đŸŸ Convention Collective Nationale Production Agricole Et Cuma

Unenouvelle Convention Collective Nationale pour la production agricole et les CUMA. Une nouvelle Convention Collective Nationale (CCN) s’appliquera de maniĂšre obligatoire dans les exploitations agricoles et les CUMA. Elle a Ă©tĂ© signĂ©e le 15 septembre 2020, par les partenaires sociaux de l’agriculture. Elle sera effective au 1 er avril 2021. Elle s’applique intĂ©gralement sur
Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1er avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français - aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ;- aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ;- aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ;- aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ;- aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020 Copyright Les Echos Publishing – 2020
NOUVELLECONVENTION COLLECTIVE NATIONALE PRODUCTION AGRICOLE ET CUMA. A compter du 1er avril 2021 une nouvelle convention collective nationale (CCN) entre en vigueur. Elle concerne tous les employeurs et les salariĂ©s de la production agricole et des CUMA. ConformĂ©ment Ă  l’arrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020 publiĂ© au JORF n° 0009 du 10 janvier 2021, Ă  La convention collective nationale de la production agricole et des Cuma entrera en application en 2021. PrĂ©cisĂ©ment, au premier jour du trimestre civil suivant la publication de son arrĂȘtĂ© d'extension au Journal Officiel. Soit le 1er janvier si celui-ci est publiĂ© au plus tard le 31 dĂ©cembre 2020 ou Ă  compter du 1er avril si la publication est postĂ©rieure. Le principal changement de la nouvelle convention collective nationale est la mise en place d'une grille de classification des emplois et d'une grille de salaires nationales. Celles-ci s'appliqueront aux nouveaux salariĂ©s dans l'entreprise, mais aussi Ă  ceux dĂ©jĂ  en poste. CrĂ©dit Auremar - DĂšs 2021, les exploitations agricoles qui embauchent des salariĂ©s devront appliquer partout en France une seule et mĂȘme convention collective celle dite de la production agricole et des Cuma » signĂ©e entre la FNSEA, la FNCuma et les organisations syndicales de salariĂ©s CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO. Elle concerne les exploitations de culture et d'Ă©levage ; les Ă©tablissements de toute nature dirigĂ©s par l'exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement, de la commercialisation de produits agricoles dans le prolongement de l'acte de production ; les structures d'accueil touristique en lien direct avec l'exploitation ; les coopĂ©ratives d'utilisation du matĂ©riel agricole. Elle s'applique Ă©galement aux Ă©tablissements de pisciculture. A la veille de sa mise en application, voici les rĂ©ponses aux principales questions concernant cette convention collective avec Pascal Servier, prĂ©sident de la commission emploi formation Ă  la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et Luc Pierron, membre de cette commission, qui a participĂ© au groupe de travail FNSEA sur le sujet. Pascal Servier, prĂ©sident de la commission emploi formation de la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et Ă©leveur en transformation fromagĂšre dans le Puy-de-DĂŽme. CrĂ©dit Pamac 1 - Pourquoi une convention collective nationale ? C'Ă©tait une volontĂ© des gouvernements successifs de restructurer le paysage conventionnel et de diminuer le nombre de conventions collectives dans tous les secteurs d'activitĂ© », rappelle Pascal Servier. En France, il existait plus de 140 conventions collectives applicables aux entreprises agricoles, souvent Ă©tablies Ă  l'Ă©chelle des dĂ©partements. Cette multitude d'accords territoriaux n'Ă©tait peut-ĂȘtre plus en cohĂ©rence avec le terrain. Certains accords jouaient d'une histoire longue, autour d'Ă©vĂšnements qui ont amenĂ© les nĂ©gociateurs Ă  ces solutions mais qui aujourd'hui n'Ă©taient pas Ă  la hauteur des enjeux pour notre agriculture », poursuit le prĂ©sident de la commission emploi formation Ă  la FRSEA Aura. Cette convention clarifie aussi un certain nombre de choses car aujourd'hui l'agriculture ne se discute plus seulement par dĂ©partement ou par filiĂšre. Nous avions besoin de cette harmonisation pour que les employeurs sur les territoires aient le mĂȘme langage et qu'ils aient la lisibilitĂ© nĂ©cessaire sur les emplois qu'ils dĂ©finiront demain », indique Pascal Servier. 2 - Qu'est ce qui change dĂšs l'entrĂ©e en application de la convention nationale ? Le principal changement, c'est la mise en place d'une grille de classification des emplois et d'une grille de salaires nationales. Celles-ci s'appliqueront aux nouveaux salariĂ©s dans l'entreprise, mais aussi Ă  ceux dĂ©jĂ  en poste. Jusqu'Ă  prĂ©sent les salaires sur nos exploitations Ă©taient Ă©tablis Ă  partir de niveaux et d'Ă©chelons. DĂ©sormais nous allons fonctionner par palier, avec une classification des emplois basĂ©e sur les compĂ©tences et donc des critĂšres qui vont nous permettre de classer ces compĂ©tences », prĂ©cise Luc Pierron. Luc Pierron, membre de la commission emploi formation de la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et viticulteur dans le RhĂŽne. Il a participĂ© au groupe de travail FNSEA sur la nouvelle CCN. CrĂ©dit Information agricole du RhĂŽne 3 - En quoi consiste la classification des emplois ? Les employeurs qui ont participĂ© aux groupes de travail de la FNSEA ont pu dĂ©finir collectivement des critĂšres qui sont universels la technicitĂ©, l'autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel », explique Luc Pierron. A chacun de ces critĂšres correspondent, dans la convention collective, des degrĂ©s et des points qui vont permettre de dĂ©terminer le coefficient de l'emploi occupĂ© par le salariĂ© et son niveau de rĂ©munĂ©ration. C'est donc l'Ă©tape la plus importante Ă  laquelle les employeurs doivent s'attacher dĂšs Ă  prĂ©sent Ă©tablir la classification des diffĂ©rents emplois sur l'exploitation selon ces nouveaux critĂšres. Luc Pierron invite les exploitants Ă  saisir l'opportunitĂ© offerte par cette classification. Elle va permettre de faire un point sur toutes les compĂ©tences dont nous avons besoin sur nos exploitations. Une fois que nous aurons rĂ©alisĂ© ce travail de classification, les choses seront plus simples, notamment quand il s'agira de remplacer, d'accueillir une nouvelle personne sur le poste », estime-il. Il recommande Ă©galement de classifier les emplois sur la base des missions les plus courantes, celles que le poste exige de maniĂšre rĂ©guliĂšre, pas sur des tĂąches ponctuelles ou exceptionnelles. 4 - Quelles consĂ©quences aura cette classification ? Une fois la classification de l'emploi rĂ©alisĂ©e, elle permettra d'obtenir le coefficient de l'emploi et de dĂ©terminer Ă  quel palier Ă©tablir le salaire minimum pour un poste donnĂ©. Les salariĂ©s dĂ©jĂ  en poste devront donc faire l'objet d'un repositionnement dans la grille nationale de classification. Il n'y aura en effet pas de concordance entre les anciennes grilles dĂ©partementales et la grille nationale. Si le nouveau classement devait conduire Ă  une rĂ©munĂ©ration horaire infĂ©rieure, le salariĂ© conservera le bĂ©nĂ©fice de sa rĂ©munĂ©ration actuelle. L'objectif de cette nouvelle convention, c'est vraiment de valoriser les compĂ©tences requises par l'emploi valoriser la personne mais au travers du poste qu'elle occupe et favoriser son Ă©volution professionnelle », explique Luc Pierron. 5 - Que deviennent les conventions collectives locales ? On n'en compte pas moins de douze en Auvergne RhĂŽne-Alpes1 s'appliquant soit Ă  l'Ă©chelon dĂ©partemental, soit Ă  l'Ă©chelon RhĂŽne-Alpes pour les cadres. DĂšs son entrĂ©e en application, c'est la convention collective nationale qui prend le pas sur les accords territoriaux. Elle devient alors la rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de classification des emplois et de grille de salaire. Pour le reste, les accords locaux continuent de s'appliquer s'ils sont plus favorables pour le salariĂ© », souligne Luc Pierron. Et aprĂšs ? Demain la discussion va s'ouvrir pour savoir si nous devons maintenir, amĂ©liorer ou modifier toutes ces lignes. L'enjeu, c'est de donner une cohĂ©rence par rapport Ă  l'exigence des mĂ©tiers et aussi par rapport Ă  la vision que les salariĂ©s ont du travail dans lequel ils Ă©voluent. Il y aura peut-ĂȘtre aussi des questionnements sur des spĂ©cificitĂ©s dans certaines filiĂšres », reconnaĂźt Pascal Servier. Mais il conclut L'avantage de cette convention nationale, c'est qu'elle nous ouvre un nouveau champ de discussion avec les organisations syndicales de salariĂ©s. Cela ne peut qu'ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour aller vers une rĂ©elle adaptation aux besoins des diffĂ©rents mĂ©tiers en agriculture ». 6 - Vers qui se tourner pour ĂȘtre accompagnĂ© dans ses dĂ©marches ? Les employeurs peuvent se tourner dĂšs maintenant vers leur fĂ©dĂ©ration dĂ©partementale ou leurs reprĂ©sentants employeurs pour prendre connaissance et ne pas ĂȘtre surpris par la mise en application de cette convention collective », conseille Pascal Servier. Luc Pierron se veut Ă©galement rassurant Tout changement est perturbant bien sĂ»r. Mais les employeurs seront aidĂ©s et il y aura un temps d'adaptation ». 1. En Franche-ComtĂ©, il existe un accord rĂ©gional unique qui s'applique aux exploitations agricoles, Cuma et entreprises de travaux agricoles et forestiers. En SaĂŽne-et-Loire, un accord dĂ©partemental concerne les exploitations agricoles.
DéplierPremiÚre partie : ImpÎts d'Etat (Articles 1 à 310 G quinquies) Déplier Titre premier : ImpÎts directs et taxes assimilées (Articles 1 à 171 BL) Déplier Chapitre premier : ImpÎt sur le revenu (Articles 1 à 95 ZN) Déplier Section I : Détermination des bénéfices ou
» Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1er avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français – aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ;– aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ;– aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ;– aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ;– aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020 © 2021 Les Echos Publishing - Coralie Carolus Mar 09, 2021
Pourl'application des dispositions de l'article 39 bis A du code général des impÎts, sont regardés comme consacrés pour une large part à l'information politique et généra
Applicable Ă  compter du 1 avril 2021, une convention collective nationale instaure une classification et une grille de salaires minima pour tous les salariĂ©s de la production agricole et des Cuma. Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1 avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français - aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ;- aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ;- aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ;- aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ;- aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site . En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020 © Les Echos Publishing - 2021 CONVENTIONCOLLECTIVE NATIONALE DE LA PRODUCTION AGRICOLE ET DES CUMA. CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DE LA PRODUCTION AGRICOLE ET DES CUMA UNE NOUVELLE CLASSIFICATION DES EMPLOIS La convention collective nationale agricole instaure une nouvelle classiïŹcation des emplois qui s’impose Ă  tous. BasĂ©e sur des compĂ©tences et 6 avril 2021 Patrimoine info Les employeurs et salariĂ©s de la production agricole et des CUMA ainsi que ceux des entreprises de travaux et de services agricoles, ruraux et forestiers ETARF ont dĂ©sormais leur propre convention collective nationale CCN. Ces deux conventions collectives nationales production agricole/CUMA et ETARF sont entrĂ©es en vigueur le 1-4-2021. Elles sont disponibles sur CCN production agricole/CUMA Sont concernĂ©s par cette nouvelle convention – les exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© de culture et d’élevage de quelque nature qu’elles soient ; – les Ă©tablissements de toute nature dirigĂ©s par l’exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ; – les structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ; – les Ă©tablissements de pisciculture et les activitĂ©s de pĂȘche maritime Ă  pied professionnelle, sauf pour les personnes qui relĂšvent du rĂ©gime social des marins ; – les CUMA. La convention ne s’applique pas en revanche aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de courses, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Le principal apport de cette convention est l’instauration d’une grille de salaire unique salaires minima et d’une classification des emplois Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. CCN du 15-9-2020, Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 2-12-2020, JO du 10-1 CCN ETARF Sont concernĂ©Es par cette nouvelle convention – les entreprises de travaux et services agricoles et ruraux ; – les entreprises de travaux et services forestiers d’exploitation forestiĂšre, Ă  l’exception des exploitations forestiĂšres et scieries agricoles ; – les entreprises de travaux et services forestiers en sylviculture ; – les entreprises de prestations de services avicoles effectuant des travaux de mise en place ou d’enlĂšvement de volailles et des travaux d’intervention technique. La convention instaure une classification des emplois Ă  laquelle est associĂ©e une nouvelle grille de salaires minimum. Source CCN du 8-10-2020, Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 18-10-2020, JO du 16-2 © Copyright Editions Francis Lefebvre
SuiteĂ  l’augmentation du Smic au 1er mai 2022 (+ 2,65 %), les partenaires sociaux ont dĂ©cidĂ© de revaloriser la grille des salaires de la Convention collective nationale de la production agricole et Cuma (IDCC 7024). Cet accord a Ă©tĂ© signĂ© le 15 juin 2022 mais n’est pour l’instant pas applicable.
Etendue par arrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020 JORF 10 janvier 2021SignatairesFait Ă  Fait Ă  Paris, le 15 septembre 2020. Suivent les signatures.Organisations d'employeurs FĂ©dĂ©ration nationale des syndicats d'exploitants agricoles FNSEA ; FĂ©dĂ©ration nationale des coopĂ©ratives d'utilisation de matĂ©riel agricole FNCUMA,Organisations syndicales des salariĂ©s FĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale agroalimentaire CFDT ; FĂ©dĂ©ration nationale agroalimentaire et forestiĂšre CGT ; FĂ©dĂ©ration gĂ©nĂ©rale des travailleurs de l'agriculture, de l'alimentation et des secteurs connexes FO ; FĂ©dĂ©ration CFTC de l'agriculture ; Syndicat national des cadres d'entreprises agricoles CFE-CGC, Afficher les "non en vigueur" Article 1 non en vigueur RemplacĂ©La prĂ©sente convention est applicable sur l'ensemble du territoire français mĂ©tropole et dĂ©partements, rĂ©gions et collectivitĂ©s d'outre-mer, aux exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© dĂ©finie Ă  l'article L. 722-1, 1° du code rural Ă  l'exception des centres Ă©questres, des entraĂźneurs de chevaux de courses, des champs de courses et des parcs zoologiques et 4° du code rural Ă  l'exception de la conchyliculture ainsi qu'aux coopĂ©ratives d'utilisation de matĂ©riel agricole.1 L'article de la convention est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des dispositions de l'article L. 2222-1 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020 - art. 1Champ d'application professionnel et territorial La prĂ©sente convention est applicable sur l'ensemble du territoire français mĂ©tropole et dĂ©partements, rĂ©gions et collectivitĂ©s d'outre-mer sous rĂ©serve de l'application du 3e alinĂ©a de l'article L. 2222-1 du code du travail et Ă  l'exception de Wallis-et-Futuna et de la PolynĂ©sie française aux exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© dĂ©finie Ă  l'article L. 722-1, 1° du code rural Ă  l'exception des centres Ă©questres, des entraĂźneurs de chevaux de course, des champs de courses et des parcs zoologiques et 4° du code rural Ă  l'exception de la conchyliculture ainsi qu'aux coopĂ©ratives d'utilisation de matĂ©riel agricole. ModalitĂ©s d'application Dans toutes les entreprises comprises dans le champ d'application tel que dĂ©fini Ă  l'article la prĂ©sente convention s'applique. Il ne peut y ĂȘtre dĂ©rogĂ© que dans un sens plus favorable aux salariĂ©s, Ă  l'exception des thĂšmes pour lesquels la loi donne la primautĂ© Ă  l'accord d'entreprise ou pour les thĂšmes pour lesquels la prĂ©sente convention le prĂ©voit expressĂ©ment. 1La prĂ©sente convention ne peut ĂȘtre cause pour aucun salariĂ©, pour un travail Ă©quivalent, d'une rĂ©duction de l'ensemble de la rĂ©munĂ©ration, y compris les primes de toute nature et tous avantages en nature et en espĂšces acquis antĂ©rieurement. Les personnels reclassĂ©s sous la limite de leur groupe de cotisants aux rĂ©gimes de retraite complĂ©mentaire et de prĂ©voyance, lors de la mise en Ɠuvre de la nouvelle classification, bĂ©nĂ©ficient du maintien de leur affiliation tant qu'ils occupent les mĂȘmes fonctions dans l'exploitation ou l'entreprise agricole.1 Le premier alinĂ©a de l'article de la convention est Ă©tendu sous rĂ©serve du respect des dispositions de l'article L. 2253-1 du code du travail. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020 - art. 1 DurĂ©e La prĂ©sente convention est conclue pour une durĂ©e indĂ©terminĂ©e. Article non en vigueur NĂ©gociation et interprĂ©tation de la convention collectiveLes conditions de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation se font conformĂ©ment Ă  l'accord national agricole du 7 juin 2017 instituant la commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation dite CPPNI, annexĂ© Ă  la prĂ©sente NĂ©gociations territoriales et/ou professionnellesCertaines stipulations conventionnelles peuvent ĂȘtre dĂ©finies, adaptĂ©es ou complĂ©tĂ©es au niveau territorial et/ou professionnel, sous rĂ©serve du respect des dispositions d'ordre public lĂ©gal ou conventionnel et le cas Ă©chĂ©ant, dans le cadre prĂ©alablement dĂ©fini par la prĂ©sente convention collective ou par les accords applicables Ă  la branche production agricole et Ă  la branche CUMA accords de branches et interbranche agricole.Ces nĂ©gociations se tiennent en commissions mixtes paritaires ou commissions sont composĂ©es des reprĂ©sentants dĂ©signĂ©s par les organisations syndicales et par les organisations d'employeurs reconnues reprĂ©sentatives au niveau national par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel dans le champ de l'accord nĂ©gociĂ© 1.Le rĂŽle dĂ©volu Ă  l'administration ministĂšre de l'agriculture ou DIRECCTE dans le cadre de l'animation des commissions mixtes paritaires doit ĂȘtre tenu et Conditions de suivi et clause de rendez-vousLa CCPNI assure le suivi de la prĂ©sente convention. Un Ă©tat des lieux de son application et de son articulation avec les accords territoriaux et/ ou professionnels est effectuĂ© une fois par an, dans le cadre de l'Ă©laboration du rapport annuel d'activitĂ© qui doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© conformĂ©ment Ă  l'accord national agricole du 7 juin 2017 mentionnĂ© Ă  l'article Les termes dans le champ de l'accord nĂ©gociĂ© » au troisiĂšme alinĂ©a de l'article de la convention sont exclus de l'extension au motif qu'ils contreviennent aux dispositions de l'article L. 2252-6 du code du travail. En effet, les commissions mixtes paritaires ou les commissions paritaires sont composĂ©es des reprĂ©sentants dĂ©signĂ©s par les organisations syndicales et par les organisations d'employeurs reconnues reprĂ©sentatives au niveau national par arrĂȘtĂ© ministĂ©riel dans le champ de l'accord nĂ©gociĂ©. ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020 - art. 1NĂ©gociation, interprĂ©tation et suivi NĂ©gociation et interprĂ©tation de la convention collectiveLes conditions de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation se font conformĂ©ment Ă  l'accord national agricole du 7 juin 2017 instituant la commission paritaire permanente de nĂ©gociation et d'interprĂ©tation dite CPPNI, annexĂ© Ă  la prĂ©sente NĂ©gociations territoriales et/ou professionnellesCertaines stipulations conventionnelles peuvent ĂȘtre dĂ©finies, adaptĂ©es ou complĂ©tĂ©es au niveau territorial et/ ou professionnel, sous rĂ©serve du respect des dispositions d'ordre public lĂ©gal ou conventionnel et le cas Ă©chĂ©ant, dans le cadre prĂ©alablement dĂ©fini par la prĂ©sente convention collective ou par les accords applicables Ă  la branche production agricole et Ă  la branche CUMA accords de branches et interbranche agricole. Ces dispositions territoriales et/ou professionnelles ne peuvent ĂȘtre que plus favorables Ă  celles contenues dans la prĂ©sente nĂ©gociations se tiennent en commissions mixtes paritaires ou commissions sont composĂ©es des reprĂ©sentants dĂ©signĂ©s par les organisations syndicales et par les organisations d'employeurs reconnues reprĂ©sentatives au niveau national par arrĂȘtĂ© rĂŽle dĂ©volu Ă  l'administration ministĂšre de l'agriculture ou DREETS dans le cadre de l'animation des commissions mixtes paritaires doit ĂȘtre tenu et Conditions de suivi et clause de rendez-vousLa CCPNI assure le suivi de la prĂ©sente convention. Un Ă©tat des lieux de son application et de son articulation avec les accords territoriaux et/ou professionnels est effectuĂ© une fois par an, dans le cadre de l'Ă©laboration du rapport annuel d'activitĂ© qui doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© conformĂ©ment Ă  l'accord national agricole du 7 juin 2017 mentionnĂ© Ă  l'article RĂ©vision et dĂ©nonciation RĂ©visionLa rĂ©vision peut ĂȘtre engagĂ©e – jusqu'Ă  la fin du cycle Ă©lectoral au cours duquel la convention a Ă©tĂ© conclue –– par une ou plusieurs organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives dans son champ d'application et signataires ou adhĂ©rentes de ce texte ; –– par une ou plusieurs organisations d'employeurs reprĂ©sentatives dans son champ d'application et signataires ou adhĂ©rentes de ce texte ; – Ă  l'issue du cycle Ă©lectoral au cours duquel la convention a Ă©tĂ© conclue –– par une ou plusieurs organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives dans le champ d'application de la convention ; –– par une ou plusieurs organisations professionnelles d'employeurs reprĂ©sentatives dans le champ d'application de la ou les organisations demandant une rĂ©vision de la convention en informent les autres organisations via la CPPNI. Le secrĂ©tariat de la CPPNI se charge des formalitĂ©s de dĂ©pĂŽt auprĂšs de l'administration et du conseil de prud' CPPNI a alors 3 mois pour se rĂ©unir et dĂ©finir la mĂ©thode et le calendrier des DĂ©nonciationSont habilitĂ©es Ă  dĂ©noncer la prĂ©sente convention, les organisations syndicales de salariĂ©s ou d'employeurs signataires ou adhĂ©rentes. La ou les organisations dĂ©nonçant la convention en informent les autres organisations via la CPPNI. Le secrĂ©tariat de la CPPNI se charge des formalitĂ©s de dĂ©pĂŽt auprĂšs de l'administration et du conseil de prud' durĂ©e du prĂ©avis qui doit prĂ©cĂ©der la dĂ©nonciation est de 3 la dĂ©nonciation Ă©mane de la totalitĂ© des signataires ou adhĂ©rents employeurs ou des signataires ou adhĂ©rents salariĂ©s, la CPPNI se rĂ©unit dans les 3 mois qui suivent le dĂ©but du prĂ©avis. À dĂ©faut de l'entrĂ©e en vigueur d'une nouvelle convention, la prĂ©sente convention cesse de produire ses effets au bout de 1 an Ă  compter de l'expiration du dĂ©lai de prĂ©avis. Il est fait application de l'article L. 2261-13 du code du des organisations syndicales de salariĂ©s signataires ou adhĂ©rentes de la convention perd la qualitĂ© d'organisation reprĂ©sentative dans le champ d'application de cette convention, la dĂ©nonciation de ce texte n'emporte d'effets que si elle Ă©mane d'une ou plusieurs organisations syndicales de salariĂ©s reprĂ©sentatives dans son champ d'application, dans les conditions dĂ©finies Ă  l'article L. 2261-11 du code du la dĂ©nonciation est le fait d'une partie seulement des signataires ou adhĂ©rents employeurs ou des signataires ou adhĂ©rents salariĂ©s, elle ne fait pas obstacle au maintien en vigueur de la prĂ©sente convention entre les autres parties signataires. Dans ce cas, les dispositions de la convention continuent de produire leurs effets Ă  l'Ă©gard des auteurs de la dĂ©nonciation jusqu'Ă  l'entrĂ©e en vigueur de la convention qui lui est substituĂ©e ou, Ă  dĂ©faut, pendant une durĂ©e de 1 an Ă  compter de l'expiration du dĂ©lai de prĂ©avis. RĂšglement des conflits collectifs et commission de conciliation Les conflits collectifs qui n'ont pu ĂȘtre solutionnĂ©s au niveau de l'entreprise peuvent ĂȘtre soumis Ă  la commission de conciliation, avec recours Ă©ventuel soit Ă  la procĂ©dure d'arbitrage en application des articles L. 2524-1 et suivants du code du travail si les deux parties en conviennent, soit Ă  la procĂ©dure de mĂ©diation en application de l'article L. 2522-1 du code du constitution et les modalitĂ©s de fonctionnement de la commission de conciliation sont fixĂ©es suivant les mĂȘmes conditions que celles visĂ©es pour la commission d'interprĂ©tation visĂ©e Ă  l'accord national CPPNI du 7 juin 2017. Date d'entrĂ©e en vigueur La prĂ©sente convention collective entrera en vigueur au 1er jour du trimestre civil suivant la parution de son arrĂȘtĂ© d'extension au Journal officiel. DĂ©pĂŽt et extension de la convention Il appartient au secrĂ©tariat de la CPPNI d'effectuer les formalitĂ©s d'usage en vue du dĂ©pĂŽt et de la demande d'extension de la prĂ©sente convention conformĂ©ment aux textes en vigueur. Retourner en haut de la page
Pourtenir compte de l’évolution du SMIC au 1er octobre 2021 et maintenir la dynamique de la grille minimale nationale de salaires, les partenaires sociaux ont dĂ©cidĂ© de modifier l’annexe 1 modifiĂ© tel qu’issu de la Convention collective nationale de la Production agricole et des CUMA du 15 septembre 2020.
Contrat Ă  la tĂąche Les conditions de travail et de rĂ©munĂ©ration des tĂącherons sont rĂ©gies par un contrat particulier signĂ© entre l'employeur et l' conditions de travail et de rĂ©munĂ©ration des tĂącherons sont rĂ©gies par un contrat particulier signĂ© entre l'employeur et l'employĂ© Une notice explicative est jointe, Ă  titre indicatif, en annexe – Établissement du contrat de travail et mentions obligatoiresLe contrat de travail Ă©tabli entre l'employeur et le salariĂ© tĂącheron est – soit Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e ; – soit Ă  durĂ©e dĂ©terminĂ©e s'il rĂ©pond aux cas prĂ©vus par la lĂ©gislation en vigueur art. L. 1242-1 et suivants du code du travail.Quelle que soit sa nature, le contrat est Ă©crit et comporte notamment les mentions obligatoires suivantes a La superficie de vignes confiĂ©e Ă  la tĂąche sur la base cadastrale, le type de taille, la densitĂ© de plantation et la localisation ;b Les travaux Ă  effectuer ;c Le nombre total d'heures de travail calculĂ© sur des bases horaires qui ne peuvent ĂȘtre infĂ©rieures Ă  celles indiquĂ©es dans les tableaux de travaux figurant au paragraphe 3 du prĂ©sent article ;d Les dĂ©lais de rĂ©alisation des travaux ;e Le taux horaire servant de base au calcul du salaire qui ne pourra ĂȘtre infĂ©rieur au minimum fixĂ© au paragraphe 2 du prĂ©sent article ;f Les primes et indemnitĂ©s s'y ajoutant – indemnitĂ© de jours fĂ©riĂ©s 3 % sur totalitĂ© du salaire brut rĂ©el ; – prime d'anciennetĂ© 2 ou 6 % sur totalitĂ© du salaire brut rĂ©el + indemnitĂ© de jours fĂ©riĂ©s ; – indemnitĂ© compensatrice de congĂ©s payĂ©s 10 % la 1re annĂ©e, 11 % la 2e annĂ©e sur le salaire brut rĂ©el + indemnitĂ© de jours fĂ©riĂ©s + prime d'anciennetĂ© ; – prime d'outillage, si le matĂ©riel n'est pas fourni par l'employeur ;g La rĂ©munĂ©ration versĂ©e chaque mois ;h L'interdiction de faire travailler, dans les vignes donnĂ©es Ă  la tĂąche, des personnes non titulaires d'un contrat de travail et non dĂ©clarĂ©es par l'exploitant y compris les membres de la famille du tĂącheron. Tout manquement de la part du salariĂ© peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une faute pouvant entraĂźner une sanction allant jusqu'au – RĂ©munĂ©rationLe taux horaire servant de base au calcul du salaire forfaitaire est dĂ©terminĂ© par rĂ©fĂ©rence Ă  la grille de salaires de la convention collective nationale production agricole/CUMA du 15 septembre les travaux comprennent la taille ou l'Ă©bourgeonnage ou les rĂ©parations, l'emploi exercĂ© par le salariĂ© devra ĂȘtre valorisĂ© au minimum Ă  un degrĂ© 2 pour le critĂšre technicitĂ© et au minimum Ă  un degrĂ© 3 pour le critĂšre autonomie. La pesĂ©e de l'ensemble des critĂšres classants se fera au sein de chaque entreprise, selon son organisation propre, en respectant ces les travaux ne comprennent pas la taille ou l'Ă©bourgeonnage ou les rĂ©parations, l'emploi exercĂ© par le salariĂ© devra ĂȘtre valorisĂ© au minimum Ă  un degrĂ© 2 pour le critĂšre technicitĂ© et au minimum Ă  un degrĂ© 2 pour le critĂšre autonomie. La pesĂ©e de l'ensemble des critĂšres classants se fera au sein de chaque entreprise, selon son organisation propre, en respectant ces salariĂ© perçoit chaque mois une rĂ©munĂ©ration brute correspondant aux travaux cette rĂ©munĂ©ration, s'ajoutent les indemnitĂ©s au titre des jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s payĂ©s et au titre des congĂ©s payĂ©s, dĂ©finies conformĂ©ment aux dispositions lĂ©gales et conventionnelles – Temps forfaitaires Ă  l'hectareLes temps forfaitaires minima par hectare et les dispositions relatives Ăą la fourniture de petit matĂ©riel par l'employeur, ou Ă  la prime d'outillage s'y substituant, sont fixĂ©s ci-aprĂšs cf. annexe A du prĂ©sent accordTravail Ă  la tĂącheMaconnais et BeaujolaisNombre de pieds/ha Ă  titre d'informationAligotĂ©, Saint-VĂ©ran, MĂącon Blanc7 000Pouilly FuissĂ©9 000 Ă  9 500MĂącon Rouge, Bourgogne8 000Beaujolais8 000 Ă  10 000Base prise en vue de rechercher une unitĂ© 1 ha = 8 000 pieds Ă  ramener au nombre de pieds rĂ©elsTĂąchesBlanc et rouge Guyot SimpleBlanc Arcure SimpleBlanc Arcure DoubleBlanc et rouge Cordon RoyatRouge GobeletEnlever les agrafes Ă  rĂ©cupĂ©rer6 H6 H6 H6 H6 HEnlever les agrafes et baisser les fils10 H10 H10 H10 HTirer les ficelles10 HDĂ©gravage dĂ©gager les pieds30 HNettoyage base des pieds
12 HPrĂ©taille manuelle seule55 H62 HTaille simple taille uniquement sans tirer les sarments et sans prĂ©taillage55 H55 H60 H65 HTailler et brĂ»ler les sarments100 H ou tailler sans sarments 80 HTirer les sarmentsAvec curageSans curageSans curageSans curageSans prĂ©taillage manuel60 H60 H60 H60 HAvec prĂ©taillage mĂ©canique tirer – brĂ»ler les sarments55 H55 HNettoyage des baguettes vrilles et sarments30 H50 HTĂąchesBlanc et Rouge Guyot SimpleBlanc Arcure SimpleBlanc Arcure DoubleBlanc et Rouge Cordon RoyatRouge GobeletEntretien normal du palissagePiquets bois Changer les piquets, fils, tirants, pointes, crampillonsTemps rĂ©elPiquets mĂ©tal Changer les piquets, fils, tirants, crochetsTemps rĂ©elPlier les baguettes et les attacher couper les bas des baguettes20 H35 H45 H10 HBaisser les fils de fer4 H4 H4 H4 HÉmondage ou Ă©pandrage des pieds15 H15 H15 H20 H30 HÉbourgeonnage35 HPiochage sous le rang de vigne aprĂšs labourTemps rĂ©elTemps rĂ©elTemps rĂ©elTemps rĂ©elTemps rĂ©elDĂ©sherbage Ă  dos hiver et Ă©tĂ© temps rĂ©elCouper les courants ou mouchage25 H40 HRelevage des fils avec tension, pose des agrafes finition Ă  la cisaille bout + pointe40 H45 H45 H40 H20 HAccolage – Liage42 HÉcimage Ă  la cisaille 1er rognage manuel10 H10 H10 H10 H10 HRognages manuels complets pour la saison 3 rognages ou cisaillage70 H70 H70 H70 H70 HSulfatage manuelTemps rĂ©elTemps rĂ©elTemps rĂ©elTemps rĂ©elTemps rĂ©elRemondage ou 2e Ă©mondage7 H7 H7 H7 H CĂŽte Chalonnaise, Couchois et MarangesUnitĂ© de mesure hectareDĂ©finition 10 000 pieds/ha – blanc ou rougeDĂ©but du contrat de tĂąche 1er novembreTĂąchesGuyotCordon RoyatEnlever les agrafes7 H7 HTaille avec nettoyage des pieds - Coupe des rejets avec une piocheTaille complĂšte sans prĂ©taillage y compris curage des baguettes Tailler, tirer, brĂ»ler les sarments ou les aligner pour broyage160 H170 HTaille complĂšte avec prĂ©taillage Tailler – tirer – brĂ»ler les sarments ou les aligner pour broyage150 H125 HTaille simple y compris curage des baguettes et couper les vieilles baguettes en 2 fois. Taille uniquement sans tirer les sarments85 H95 HTirer les sarmentsSans prĂ©taillage Tirer – brĂ»ler les sarments ou les aligner dans les rangs pour broyage75 H75 HAvec prĂ©taillage Tirer – brĂ»ler les sarments ou les aligner dans les rangs pour broyage65 HEntretien normal du palissagePiquets bois Changer les piquets – fils – tirants – pointes – crampillons25 H25 HPiquets mĂ©tal Changer les piquets, fils – tirants – crochets10 H10 HPlier les baguettes et les attacherManuellement petits-fils37 H10 HOuAvec outillage avec pince30 HRepiquage sur dĂ©cision annuelle de l'employeur – rĂ©munĂ©ration au piedAvec tariĂšreTemps rĂ©elTemps rĂ©elSans tariĂšreY compris sevrage des piedsBaisser les fils ranger sous les rangs4 H4 HÉbourgeonnage des piedsAvec dĂ©doublement des baguettes ou des cordons1er passage70 H70 H2e passage15 HouSans dĂ©doublement des baguettes45 H45 HPiochage sous le rang de vigne aprĂšs labourTemps rĂ©elTemps rĂ©elDĂ©sherbage Ă  dosTemps rĂ©elTemps rĂ©elRelevage des fils avec tension – accolage – pose des agrafes65 H65 HÉcimage a la cisaille10 H10 HTravaux complĂ©mentaires = vendange au vert – temps d'outillage ou prime1° Fourniture de petit matĂ©riel par l'employeurPetit matĂ©riel manuel fourni par l'employeur, Ă©changĂ© aprĂšs usure, et rendu en fin de contrat Pioche, masse, sĂ©cateur de taille et sĂ©cateur Ă  dĂ©monter, baramine, marteau, pierre Ă  aiguiser, pince, cisaille et scie Ă  matĂ©riel et l'Ă©quipement fournis seront listĂ©s et joints au est rappelĂ© que les Ă©quipements individuels de protection sont obligatoirement fournis ou pris en charge financiĂšrement par l' Prime d'outillage si le matĂ©riel n'est pas fourni par l'employeurAutre que les Ă©quipements de protection individuelle et collective.76,22 €/ha la premiĂšre annĂ©es et 15,24 €/ha les annĂ©es – Fixation de la durĂ©e du travailLa durĂ©e lĂ©gale du travail Ă©tant fixĂ©e Ă  35 heures par semaine, le nombre annuel d'heures normales est de 1 600 heures par an auxquelles il faut ajouter 7 heures de travail au titre de la journĂ©e de travaux payĂ©s au temps rĂ©el doivent faire l'objet d'un dĂ©compte individuel au fur et Ă  – Maximum annuel de travailLes limites maximales annuelles de la durĂ©e du travail sont, conformĂ©ment aux dispositions rĂ©glementaires et conventionnelles en vigueur, fixĂ©es Ă  1 940 heures et par exception Ă  2 000 heures pour les exploitations agricoles n'employant qu'un seul – Autres dispositionsHormis les dispositions spĂ©cifiques au travail Ă  la tĂąche qui prĂ©cĂšdent, le salariĂ© tĂącheron bĂ©nĂ©ficie des autres dispositions du prĂ©sent accord jours fĂ©riĂ©s chĂŽmĂ©s, garantie complĂ©mentaire maladie/accident, etc. et l'employeur doit respecter toutes les dispositions lĂ©gales et rĂ©glementaires rĂ©gissant l'emploi salariĂ©, notamment celles relatives Ă  la santĂ©, Ă  la sĂ©curitĂ© et aux conditions de travail.

ApplicableĂ  compter du 1 avril 2021, une convention collective nationale instaure une classification et une grille de salaires minima pour tous les salariĂ©s de la production agricole et des Cuma. Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma (coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole) relĂšvent d’accords territoriaux

Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© le 09 mars 2021 dans la catĂ©gorie social. Applicable Ă  compter du 1er avril 2021, une convention collective nationale instaure une classification et une grille de salaires minima pour tous les salariĂ©s de la production agricole et des du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1 avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français - aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ;- aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ;- aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ;- aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ;- aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site . En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA.

Droitnational en vigueur. Constitution. Constitution du 4 octobre 1958 ; Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789; Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946; Charte de l'environnement; Codes; Textes consolidés; Jurisprudence. Jurisprudence constitutionnelle; Jurisprudence administrative; Jurisprudence judiciaire; Jurisprudence financiÚre; Circulaires et

Au 1er avril 2021, une convention collective nationale s’appliquera de maniĂšre obligatoire dans les exploitations agricoles et Cuma du dĂ©partement. AprĂšs plus de trois annĂ©es d’intenses nĂ©gociations, la FNSEA et la FNCuma d’une part et les cinq organisations syndicales de salariĂ©s CFDT, CFTC, CGC, CGT et FO d’autre part, ont signĂ© le 15 septembre 2020 une convention collective nationale pour les entreprises de la production agricole et les Cuma. Cette convention entrera en application pour toutes les entreprises de la production agricole et des Cuma au 1er avril 2021. Pourquoi une convention collective nationale ? A l’origine de cette Ă©volution, se trouve l’obligation faite aux branches professionnelles par les gouvernements successifs de restructurer le paysage conventionnel et de diminuer le nombre de conventions collectives dans tous les secteurs d’activitĂ©. Avec 140 conventions collectives applicables aux entreprises agricoles dans notre pays, dont certaines d’entre elles ne faisant pas l’objet de nĂ©gociations rĂ©guliĂšres et un grand nombre n’atteignant pas le seuil d’effectif ou le champ gĂ©ographique national requis, le paysage conventionnel de l’agriculture Ă©tait particuliĂšrement concernĂ© et visĂ© par cette obligation de restructuration. Quels sont les secteurs concernĂ©s ? La convention collective s’appliquera sur l’ensemble du territoire aux - Exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© de culture et d’élevage, - Etablissements de toute nature dirigĂ©es par l’exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production, ou structures d’accueil touristique, situĂ©es sur l’exploitation ou dans les locaux de celle-ci, notamment d’hĂ©bergement et de restauration, - Etablissements de pisciculture ainsi qu’activitĂ©s de pĂȘche maritime Ă  pied professionnelle, sauf pour les personnes qui relĂšvent du rĂ©gime social des marins, - Cuma. Ne sont pas concernĂ©s Ainsi, ne sont pas concernĂ©s par la convention collective nationale, les ETA, les entreprises paysagistes, les centres Ă©questres, les entraĂźneurs de chevaux de courses, les champs de courses, les parcs zoologiques ni les Ă©tablissements de la conchyliculture. Que prĂ©voit la convention collective nationale ? Parmi les nombreuses dispositions de cette convention collective, trois dispositifs sont particuliĂšrement importants - une classification basĂ©e sur des compĂ©tences et des critĂšres classants technicitĂ©, responsabilitĂ©, management, relationnel, autonomie. Ainsi la convention collective promeut une nouvelle approche en termes de classification des emplois basĂ©e sur les compĂ©tences afin de favoriser l’évolution professionnelle des salariĂ©s. TerminĂ©s donc les anciens coefficients et niveaux prĂ©vus par les conventions collectives locales. Au 1er avril, les salariĂ©s devront ĂȘtre positionnĂ©s en fonction de la classification nationale des emplois. - une grille nationale de salaire de salaires minima ; - des avancĂ©es sociales concernant notamment les heures effectuĂ©es la nuit, les temps de dĂ©placement, l’indemnitĂ© de dĂ©part Ă  la retraite. Quelles dispositions appliquer durant le 1er trimestre 2021 ? Dans l’attente de l’entrĂ©e en vigueur de cette nouvelle convention collective au 1er avril, il convient de continuer Ă  appliquer la convention collective locale dont relĂšve l’entreprise. Cela comprend en particulier la classification des emplois et les salaires minima. Les grilles de classification locales et les barĂšmes des salaires minima correspondants continueront donc de s’appliquer durant le 1er trimestre 2021. Mais, Ă  compter du 1er avril, c’est bien la nouvelle classification des emplois et le barĂšme national des salaires minima qu’il conviendra d’appliquer. Un accompagnement possible En pratique, la principale difficultĂ© Ă  laquelle vont ĂȘtre confrontĂ©s les employeurs rĂ©side dans la nouvelle classification des salariĂ©s. En effet les employeurs vont devoir positionner les salariĂ©s dans la nouvelle grille de classification. Nous vous prĂ©senterons cette nouvelle grille de classification dans un prochain numĂ©ro. Le service main-d’Ɠuvre de la FNSEA 76 va Ă©galement proposer aux employeurs des webinaires afin de les aider dans leur dĂ©marche de classification et le cas Ă©chĂ©ant, un accompagnement spĂ©cifique dans le cadre d’une prestation. Le15 septembre dernier, les partenaires sociaux agricoles ont signĂ© la mise en place d’une convention collective nationale de la production agricole et des CUMA. Ce dispositif, qui entrera en vigueur le 1er avril prochain, vient Créé le 15 Jan Ă  1115 L’arrĂȘtĂ© d’extension de la convention collective nationale agricole, applicable aux emplois agricoles et aux Cuma a Ă©tĂ© publiĂ© au Journal Officiel de la RĂ©publique Française le 10 janvier 2021. Elle entrera donc en vigueur Ă  partir du 1er avril 2021. En effet, la convention prĂ©voit une application au 1er jour du trimestre civil suivant la parution de son arrĂȘtĂ© d’extension du JO ».NĂ©anmoins, n’attendez pas le dernier moment pour vous plonger dans le sujet et mettre Ă  jour les contrats y compris saisonniers de vos salariĂ©s car la transition ne se fera pas du jour au des emplois, rĂ©munĂ©ration, mutuelle, mentions obligatoires dans le contrat de travail, emploi des jeunes et des Ă©trangers, durĂ©e du travail, rupture du contrat de travail ou encore conditions de travail
 Point par point, il vous faudra comparer les conventions territoriales ou sectorielles appliquĂ©es aujourd’hui Ă  la nouvelle convention collective applicable question ? Un besoin ?Pour vous accompagner dans vos dĂ©marches, nos Ă©quipes restent mobilisĂ©es. N’hĂ©sitez pas Ă  prendre contact avec le Groupe BSF par mail Ă  infos-bsf ou par tĂ©lĂ©phone au 05 57 55 05 05. Rendez-vous mardi 23 fĂ©vrier Ă  14h00 en GIOT, Juriste en droit social du Groupe BSF va vous expliquer comment anticiper les difficultĂ©s Ă  venir au cours d’un gratuitement ici

Lesarchives par sujet : lutte contre le frelon asiatique convention Pour postuler il est impĂ©ratif de joindre une LETTRE DE MOTIVATION et un CV en rappelant la rĂ©fĂ©rence 127/2022 avant le 12 septembre 2022 Mission du poste : ChargĂ©(e) de mission BiodiversitĂ©, en lien avec les Ă©lus et services en charge, Ă©laborer et mettre en Ɠuvre le Plan de Gestion et d'AmĂ©nagement des

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\n \nconvention collective nationale production agricole et cuma
Uneconvention nationale a Ă©tĂ© signĂ©e le 15 septembre 2020. L’arrĂȘtĂ© d’extension ayant Ă©tĂ© publiĂ© au Journal Officiel en janvier 2021, elle entrera en vigueur au 1er avril 2021 (et non au 1er janvier 2021). Elle s’appliquera de maniĂšre obligatoire dans les exploitations agricoles et les CUMA et va induire des changements dans la relation entre employeur et salariĂ©. 27062022 Suite Ă  l’augmentation du Smic au 1er mai 2022 + 2,65 %, les partenaires sociaux ont dĂ©cidĂ© de revaloriser la grille des salaires de la Convention collective nationale de la production agricole et Cuma IDCC 7024. Cet accord a Ă©tĂ© signĂ© le 15 juin 2022 mais n’est pour l’instant pas applicable. Il ne s’appliquera qu’au 1er jour du mois suivant sa parution au Journal Officiel. Nous vous tiendrons informĂ© de cette parution et de la date d’application de cet accord. Ainsi, en fonction de la classification de vos salariĂ©s et de leur rĂ©munĂ©ration actuelle, ces derniers pourront voir leur salaire horaire brut réévaluĂ© prochainement. Pour rappel, il s’agit de la rĂ©munĂ©ration minimale applicable Ă  chaque classification. L’employeur ne peut rĂ©munĂ©rer son salariĂ© en dessous de ce minimum, mais peut dĂ©cider d’aller au-delĂ . Vous trouverez ci-dessous les taux applicables Ă  compter de cette date .