnelle. Elle a en effet grandi en Albanie, à l’époque où le pays était sur le point de basculer vers un autre régime politique dans les années 1990. Son père, un homme politique, s’opposait au parti au pouvoir. “C’était une période très difficile pour nous, car nous étions tous surveillés”, raconte-t-elle. Sa famille soupçonnait les autorités d’avoir installé des micros dans les murs de leur maison. Mais même en France, les libertés sont fragiles. “Ces cinq dernières années, la France a vécu la plupart du temps en état d’urgence, et j’ai pu constater que notre liberté était soumise à de plus en plus de contraintes.” Si cela suscite des inquiétudes dans tout le pays, le déploiement de la vidéosurveillance rencontre une résistance particulière à Marseille, la deuxième plus grande ville de France. Cette cité méditerranéenne, turbulente et rebelle, est située sur une de ces lignes de faille qui traversent la France moderne. Connue pour ses bars branchés, ses ateliers d’artistes et ses centres de création d’entreprises, elle est aussi réputée pour ses problèmes de drogue, de pauvreté et de délinquance. Avec une population parmi les plus diversifiées d’Europe sur le plan ethnique, elle se trouve échouée en Provence-Alpes-Côte d’Azur, une région qui penche à l’extrême droite. La ville se défend. “La vie est rebelle”, ce graffiti sur lequel on tombe en arrivant en voiture par l’autoroute A7 résume bien son attitude. Pour toutes ces raisons, Marseille est un terrain d’essai intéressant pour les technologies de vidéosurveillance. Lorsque Emmanuel Macron s’est rendu en visite dans la ville en septembre 2021, il a annoncé l’aide de l’État pour le financement de 500 caméras de vidéoprotection supplémentaires, censées être placées dans des quartiers de la ville qui abritent un grand nombre d’immigrés et dont le nom évoque la violence et le règne des bandes organisées [les quartiers nord]. Dans un souci d’incarner l’ordre, le président français a fini son discours en affirmant “Si nous ne réussissons pas à Marseille, nous ne pourrons pas faire réussir le pays.” Cette annonce n’était que la dernière d’une série de décisions qui traduisent une dépendance accrue de Marseille aux caméras dans l’espace public. Mais les militants, qui soulignent les excès et les lacunes du système de vidéosurveillance existant, ne veulent pas s’en laisser conter pour autant. Défense des droits numériques C’est ainsi que Technopolice, une campagne soutenue par un réseau d’activistes, a vu le jour en 2019 à l’initiative d’une association de défense des droits numériques, La Quadrature du Net, en collaboration avec d’autres associations. Félix Tréguer, c
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