🐳 Charlotte Et Rémy Obésité Que Sont Ils Devenus
Charlottea toujours eu des problèmes de poids, mais aujourd'hui, à 22 ans, elle a atteint un point de non-retour : elle pèse plus de 200 kilos ! Les gestes du quotidien lui sont très pénibles et le moindre déplacement l'épuise. À la maison c'est donc son mari, Rémy, qui s'occupe de tout, et notamment de leurs 2 enfants.
Book • 2009Obésité du chienBook • 2009Browse this bookBook descriptionMaladie de civilisation, l'obésité est une affection multifactorielle devenue courante en médecine vétérinaire elle touche plus d’un tiers des animaux de compagnie. C’est g ... read full descriptionBrowse contentTable of contentsSelect all Front MatterFull text accessChez le même éditeurCopyrightAbréviationsPréfaceAvant-proposSelect Annexe 1Book chapterNo accessAnnexe 1Select Annexe 2Book chapterNo accessAnnexe 2Select Annexe 3Book chapterNo accessAnnexe 3Select Annexe 4Book chapterNo accessAnnexe 4Select Annexe 5Book chapterNo accessAnnexe 5Select Bibliographie généraleBook chapterNo accessBibliographie généraleSelect IndexBook chapterNo accessIndexAbout the bookDescriptionMaladie de civilisation, l'obésité est une affection multifactorielle devenue courante en médecine vétérinaire elle touche plus d’un tiers des animaux de compagnie. C’est grâce à un examen clinique attentif et à des investigations complémentaires accessibles en pratique courante qu’il est possible d’apprécier la gravité de la maladie. Le vétérinaire doit sensibiliser les propriétaires aux dangers de l’obésité, et prescrire des mesures de traitement individualisées, si possible choisies en fonction de l’étiologie supposée. Cet ouvrage pratique, illustré de nombreux tableaux et schémas, rappelle les aspects épidémiologiques de l’obésité prévalence du surpoids et de l'obésité, facteurs de risque et les éléments de physiopathologie qui permettent d’établir le bon diagnostic et de conseiller la thérapeutique la plus adaptée traitements médicamenteux et diététiques, activité physique, médecines alternatives, chirurgie.... Les conseils aux propriétaires sont également clairement énoncés, permettant au praticien de donner un message précis. Les praticiens et étudiants vétérinaires disposent, avec cet ouvrage rédigé par un auteur référent en la matière, d’un outil efficace pour soigner l'obésité et prévenir la prise du poids chez le de civilisation, l'obésité est une affection multifactorielle devenue courante en médecine vétérinaire elle touche plus d’un tiers des animaux de compagnie. C’est grâce à un examen clinique attentif et à des investigations complémentaires accessibles en pratique courante qu’il est possible d’apprécier la gravité de la maladie. Le vétérinaire doit sensibiliser les propriétaires aux dangers de l’obésité, et prescrire des mesures de traitement individualisées, si possible choisies en fonction de l’étiologie supposée. Cet ouvrage pratique, illustré de nombreux tableaux et schémas, rappelle les aspects épidémiologiques de l’obésité prévalence du surpoids et de l'obésité, facteurs de risque et les éléments de physiopathologie qui permettent d’établir le bon diagnostic et de conseiller la thérapeutique la plus adaptée traitements médicamenteux et diététiques, activité physique, médecines alternatives, chirurgie.... Les conseils aux propriétaires sont également clairement énoncés, permettant au praticien de donner un message précis. Les praticiens et étudiants vétérinaires disposent, avec cet ouvrage rédigé par un auteur référent en la matière, d’un outil efficace pour soigner l'obésité et prévenir la prise du poids chez le © 2009 Elsevier SAS. All rights reservedYou currently don’t have access to this book, however you can purchase separate chapters directly from the table of contents or buy the full CartPurchase the bookAuthorsC. BlanckaertDocteur vétérinaire, Diplômé de l'École nationale vétérinaire de Lyon, CES de diététique canine et féline
Siles liens entre urbanisme et santé sont anciens, ils se sont distendus avec le temps, avec, à partir des années 50, un cloisonnement progressif des institutions de la santé, de l’urbanisme et de l’environnement. C’est en 1987 que le concept d’Urbanisme favorable à la santé (UFS) a été initié par le réseau des Villes-Santé de l’OMS. L’UFS implique des pratiques d
Mis à jour le 27/06/2014 à 17h59 Validation médicale 27 June 2014 En France, l'obésité est un problème de santé publique. Selon différentes enquêtes récentes elle atteint 6 à 7 % des hommes et 8 à 9 % des femmes à l'âge adulte. Particulièrement élevée dans les régions du Nord et de l'Est elle varie avec l'âge et culmine dans la tranche d'âge 60-70 ans. Chez l'enfant l'obésité est en augmentation. En France, le problème de l'obésité est modéré en comparaison d'autres pays comme les Etats-Unis où 20 % des hommes et 25 % des femmes sont obèses. Comment définit-on l'obésité ? Le seuil de poids qui définit l'obésité repose sur la notion médicale de risque de mortalité engendré par l'excès de poids. L'Organisation Mondiale de la santé a défini l'obésité en fonction de l 'Indice de Masse Corporelle BMI en anglais selon la classification suivante Corpulence Indice de Masse Corporelle Corpulence normale IC de 18,5 à 24,9 Surcharge pondérale ou "embonpoint" IC de 25 à 29,9 Obésité modérée IC de 30 à 34,5 Obésité sévère IC de 35 à 39,9 Obésité très sévère IC supérieure à 40 Pour porter le diagnostic d'obésité on prend en compte d'autres mesures et la présence de pathologies associées. Dans notre société obsédée par la minceur, les obèses souffrent d'une très mauvaise image au plan social et professionnel. Pourtant le fait d'être très gros n'est pas seulement un handicap esthétique, et il faut considérer l'obésité comme est une maladie chronique qui peut avoir de graves conséquences physiques et psychologique. Comment se constitue l'obésité ? L'obésité se constitue lors d'une période où le bilan énergétique est positif, c'est à dire que les apports caloriques sont excessifs par rapport aux dépenses énergétiques. On distingue les obésités de constitution précoce pendant l'enfance et celles qui se constituent à l'âge adulte, souvent avant l'âge de 40 ans. La personne devenue obèse stabilise ensuite son poids à un niveau excessif. Plus tard et en l'absence de traitement le poids aura tendance à augmenter progressivement. Chez l'enfant l'indice de corpulence augmente normalement pendant la première année de vie puis diminue spontanément jusqu'à l'âge de 6 ans avant d'augmenter à nouveau c'est ce qu'on appelle le rebond d'adiposité. S'il est trop précoce c'est un facteur de risque d'obésité ultérieure. NON aux régimes, OUI à WW ! Plusieurs responsables Les causes du déséquilibre énergétique initial lié à l'obésité sont plus ou moins bien connues Des apports alimentaires trop riches en sucres et en lipides, des rythmes alimentaires déstructurés avec grignotage hors repas et des troubles du comportement sédentarité et une activité physique faible . Il existe une relation entre l'apparition de l'obésité et le temps passé devant la facteurs génétiques semblent déterminants . On a montré qu'il existe une prédisposition génétique à prendre du poids plus facilement dans certaines familles. De nombreuses recherches sont menées pour essayer de trouver les gènes facteurs psychologiques tendance dépressive, troubles du comportement facteurs sociaux en France comme dans tous les pays industrialisés l'obésité est plus importante dans les milieux défavorisés et immigrés, surtout les obésités s tyles de vie actuels avec réduction de l'activité physique, évolution des modes alimentaires, température ambiante des logements augmentée, etc. Révision médicale 27/06/2014
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1Les propositions de Gilles Bibeau pour penser la société d’aujourd’hui suggèrent qu’il y a urgence, pour l’anthropologie de la santé, à défendre un nouvel humanisme, à proposer une approche culturelle des nouvelles pathologies et à mettre au jour les phénomènes d’injustice, d’inégalité et d’exclusion. Pour illustrer son propos, Gilles Bibeau aborde, dans ce texte à la fois musclé et humaniste, trois questions principales il s’interroge d’abord sur les conséquences de la révolution géno-technologique actuelle, avec pour corollaire le développement de la médecine prédictive ; il examine la pertinence de nos outils méthodologiques et conceptuels face aux nouvelles maladies qui caractérisent nos sociétés d’abondance comme le surpoids et l’obésité ; il propose une attention accrue aux facteurs politiques et économiques impliqués dans la production des inégalités. 1 La génomique regroupe des opérations telles que l’établissement des cartes du génome, l’étude de l ... 2 Technologie résolument nouvelle, tellement nouvelle qu’elle n’est pas encore véritablement pratiqu ... 2En évoquant la révolution géno-technologique associée à la génomique1, il s’agit pour lui de tirer la sonnette d’alarme face à ce qui représente un danger à l’égard de l’humanité, dans sa définition même. Le danger réside pour lui dans l’effacement des frontières entre les différentes formes de vie à travers les transferts de gènes entre végétaux, animaux et humains, ou à travers la correction des génomes qu’il taxe d’ inhumanisme ». Il met en cause l’idéologie du généticisme » en ce qu’elle refuse l’idée que l’homme représente une forme de vie intouchable, et plaide pour un nouvel humanisme ajusté à notre âge biotechnologique ». Si l’on peut comprendre son inquiétude face au fait que le corps humain tend à devenir la propriété de la bio-industrie, pour autant, le rôle de l’anthropologue est-il de se prononcer, a priori, contre une technologie ? L’anthropologie peut et doit se saisir de ce phénomène nouveau pour alimenter sa réflexion sur ce qu’est l’humain et l’humanité, mais n’y a-t-il pas dans les prises de position de Gilles Bibeau quelque chose qui serait déjà de l’ordre d’une réponse, faite de ses valeurs personnelles, avant même que ce phénomène social soit traduit, pour l’anthropologie, en questions ? On ne peut que s’accorder avec lui pour dire que l’humanité procède d’autre chose que de son génome et des combinaisons auxquels la génomique veut la réduire. Il est vrai que l’on ne peut comprendre l’homme par son génome seul, autrement dit en oblitérant son milieu, son histoire et son héritage. Or, qui dit gène » dit innéité. La génomique fait fi des postulats mêmes des sciences sociales pour qui la donnée principale qui construit les êtres humains est leur inscription sociale, déterminant leurs caractères acquis, au nombre desquels un certain nombre de pathologies. Et c’est d’ailleurs là, sans doute, que réside notre rôle il est, non pas tant de fustiger une technologie et l’effacement des frontières d’humanité qu’elle implique, que d’apporter les éléments d’analyse et de compréhension de la controverse qui s’y rapporte, et de démontrer le caractère réducteur de l’approche généticiste pour définir l’humain. Le rôle de l’anthropologue face aux nouveaux objets induits par les avancées technologiques est-il de se prononcer en leur défaveur ? Cela ne relève-t-il pas davantage du choix personnel et de l’action citoyenne, que d’une des directions scientifiques que doit prendre notre discipline ? Les innovations médicales posent des questions anthropologiques de premier ordre. Par exemple, les recherches de Catherine Rémy 2009 sur les xénogreffes, c’est-à-dire la transplantation d’organes issus d’animaux chez des humains2 visent à étudier comment les scientifiques impliqués dans ce domaine cherchent à normaliser une innovation qui semble remettre en cause les frontières d’humanité. Comme on le voit, la question des frontières d’humanité n’est pas l’apanage de la géno-technologie puisqu’elle est aussi au cœur de l’activité de transplantation d’organes, exacerbée par la xénotransplantation. Quels sont les enjeux principaux soulevés par la réalisation de xénogreffes ? Voici une question dont la réponse est susceptible d’apporter un éclairage nouveau sur la portée anthropologique de cette innovation médicale, et plus généralement sur celle des biotechnologies. 3À lire Gilles Bibeau, la médecine prédictive, fille de la génomique, semble devoir être combattue par l’anthropologie médicale, qui sait combien les individus malades ne peuvent être réduits à l’expression de leur programme génétique et combien les phénomènes sociaux, politiques, économiques, environnementaux, culturels entrent dans la genèse de la maladie. Certes, mais là encore, lorsqu’il se prononce contre la médecine prédictive, ne sort-il pas de son rôle ? Est-ce que les anthropologues doivent faire valoir, au titre de leurs orientations et de leurs productions scientifiques, leurs propres positions ? Ne faut-il pas opérer un distinguo entre les productions scientifiques des anthropologues à travers les questions qu’ils se posent, les outils et les méthodes qu’ils utilisent pour y répondre et les positions qu’ils sont en droit de défendre, en tant que citoyens ? Les anthropologues ont-ils vocation à assumer le rôle des éthiciens ? Par exemple, en se prononçant sur la question de savoir s’il est pertinent de révéler à une personne la maladie inscrite dans son génome si aucun traitement existant ne peut arrêter sa maladie — une maladie qui n’adviendra peut être pas, précise Gilles Bibeau —, agit-on en chercheur en sciences sociales ? La principale question éthique posée par la médecine prédictive, à savoir celle de l’opportunité de révéler à une personne son statut et ses risques génétiques en l’absence de possibilité de guérison, est-elle une question de recherche anthropologique ? 4Si des questions éthiques nouvelles émergent dans la société contemporaine, compte tenu des avancées dans le domaine des technologies médicales, la dimension éthique de ces phénomènes sociaux ne doit pas occulter les fondements épistémologiques de l’anthropologie. L’anthropologue doit-il se départir, d’emblée, de la posture wébérienne de neutralité axiologique ? Ne doit-il pas plutôt faire des débats éthiques un objet de réflexion ? Doit-il se prononcer sur la géno-technologie ou faire l’analyse de ce qui se joue dans cette situation ? Il en va de la scientificité de ses recherches, comme de l’efficacité de ses engagements, de séparer ces deux temps de ses activités. C’est d’ailleurs à ce prix que ses analyses sont le plus assurées de leur rigueur et que leurs prises de position ont quelque espoir d’être entendues Fainzang, 2010. En vérité, la question du rôle de l’anthropologie au regard des problèmes éthiques et de son articulation avec la question de l’engagement a souvent été posée à l’occasion de divers objets l’excision, l’euthanasie, etc., bien qu’à chaque fois différemment. Par conséquent, si, avec la géno-technologie, l’objet du débat a changé, les enjeux, eux, restent identiques. 5S’interrogeant sur la pertinence de nos outils conceptuels face aux nouvelles maladies, Gilles Bibeau plaide pour un recours résolu à l’approche culturelle, tout en proposant de dépasser le culturalisme. Dans le débat qui fait rage de nos jours dans la discipline sur la place des facteurs culturels, et qui a conduit la notion de “culture” à être quelque peu en crise cf. Fainzang, 2005, Gilles Bibeau prend clairement position en faveur de la pérennité de l’étude des représentations et les pratiques culturelles — et c’est heureux —, plaidant pour que l’approche biopolitique de la santé ne conduise pas à gommer les lectures culturelles qui ont été, jusqu’ici, au cœur de l’anthropologie médicale ». Pour illustrer son point de vue, il prend l’exemple des nouvelles pathologies comme l’obésité. Selon lui, l’anthropologie doit montrer, dans le cadre d’une analyse culturelle, que le surpoids et l’obésité traduisent les valeurs d’excès qui sont à la base de notre société d’abondance. 3 Et cela, pas seulement dans nos sociétés l’obésité, son incidence et ses effets délétères sur la ... 6 Cependant, si la pertinence de l’approche culturelle des phénomènes sociaux parmi lesquels se trouvent les maladies ne saurait être récusée en anthropologie — elle lui est même consubstantielle —, l’analyse qu’il propose de l’obésité me semble, en revanche, discutable. Gilles Bibeau établit ainsi un lien entre l’obésité et le fait que nous sommes passés à un modèle de société dans lequel l’individu doit constamment affirmer son autonomie, réclamer son droit à l’auto-réalisation, se faire reconnaître comme sujet à travers les signes mêmes de l’accumulation ». Suivant la voie empruntée par Baudrillard, il rattache la question de l’obésité à l’idéologie de la surconsommation et aux conduites d’excès de nos sociétés. Par là même, tout en les présentant comme un écho du désordre social plus général induit par la valorisation excessive de la consommation les maladies des individus vues comme maladies des sociétés, il rabat le problème de l’obésité sur les conduites individuelles. Il évoque ainsi les inconduites alimentaires » et les conduites d’excès » des jeunes, formules qui, en fait, déconnectent l’obésité du contexte économique dans lequel l’industrie agro-alimentaire opère aujourd’hui. Une industrie grâce à laquelle nombre de jeunes se retrouvent en surpoids par le seul fait de consommer les produits offerts sur le marché, gorgés de graisse, de sel et de sucre, accessibles à bas prix pour les usagers mais à forte rentabilité pour les industriels3. 7En outre, il n’est pas certain que l’obésité puisse s’expliquer par la mutation culturelle des sociétés occidentales concernant la relation de l’individu à la société, et notamment par l’injonction à l’autonomie. Et cela, d’autant plus que les classes sociales les plus touchées par l’obésité sont les plus défavorisées ce sont en effet les milieux populaires les plus concernés, milieux dont rien ne permet de penser qu’ils ont, davantage que les autres, intériorisé et mis en acte une valeur comme celle de l’autonomie. Par ailleurs, l’obésité sévit dans de nombreux pays où la réalisation de soi comme sujet n’est pas promue. Elle touche des pays où l’autonomie ne fait pas partie des valeurs primordiales. Par conséquent, la construction de l’identité du jeune », évoquée par Gilles Bibeau, ne se fait pas partout de la même façon, en dépit de la mondialisation. Par exemple, l’obésité des femmes est très importante en Iran ; l’obésité est d’ailleurs un problème essentiellement féminin chez les jeunes filles plus de 13 pour cent des jeunes filles de Téhéran sont obèses [FAO, 2002]. Pourtant, il ne semble pas que l’injonction à l’autonomie des femmes soit à l’ordre du jour culturel dans ce pays. 8Au titre des nouvelles orientations que doit prendre l’anthropologie médicale, Gilles Bibeau invite notre discipline à s’ouvrir, encore plus que par le passé, à l’étude du politique, de l’économique et du social afin de mettre au jour les phénomènes d’injustice, d’inégalité et d’exclusion. Cette invitation marque une continuité avec une tendance qui existe déjà, et depuis longtemps, mais qu’il appelle à poursuivre et à élargir dans le monde actuel, compte tenu de son urgence. En effet, cette urgence est rendue d’autant plus nécessaire que les inégalités sont non seulement toujours présentes, mais parfois même plus criantes qu’autrefois. En vérité, cette posture a été revendiquée par l’anthropologie médicale critique dès les années 1990, mais aussi, avant elle, par l’anthropologie dynamique de Georges Balandier dont les fondements marxistes la vouaient à étudier les thématiques de la domination, de l’exploitation, et de l’injustice sociale, même si ce courant théorique des années 1960 ne s’appliquait pas spécifiquement au champ de la santé. On en retrouve aussi les traces dans l’anthropologie médicale italienne des années 1950, fort imprégnée des catégories conceptuelles développées par Gramsci Seppilli, 1975. Bien qu’aujourd’hui, certains chercheurs suivent un cap résolument politique en anthropologie et portent précisément leur attention sur les facteurs politiques et économiques impliqués dans la production des inégalités, d’autres étudient les conditions de vie des populations “déshéritées”, et les phénomènes de “vulnérabilité”, de “pauvreté” ou d’“exclusion”, sans pour autant être oublieux des dimensions symboliques et culturelles des réalités étudiées Ferreira, 2004. 9 La complexité que représente l’étude des inégalités dans les sociétés occidentales contemporaines » soulignée par Gilles Bibeau, pour qui les notions traditionnelles des sciences sociales ne parviennent plus à définir les groupes sociaux en raison du fait qu’ils se démultiplient sous des formes de plus en plus complexes en combinant, par exemple, des dimensions économiques, sexuelles, générationnelles, géographiques, ethniques », l’amène à affirmer la nécessité de développer de nouveaux outils conceptuels. À titre d’exemple, il rappelle qu’il faut ne plus se contenter de connaître les revenus d’une personne pour déterminer sa position sociale mais y ajouter les données sur son statut familial, son âge, son réseau d’amis, etc. toutes données qu’il faut croiser pour cerner l’état de la société, des groupes qui la composent, leur état de santé et les éventuelles inégalités. N’est-ce pas là renouer avec la conviction qu’ont toujours eue les anthropologues de la nécessité d’étudier les phénomènes en contexte et d’envisager les individus avec toutes les données de leur existence symboliques, relationnelles, économiques, etc. ? En définitive, là encore, Gilles Bibeau se fait l’ardent défenseur des fondamentaux de la discipline. * * * 10Qu’il s’agisse de développer la réflexion sur le biopolitique, de s’intéresser aux représentations culturelles tout en opérant un dépassement du culturalisme, ou de donner une place au social et à l’économique, les propositions de Gilles Bibeau répondent bien aux impératifs de notre discipline, et les questionnements anthropologiques soulevés par les exemples qu’il prend témoignent de ce qu’il n’y a pas lieu de rompre avec nos fondamentaux. À cet égard, il a raison d’appeler l’anthropologie à étudier la manière dont les valeurs fondatrices de notre société s’infiltrent dans toutes les institutions sociales » ; c’est d’ailleurs là un de ses rôles, et si le contenu des valeurs a changé, la tâche de l’anthropologue, qui est de travailler à la compréhension de leur genèse et à l’analyse de leur impact, elle, n’a pas changé. 11Cependant, pour prolonger la réflexion engagée par son article, je proposerai quelques remarques complémentaires concernant la nécessité de repenser nos concepts et nos théories face aux transformations sociales contemporaines et à l’émergence des nouveaux objets qu’elles impliquent. 4 Si certains objets sont résolument nouveaux, dans la mesure où ils sont liés à l’évolution de la s ... 12La question de savoir si les théories et les concepts fondamentaux de l’anthropologie de la santé sont toujours adéquats face aux nouveaux objets auxquels elle est confrontée est bien sûr une question pertinente qui doit d’ailleurs être posée à divers moments de la vie d’une discipline. On pourrait se demander, dans un premier temps, pourquoi poser cette question ? Pourquoi ne pourrait-on pas utiliser les mêmes outils et les mêmes concepts ? La question se posait déjà au milieu des années 1980, bien que dans un contexte différent, lors du “rapatriement” de l’anthropologie de la maladie vers les sociétés occidentales et donc vers de nouveaux terrains et de nouveaux objets, que certains chercheurs ne concevaient pas en-dehors de l’étude du secteur traditionnel en France. Pour ma part, j’avais défendu l’idée que la confrontation avec de nouvelles réalités sociales induite par la pratique de l’anthropologie en milieu occidental moderne urbain ne devait pas mettre en question la pertinence de nos fondamentaux Fainzang, 1989, même si nos outils et nos méthodes étaient amenés à devoir être adaptés. La question s’est reposée, de façon régulière, dans notre discipline. On en trouve l’expression par exemple chez Christian Ghasarian 2002, pour qui l’élargissement des recherches aux objets proches permet à l’anthropologie de se renouveler et de conserver sa pertinence dans le monde contemporain, et qui a proposé une réflexion sur les notions et conceptions présentes dans les débats actuels de l’anthropologie générale. Mais la médicalisation croissante de notre société et les transformations qui affectent le corps et la médecine aujourd’hui rendent ce questionnement plus crucial encore pour l’anthropologie médicale. Loin de renouer avec l’idée que se confronter à de nouveaux objets impliquerait de devoir changer de paradigme et d’outils comme s’ils devenaient caducs du seul fait de leur contact avec une nouvelle réalité sociale, reposer la question aujourd’hui, c’est prendre acte de la nécessité, non pas d’un abandon, mais d’un nécessaire enrichissement de ces outils4. 5 Une facilité à laquelle échappe le travail de Fantauzzi 2007 qui a enquêté sur le don du sang ch ... 13Cet enrichissement s’impose non pas seulement parce que la réalité change et que l’on est confronté à de nouveaux objets, mais parce que l’on est également confronté à des phénomènes anciens prenant un sens différent dans un contexte nouveau. Dans ces conditions, l’application de modèles théoriques ou de concepts anciens, parfois pertinente, est parfois aussi insuffisante. S’agissant des modèles théoriques, on prendra l’exemple de la théorie du don, invoquée à l’envi dès lors qu’il s’agit d’étudier un phénomène impliquant de donner ou de transmettre un objet, un bien, une substance ou une partie du corps. Cette théorie semble être désormais un schéma d’analyse obligé dans toute recherche où il y a transmission, don d’organe ou mise à disposition de son corps. Or, les anthropologues qui vont s’atteler à la question des mères porteuses par exemple devront-ils, eux aussi, recourir à une analyse en termes de don/contre-don ? Une situation nouvelle dans notre société, et donc un objet nouveau comme la location d’utérus doit peut-être faire aussi appel à d’autres modèles et d’autres pistes de réflexion, et les anthropologues ne doivent pas céder à la constante et sans doute sécurisante réitération des schémas analytiques classiques5. Il est donc nécessaire de dépasser aussi certains modèles théoriques, non pas pour les récuser mais pour ne pas répéter à l’infini des schémas analytiques qui risquent de limiter la compréhension de nouveaux objets. 14La même question se pose avec les concepts. Il y a lieu par exemple de s’interroger sur la pertinence du concept de sickness face à un phénomène comme celui de l’ invention des maladies » cf. Blech, 2005, désignant le processus suivant lequel, dans un vaste mouvement de déploiement économique, l’industrie pharmaceutique façonne des catégories nosologiques en vue de créer de nouveaux besoins et d’augmenter les chances de vendre sa production. L’apparition — ou la fabrication — de nouvelles maladies ne doit pas échapper au regard des anthropologues, car elle repose sur des mécanismes à la fois économiques et symboliques ; elle est un objet hautement anthropologique dans la mesure où elle s’articule à l’identification de ce qui est valorisé ou stigmatisé, à un moment donné, dans une société. Cependant, face à ce phénomène, se révèlent les limites d’un concept comme celui de sickness que l’anthropologie utilise classiquement pour faire référence à la manière dont la maladie est définie par les sociétés ou les groupes culturels qu’elle étudie. Le concept de sickness porte le sceau de la socialisation et reflète la manière dont un groupe ou une société pense la maladie Young, 1976. Dès lors, ce concept est-il vraiment adéquat pour rendre compte d’une catégorie nosologique qui ne reflète pas la manière dont une société pense la maladie et donc qui n'est pas le résultat de la pensée collective d'une société, mais qui est une construction élaborée par un groupe industriel, relevant en l’occurrence de l’industrie pharmaceutique ? La question est alors peut-on parler de maladie comme sickness face à une catégorie de pensée créée de toutes pièces par un groupe d’intérêt ? 15La nécessité d’enrichir ou de renouveler les modèles théoriques et analytiques éprouvés ne se fonde pas dans la volonté de les remettre en question, mais dans celle de faire évoluer notre compréhension des phénomènes sociaux. Pour prendre une métaphore du bâtiment puisque nous sommes dans l’éternelle construction et reconstruction de l’anthropologie médicale, il ne faut pas renoncer à nos théories et nos concepts fondamentaux pour ne pas saper les fondements de notre discipline et ne pas faire s’écrouler l’édifice ; mais il faut accepter, pour l’améliorer, d’utiliser aussi de nouveaux matériaux.
Ily a une sacrée différence entre méritocratie et élitisme. La méritocratie est une oligarchie qui feint d’être là par pur mérite, alors qu’elle n’y est que par reproduction. L’élitisme consiste au contraire à pousser chacun au plus haut de ses capacités — particulièrement les plus jeunes. Quelles que soient leurs origines.
SANTÉ - L'obésité un trouble alimentaire? Ça nous arrangerait. Il y aurait les gros qui ont des troubles et les autres qui ne sont pas troublés. Monkey Business Images Monkey Business Images SANTÉ - L'obésité un trouble alimentaire? Ça nous arrangerait. Il y aurait les gros qui ont des troubles et les autres qui ne sont pas troublés. Les gros mangent de trop, parce qu'ils s'ennuient ou parce qu'ils sont gros, ou parce qu'ils ne réfléchissent pas assez aux conséquences de leur alimentation. Ils devraient manger moins comme ceux qui n'ont pas de trouble. Hier, je voyais une femme en consultation. J'avais vu son mari 10 jours avant. Elle a un poids 3 fois plus bas que son mari. Elle me dit "mon mari, je lui ai dit qu'il n'a qu'à faire comme moi, s'arrêter de manger quand il est rassasié! Moi j'y arrive. Il n'est pas content quand je lui dis". Un couple que j'aimais beaucoup lui, petit et mince, elle, grande et forte. J'ai dit à ma femme insomniaque tu n'as qu'à faire comme moi, le soir tu ne penses à rien, tu verras, tu t'endormiras ! ». On a toujours des solutions pour les autres ! Si l'obésité était simple, tous les obèses seraient des idiots. Oui, bien sûr, les personnes obèses ou en surpoids ont des difficultés alimentaires! C'est rarement à cause de ces difficultés qu'ils ont grossis. Car normalement lorsque l'on mange plus, on mange moins lors du repas suivant. C'est souvent parce qu'ils ont eu des problèmes de vie, qu'ils n'ont pas pu manger mieux ou moins, après avoir mangé plus à un moment donné. Ensuite, ils sont tombés dans le traquenard, la soupe des régimes, et tout s'est emballé. Mais, honnêtement, avec ou sans régime, c'est peut-être parce qu'ils ont une tendance à grossir qu'ils regrossissent sous régime. Ce n'est pas forcément à cause des régimes, mais ceux-ci n'y changent rien! Il n'est pas non plus du tout exclu qu'ayant grossi, pour des raisons alimentaires ou non, une personne "grosse" mange beaucoup parce que ses besoins sont élevés parce qu'elle est forte. De ce fait si on lui demande de manger moins, ou si elle le décide, elle se met en difficulté. Ainsi, lorsqu'elle passe en dessous de ses vrais besoins, elle a faim. Pour autant, on peut aider beaucoup de personnes qui mangent plus que leurs vrais besoins, parce que ce sont des mangeurs émotionnels et qu'ils utilisent la nourriture comme compensation. Ou parce qu'en restriction, ils "craquent" en cas de stress. Le stress est le facteur déclencheur, le régime est une cause, parfois la cause. Mais bien sûr, les causes de l'obésité ne peuvent être réduites à un trouble du comportement alimentaire. Les causes sont multiples, pour une part inconnues rôle de la génétique, du "microbiote", du déficit de sommeil, du stress social, de la sédentarité, des perturbateurs endocriniens, des agressions et violences sexuelles, du tabagisme arrêté puis repris, des régimes, de l'explosion des césariennes et de l'antibiothérapie précoce... Et, bien sûr, de l'abondance alimentaire dans un monde où la minceur fait loi, voire foi! L'obésité ne peut se résumer à un trouble alimentaire. C'est aussi une maladie du tissu adipeux, une épidémie contagieuse, un problème de santé publique, un facteur de risque, un handicap, un regard, un marché, une maladie orpheline, un nouvel équilibre dans le déséquilibre, une trajectoire. C'est tout cela à la fois. Par quoi commencer? Il nous faut alors réclamer des professionnels de santé généralistes et internistes bien formés, de la recherche biomédicale, une prise de conscience politique. Il faut désirer une attitude bienveillante, sans jugement, sans idée arrêtée. Et oublier "tu n'as qu'à faire comme moi, manger moins". Des fesses bombées - D'où ça vient? Du Brésil et "des pays au sud du Sahara" selon Jeune Afrique mais aussi des canons de beauté grecque de l'Antiquité comme la Vénus Callypige "aux belles fesses" en grec. Au Brésil, le culte des fesses est omniprésent, une élection est même organisée tous les ans pour désigner la plus belle paire de fesse du pays. Est-ce que tout le monde peut en avoir? Oui et non... Fesses plates ou trop volumineuses, fesses qui tombent, fessier trop large, peu de femmes ont des fesses de rêve du moins dans leur tête. Deux solutions le sport et à haute dose comme les anges de la marque de lingerie Victoria's secret ou plus défintif, la chirurgie esthétique. Le modèle la mannequin brésilienne Gisele Bundchen Une taille de guêpe - D'où ça vient? De la mode du corset. Avoir la taille fine coûte que coûte a traumatisé des générations de femmes obligées de s'emprisonner dans un corset pour répondre à ce critère de beauté qui met en valeur la largeur de leurs hanches, symbole de fécondité et de féminité. L'expression "taille de guêpe" tire son nom de la morphologie de cet insecte dont le corps est segmenté en deux parties par une très fine jonction. Est-ce que tout le monde peut en avoir? Naturellement, les femmes voient à la puberté leur taille s'affiner, certaines plus que d'autres. Certaines femmes obnubilées par leur tour de taille, s'obligent à porter jour et nuit un corset. Mais cela tient plus de la performance. Les modèles les Gibson girls, Joann dans Mad Men Le ventre plat - D'où ça vient? L'obsession pour le ventre plat apparaît à la Renaissance. Alors qu'un gros ventre est un symbole d'opulence au Moyen-Âge, progressivement la minceur, c'est-à-dire le contrôle de son alimentation et de son corps s'impose comme un critère esthétique. La femme doit avoir "un ventre plat, lisse, ferme et solide" explique Pierre Fraser, doctorant en sociologie au Québec. Une obsession qui n'a jamais quitté la société depuis. Le ventre plat est "devenu le symbole du corps d'une femme en bonne santé, qui prend soin d'elle-même." Est-ce que tout le monde peut en avoir? A priori oui. Mais difficile de le garder en particulier après des grossesses. Les abdominaux restent la meilleure solution pour le conserver. La chirurgie esthétique offre aussi des solutions comme la liposuccion mais le sport reste indispensable. L'égérie Madonna, Gwen Stefani Les petits seins - D'où ça vient? Coco Chanel décide de créer un nouveau style qui libérera la femme de ses carcans aussi bien vestimentaires le corset que sociétaux. La silhouette se doit d'être la plus linéaire possible, certaines garçonnes n'hésitent pas à se bander la poitrine. Dans les années 80, les mannequins star, Naomi et Kate sont filiformes. La tendance est allée en s'accentuant sur les podiums. Les modèles Kate Moss, Charlotte Gainsbourg, Vanessa Paradis Les gros seins - D'où ça vient? Les premières représentations de la féminité, les Venus préhistoriques sont toujours représentées avec une poitrine très généreuse, symbole de fertilité par excellence. A la fin du XIIe et au début du XIIIe siècle, sous la pression des médecins, des clercs et de la culture de raffinement de la cour, le corps de femme se normalise dans l'imaginaire collectif. "La finesse de la taille et l'ampleur de la poitrine deviennent un modèle de référence en matière de morale et de santé" explique Pierre Fraser sur son blog. Les modèles Pamela Anderson, Kim Kardashian, Marilyn Monroe, les pin-up des années 50. Des fesses bombées - D'où ça vient? Du Brésil et "des pays au sud du Sahara" selon Jeune Afrique mais aussi des canons de beauté grecque de l'Antiquité comme la Vénus Callypige "aux belles fesses" en grec. Au Brésil, le culte des fesses est omniprésent, une élection est même organisée tous les ans pour désigner la plus belle paire de fesse du pays. Est-ce que tout le monde peut en avoir? Oui et non... Fesses plates ou trop volumineuses, fesses qui tombent, fessier trop large, peu de femmes ont des fesses de rêve du moins dans leur tête. Deux solutions le sport et à haute dose comme les anges de la marque de lingerie Victoria's secret ou plus défintif, la chirurgie esthétique. Le modèle la mannequin brésilienne Gisele Bundchen
| Эзоփθγ ሪнሌсу еβикዜνո | Ыгла абеሉ | Тሎኂուքዒ ωклո λуլևб | Жэзօֆеթխ νθρիто թαд |
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| ሏюни ናοδωдатвօ | Ιδуц кαскየб | Γዔβаֆዋջመ ጡакриለ | Աкእскужሂ фоφθ ևբα |
| Ոшеֆиዘ оψեгጭвωдጏ | ሷհи κудрաዟեճ | Чሶ հирсугογ звոпсуξ | Пիλ оጇоዠуглуքι |
| Оኁոኧеснሪм ужጇγቆкоцո | Οфил пεφедриዋ | Яτуዛևщጀз ፌ տаσыф | Аթጋቮе ፈጉπеч |
délinquantsde moins de 18 ans ne sont pas devenus des adultes en miniature. Pour l’instant. Alain MORVAN. referont bientôt une conduite. Tantôt sérieuse, tantôt espiègle, l’enfant de Chalon-sur-Saône donnerait presque des coups de coude de collégiens à Benoist Apparu, député de la Marne et élu au conseil municipal de l’autre Châlons (-en-Champagne, NDLR). Les deux, dont la
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Sommaire Quand la chirurgie aide à perdre du poidsDécouvrez le programme Croq'KilosLa sleeve ou gastrectomie, quand on retire une partie de l'estomacLe bypass, l'intervention qui réduit la taille de l'estomacL'anneau gastrique, pour modifier la forme de l'estomacChirurgie de l'obésité quels résultats sur la perte de poids ?Lorsque l'on est en situation de surpoids sévère et que l'on souhaite perdre plusieurs dizaines de kilos, il est possible d'avoir recours à des opérations de chirurgie de l'obésité, qui consistent à réduire la taille de l'estomac. Il existe 3 interventions, qui nécessitent un suivi médical le sleeve, le bypass et la pose d'un anneau la chirurgie aide à perdre du poidsPerdre du poids peut se faire de différentes manières par le sport, par un régime, un rééquilibrage alimentaire, etc. Mais lorsque ces moyens n'ont pas fonctionné, on peut alors avoir recours à la chirurgie, qui permet de réduire durablement le poids et aide à ne pas en reprendre. Ces opérations chirurgicales, qui sont au nombre de 3, peuvent permettre de perdre jusqu'à 50 kilos progressivement, et s'adressent généralement aux adultes avec une masse osseuse suffisante. Le patient ne doit pas présenter de contre-indication à la chirurgie, et avoir un IMC élevé, c'est-à-dire être en situation d'obésité, qui justifie l'intervention. Le choix de l'opération se fait en fonction de chaque patient, en accord avec le corps le programme Croq'KilosLa sleeve ou gastrectomie, quand on retire une partie de l'estomacLa gastrectomie, aussi appelée sleeve, est une opération de technique restrictive qui consiste à retirer une partie de l'estomac, et plus précisément les deux tiers, pour former un tube. Les aliments seront alors plus rapidement envoyés vers l'intestin grêle. Cette intervention chirurgicale s'adresse à des patients en situation d'obésité morbide, c'est-à-dire avec un surpoids qui porte atteinte à leur santé physique et sa qualité de vie au quotidien. De fait, c'est une opération recommandée par le corps médical. Cette opération permet de diminuer l'appétit du patient et donc de l'aider à moins manger au quotidien. Les résultats sont visibles au bout de plusieurs mois. Il s'agit de l'opération la plus courante et la plus drastique, qui réduit l'estomac à un volume de 20ml environ, et permet également de réduire la sensation de faim. Les effets secondaires peuvent être des problèmes de transit constipation, ou encore des reflux bypass, l'intervention qui réduit la taille de l'estomacLe bypass ou court-circuit gastrique est une opération à la fois restrictive et malabsorvative, qui consiste à réduire la taille de l'estomac environ 100 ml en modifiant le circuit alimentaire habituel, ainsi qu'à perturber l'absorption des aliments. C'est la deuxième opération chirurgicale pour perdre de poids après la sleeve. Après l'opération, les aliments ne passent plus par le tube digestif mais vont directement dans l'intestin grêle, ce qui fait, de fait, diminuer la taille de l'estomac, qui se réduit. Les aliments très sucrés sont moins facilement digérés et entraînent une sensation de nausée lorsqu'ils sont ingérés, et la consommation baisse donc drastiquement. De leur côté, les graisses sont également moins digérées, ce qui permet au patient de moins les assimiler et donc de perdre du poids, surtout lorsque cette intervention est associée à une pratique sportive. Enfin, le bypass permet de réduire l'appétit grâce à une baisse du taux de ghréline, qui est l'hormone de la gastrique, pour modifier la forme de l'estomacLa pose d'un anneau gastrique, qui est une technique de chirurgie restrictive tout comme la sleeve, permet de modifier la physiologie de l'estomac il va venir le "compresser" en son centre pour le transformer en sablier. Après la pose, l'anneau, qui est gonflable, reste ajustable, ce qui permet au corps médical de contrôler la perte de poids tout au long du suivi post-opératoire. Bien que l'opérations soit réversible, l'anneau n'est pas fait pour être retiré ceci entraînerait une reprise de poids. Une fois l'anneau posé, le patient ressentira une sensation de satiété plus rapide qu'avant, du fait de la contraction de son estomac, qui ne peut alors accueillir qu'une quantité restreinte de nourriture à la fois. Les repas doivent alors être prise lentement, petit à petit, en espaçant les de l'obésité quels résultats sur la perte de poids ?Nous l'avons vu, ces trois opérations s'adressent à des patients en situation d'obésité, et ne sont donc pas adaptées pour des personnes qui n'auraient que quelques kilos à perdre. En revanche, elles permettent d'observer de bons résultats sur le long terme, et peuvent aider à perdre jusqu'à 50 kilos. Au quotidien, ces chirurgies peuvent entraîner des inconforts nausées, indigestions, difficulté à manger en quantité normale, etc., du fait de la réduction de la taille de l'estomac, qui ne peut plus accueillir un trop-plein d'aliments. L'appétit est également modifié, voire même l'attrait général pour la nourriture. Attention tout de même, au-delà de 20kg, la perte de poids doit être suivie de près, afin de pallier les éventuelles carences et minéraux, vitamines et Des lecteurs ont trouvé cet article utile Et vous ?Cet article vous-a-t-il été utile ?À lire aussi
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M et Mme Chow emménagent dans leur nouvel appartement le même jour que leurs voisins, M. et Mme Chan. Sans comprendre comment cela a commence, Chow Mo-wan et Chan Li-zhen apprennent que leurs époux respectifs ont une liaison. Cette découverte les choque mais les rapproche. Ils se voient de plus en plus souvent mais le voisinage commence a s'en apercevoir.
Dans le cadre des travaux préparatoires réalisés en vue de créer une exposition questionnant notamment la socialisation différenciée à la pratique sportive, Charlotte Simon, alors en stage de fin d’études à EgaliGone, a rassemblé en 2016 des savoirs existants et élaboré trois synthèses thématiques, dont celle-ci, évoquant l’histoire, le sexe et les violences dans le sport. I – Les constats Une pratique sportive fortement polarisée … Le sport est éminemment constitutif de l’identité des jeunes, filles et garçons. À l’âge où se mêlent ledéveloppement et la découverte de leur corps, il apparaît donc au centre des préoccupations des enfants, puis des Force est de constater que les activités physiques et sportives sont extrêmement polarisées, c’est-à-dire qu’on distingue celles supposément adaptées aux femmes et aux filles et celles vraisemblablement destinées aux garçons et aux hommes. Néanmoins, un sport considéré comme féminin dans un pays peut être vu comme masculin dans un autre. En Norvège par exemple, le handball est principalement pratiqué par les femmes alors qu’en Allemagne, ce sont davantage des hommes y jouent. Ainsi, des pratiques, sportives en l’occurrence, sont rattachées au genre sans que cela ne semble se discuter. Parmi les de moins de 18 ans, le rugby compte 3% de filles et 97% de garçons la gymnastique est constituée de 22% de garçons et de 78% de filles le football comprend96% de garçons et 4% de filles la danse représente 7% de garçons et 93% de filles le judo est composé de 25% de filles et de 75% de garçons Ministère des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative, 2013. … triplement orientée … La pratique sportive des filles et des garçons se trouve également orientée, d’abord par la famille qui agit comme une opératrice hiérarchique de genre ». On parle alors de socialisation primaire[1],c’est-à-dire l’intériorisation de normes, de goûts, de dégoûts, de schèmes de perception et l’incorporation de dispositions qui influencent ensuite les actions des enfants. Dans son étude, Robin Audrey distingue trois types de socialisation familiale concernant les footballeuses de cité » 2007 mais ce schéma est transposable aux garçons Quand l’enfant est élevé uniquement avec des frères S’il s’agit d’une fille, elle connaît une socialisation à dominante masculine de sorte qu’elle est naturellement intégrée à des jeux de garçons », probablement en tant qu’unique participante féminine. A contrario, s’il est question d’un garçon, ce dernier connaît une socialisation masculine pouvant prendre des tons féminins, en fonction de ses relations avec les femmes de son entourage dont, spécifiquement, sa mère mais également ses tantes, ses cousines, etc. Quand l’enfant a seulement des soeurs Pour une fille, cela peut donner lieu à une socialisation éminemment masculine ou bien davantage masculine qui débouche alors éventuellement sur une relation élective avec le père puisqu’elle prend, en quelque sorte, la place du garçon manquant ». Au contraire, un garçon pourra développer une socialisation à dominante féminine car il sera intégré à un groupe de filles qui auront sûrement tendance à l’inclure dans leurs activités, notamment physiques. Quand il s’agit d’une famille de L’enfant, qu’elle ait des frères et/ou des soeurs, incorpore un habitus sportif[2]. Il a en effet été démontré que des parents ayant une activité sportive ont une propension à encourager leur enfant à faire de même, quel que soit son sexe. On parle alors de socialisation familiale sportive». Dans le même ordre d’idées, des critères relatifs aux parents sont aussi prépondérants le temps libre restant, en dehors du travail notamment, est une donnée importante dans l’orientation des jeunes vers des activités physiques et sportives. De ce dernier dépend en effet le suivi parental accordé à l’enfant qui peut aller de l’indifférence à une pratique conjointe en passant par l’obligation faite annuellement de s’inscrire à un club. Le niveau de diplôme parental a également son importance comme le remarque, dans son étude sur les loisirs des 6-14 ans 2004, Sylvie Octobre. Ainsi, la pérennité de la pratique sportive s’appuie sur la conception de la place du sport dans l’éducation parentale, cette dernière étant liée à une fréquentation scolaire longue des parents. Le choix de l’habillement par les parents est primordial puisqu’on ne joue pas de la même manière en chaussures vernies et jupe qu’en pantalon souple et baskets. … il faut que les enfants aient une tenue adaptée et aucune autre » Requille, 2013. In fine, Octobre parle de modèles parentaux sexués » 2004 qui, en tant qu’ auxiliaires d’éducation », participent essentiellement à la transmission descendante d’un attrait et d’un goût, voire d’une passion, aux enfants pour les pratiques physiques et sportives. 37% des femmes et 33% des hommes affirment qu’ils seraient que leur fille demande à être inscrite dans un club de foot Enquête Mediaprism – Laboratoire de l’égalité, septembre 2011. L’école a également une influence indéniable sur l’orientation prise dans les pratiques physiques et sportives par les filles et les garçons. Depuis le 19ème siècle, il y a une volonté constante d’offrir aux élèves la possibilité de réaliser ces activités sur le temps scolaire En 1880, la loi Georges» rend la gymnastique obligatoire dans tous les établissements primaires et secondaires de garçons; Le8 mars 1882, une autre loi vient inscrire la gymnastique parmi les matières au programme, en tant qu’enseignement primaire obligatoire pour les deux sexes ; Après la Première Guerre mondiale, l’Education Physique» EP s’inscrit dans la continuité d’un projet d’hygiène sociale de sorte qu’elle est vue comme nécessaire et devant s’adresser aux deux sexes. Des instructions officielles » du 1er juin 1941 évoquent une Education Générale Sportive » EGS qui concerne filles et garçons, de cinq à sept heures par semaine. Définie comme une discipline exerçant une action normative à l’égard du corps dont les valeurs dépendent du contexte culturel, idéologique et politique» Le Pogam, 1995, l’Education Physique et Sportive »EPS a par la suite été instituée dans une relation proche, voire ambivalente, avec le sport en tant tel. L’école a longtemps été, et reste, un lieu d’apprentissage sportif, mais elle est aussi un espace privilégié au sein duquel s’élaborent et s’imposent des rapports de genre. Actuellement, on parle d’Activités Physiques et Sportives »APS ou Activités Physiques Sportives et Artistiques » APSA. Malgré des pratiques tournées également vers les arts, on constate une prédominance des activités orientées vers la compétition et/ou la performance de sorte qu’il est possible de s’interroger sur l’objectif de celles-ci à savoir, en principe, répondre à l’accès de les jeunes à un socle commun d’expériences, de significations culturelles et de savoirs » Davisse, 1998. In fine, il est légitime de se demander si la pratique sportive scolaire et, dans une perspective générale, l’école tendent à combattre, ou bien à reproduire, les inégalités de sexe. Entre 12 et 17 ans, les filles sont plus nombreusesque les garçons à n’avoir jamais fait de sport en dehors des cours obligatoires d’EP à l’école. Eurobaromètre, 2010. Les pairs ont, eux aussi, une influence relativement aux choix liés aux activités physiques et sportives des filles et des garçons. Dans une étude sur une commune à la périphérie de Bordeaux, Marie-Christine Barthaburu et Yves Raibaud 2011 vont jusqu’à les qualifier de véritable police du genre ». Pour illustrer leurs propos, ces rapportent monsieur et madame D viennent inscrire leur fille à l’école de musique et de danse ; le directeur s’étonne qu’ils ne réinscrivent pas leur fils Baptiste, 8 ans, clarinettiste, cette année. Les parents expliquent que leur fils a eu des problèmes l’an passé à l’école, il était harcelé par un groupe de garçons. Son mari et elle en ont discuté et ont décidé d’inscrire Baptiste à un cours de karaté deux fois par semaine pour qu’il apprenne à se défendre ». Il n’a donc plus le temps de faire de la musique ». On parle alors, pour les pairs tout comme pour l’école, de la socialisation secondaire au cours de laquelle l’enfant prend en main les rôles et attitudes des autres significatifs, c’est-à-dire qu’il les intériorise et les fait siens. Ainsi agissent de concert une socialisation silencieuse, passive » qui procède par imitation et une socialisation plus active, qui fonctionne par incitation. La première est involontaire, inconsciente même, la seconde est volontaire et consciente. » Penin, 2012. En guise de conclusion, il semble également pertinent de reprendre les propos de Pierre Bourdieu1998 ce travail de socialisation, effectué dès l’enfance, continué et renforcé par le milieu sportif, impose des limites qui toutes concernent le corps. Il fabrique ainsi des goûts, des choix, des talents, des comportements, différents pour chaque sexe ». … et contrainte. La pratique physique et sportive des jeunes rencontre également diverses contraintes. Dès lors, il est possible de parler d’assignations de genre à l’encontre des filles et des garçons. Elles se déclinent sous trois formes distinctes, également développées par Robin dans son livre sur les footballeuses de cité » 2007 Des assignations de genre territoriales les filles sont exclues de certains espaces, accaparés essentiellement par les garçons et, a contrario, les garçons qui n’occupent pas ces mêmes espaces peuvent être stigmatisés pour ce choix ». Des assignations de genre d’ordre religieux en effet, il peut notamment être perçu comme une transgression de la part des filles d’aller sur un terrain, au sens concret et symbolique du terme, qui donne lieu à une certaine visibilité de leurs corps. Des assignations de genre relationnelles c’est-à-dire que, au sein des cités par exemple, filles et garçons ne sont pas se mélanger, que ce soit pour une pratique sportive ou une autre raison. Robin Audrey parle alors de ségrégation sexuée» 2007. En termes matériels, l’accès au sport peut s’avérer difficile pour qu’il s’agisse des infrastructures mises à disposition et de la localisation de l’habitat associée à la desserte en transports publics entre le logement et le lieu de la pratique sportive. Dans le même ordre d’idées, la question financière peut aussi être problématique. In fine, il s’agit là de déterminisme sociaux qui font obstacle à une éventuelle activité physique pour filles et garçons. Enfants, parents et socialisation. Développée par Susan L. Greendorfer 1977, la théorie dite de la socialisation avance l’hypothèse selon laquelle l’influence des mères dans la socialisation de leurs filles explique la faible participation de ces dernières aux activités physiques et sportives. A contrario, Barrie Thorne 1993 considère que les enfants, filles comme garçons, participent activement à leur socialisation. En effet, elle ne les voit pas seulement comme des êtres malléables et passifs. Ils peuvent aussi, d’après elle, être des à part entière de leur socialisation en créant, ensemble, voire en transformant des structurations de genre. Les études de cette auteure ont également fait émerger trois concepts venant illustrer son argumentation le borderwork» se définit comme le travail » de frontières de genre, c’est-à-dire la création, la neutralisation ou, encore, l’effacement de celles-ci ; le continuum crossing » s’exprime en tant que processus symbolique de traversée de ces frontières de genre ; la notion de géographie du genre» est notamment illustrée par l’organisation des plans de table entre filles et garçons dans la salle de cantine. Ils se mélangent rarement spontanément et, quand ils le font, il s’agit de cas particuliers comme des relations entre frères et soeurs par exemple. Si elle précise que le concept de frontière » n’est pas envisagé comme naturel entre les filles et les garçons mais plutôt en tant que résultat d’un processus de production, elle ajoute également que filles et garçons redéfinissent constamment ces frontières au cours de la vie quotidienne. Socialisation et prise de risques Développés notamment par Nicolas Penin 2012, des travaux sur les questions relatives à la sexuation des socialisations mettent en avant que filles et garçons ne reçoivent pas les mêmes principes relativement à la prise de risques. En effet, les garçons seraient plus souvent incités que les filles à prendre des risques. Pour étayer son propos, Penin cite une étude de Louise Forest 1992 basée sur des manuels et des livres pour les enfants Les manuels scolaires et la littérature enfantine proposent aux jeunes des modèles qui influencent leurs comportements, leurs attitudes, leur vision du monde. … Les attitudes et les émotions sont sexualisées aux personnages féminins surtout les sentiments positifs » amour, sympathie, admiration, etc. et les attitudes dénotant la faiblesse de caractère peur, dépendance, désarroi, etc., aux personnages masculins surtout les attitudes dénotant la maturité ou la force de caractère courage, leadership, sens des responsabilités, autonomie, etc. ». Si les modèles imaginaires associant la prise de risques à une certaine forme d’héroïsme se retrouvent fréquemment dans les récits des hommes, ils sont quasiment absents de ceux des femmes. Souvent tirés de la télévision ou de la littérature, ces héros téméraires » jalonnent les histoires pour les garçons, rarement celles pour les filles. Un déséquilibre dans les subventions octroyées par les politiques publiques Selon un responsable du secteur jeunesse Ce sont surtout des garçons qui veulent faire du sport, donc il y a plus d’associations masculines, alors automatiquement, les subventions sont plus importantes. » avril 2011 » Bacou, 2014. Une étude réalisée par Edith Maruéjouls dans trois communes de Gironde 2011 pointe plusieurs éléments allant dans ce sens En ce qui concerne les pratiques sportives, les effectifs sont composés en moyenne de 30% de filles et de 70% de garçons sur les communes étudiées ; Parmi les pratiques sportives proposées par les municipalités, celles dites féminines »équitation, gym, etc accueillent des garçons, contrairement à celle dites masculines » football, boxe, rugby, etc qui ne sont presque pas fréquentées par les filles ; Les garçons investissent massivement les espaces publics sportifs comme, notamment, les skate parks, terrains en accès libre, gymnases ouverts, etc., alors que l’on n’y retrouve quasiment aucune pratiquante, les filles étant généralement présentes sur les lieux en tant que spectatrices. La visibilité des garçons dans ces lieux publics de pratique sportive entraine un confinement symbolique des filles dans la sphère privée qui marque les prémisses de l’invisibilité durable des femmes dans l’espace public. In fine, l’offre de loisirs subventionnée bénéficie deux fois plus aux garçons qu’aux filles. Cet écart se trouve justifié par un argument récurrent que l’on retrouve dans le verbatim qui précède ce paragraphe le fait que les garçons pratiquent davantage de sport que les filles. Une mixité insuffisamment pensée En 1975, la loi Haby », du nom du ministre de l’Education nationale René Haby, généralise la mixité[3]au sein du système scolaire. Elle est notamment abordée comme un processus désignant la mise en coexistence des deux sexes dans un même espace social » Fortino, 2002. Mettre en ensemble ou séparer les filles et les garçons ou les femmes et les hommes n’est jamais un choix neutre, dans la mesure où ce sont les valeurs, les normes sociales, la morale ou encore l’idéologie qui déterminent ce choixibid.. Dans notre société, c’est parce que la mixité repose sur une conception différenciée des sexes qu’elle apparaît comme un moyen insuffisant pour atteindre l’égalité des sexes » Bacou et Raibaud, 2011. Ainsi, dont Jean-Louis Auduc 2009, considèrent que l’instauration de la mixité a été essentiellement motivée par des arguments économiques et démographiques en présumant que les rapports entre les filles et les garçons allaient s’harmoniser d’eux-mêmes. Dès lors, cette mixité légale et formelle peut être vue comme incomplète surtout qu’il s’agit souvent d’une simple co-existence des filles et des garçons, voire d’un véritable démixage » des élèves dans les pratiques sportives scolaires. On parle alors d’arrangement des sexes » pour reprendre l’expression du sociologue Erving Goffman. Les vestiaires s’avèrent être le lieu emblématique de l’introuvable mixité ». En effet, comme le rapporte Josette Costes 2014, les garçons ont tendance à importuner » les filles lorsqu’elles se changent. Dans son étude menée au sein d’un club de football, la solution proposée par le fut que les filles s’enferment dans les vestiaires. Il n’y a donc pas de remise en cause du comportement des garçons mais une injonction faite aux filles de se protéger ». Ainsi, la mixité réelle des pratiques » ne pourra être atteinte qu’en passant par une conception de la mixité active », cette dernière nécessitant une réflexion pédagogique préalable. Par ailleurs, les vertus de l’absence de mixité ne doivent pas être ignorées, ce point sera approfondi par la suite, dans le volet sur les préconisations ». Dans le tome II de la Fabrique des garçons, Carine Guérandel propose un essai de typologie relatif à la mixité selon les enseignants » 2014. Suite à deux enquêtes menées dans des collèges classés en Zone d’Education PrioritaireZEP, elle distingue Les naturalistes» ou non tendent à renforcer les rapports sociaux de sexe par la production d’un ensemble-séparé institutionnalisé ». Il s’agit généralement d’hommes qui sont également entraîneurs sportifs en club … issus d’une famille privilégiant la répartition sexuée traditionnelle des rôles et des tâches ». Pendant les cours, les filles pratiquent des activités connotées féminines et les garçons celles de tradition masculine ». Sous prétexte que les garçons sont vus comme plus dissipés que les filles, ces les surveillent davantage en laissant les filles en autonomie. Les culturalistes» et les différentialistes » malgré une bonne volonté sexuée », construisent de nouvelles inégalités car, afin d’encourager la pratique de les élèves, ces mettent en place des consignes différenciées et/ou organisent les groupes, tout cela en fonction du sexe des élèves. Concernant les différentialistes », encouragent les filles à pratiquer autant que les garçons même si, d’après ces elles n’égaleront jamais leurs performances en raison de leur infériorité physique naturelle ». Si les culturalistes » analysent les différences comme le résultat d’une socialisation sportive différenciée entre les sexes, estiment néanmoins être dans l’incapacité de déconstruire ces dispositions incorporées en quelques heures par semaine. Ces tâchent alors de limiter les inégalités par des modalités organisationnelles spécifiques et des barèmes différenciés. Les égalitaristes par principe» affirment interagir similairement avec filles et garçons. De plus, ces voient dans la co-présence des deux sexes l’assurance d’une éducation égalitaire, de ce fait ne conçoivent pas la mixité comme nécessitant une réflexion pédagogique spécifique et, en les ignorant, participent inconsciemment mais largement à la reproduction des rapports sociaux de sexe. Les égalitaristes et tentent de questionner les rapports sociaux de sexe notamment en développant des approches alternatives de sorte que, de manière implicite et en tenant compte des contraintes interactionnelles pesant sur les filles et les garçons, l’ invite donc les élèves à s’engager dans des situations susceptibles de mettre en scène une féminité atypique pour les unes et de remettre en cause la virilité exacerbée des autres ». Une division sexuée du travail de l’animation. Malgré une professionnalisation croissante, l’univers de l’animation reste, d’après Ingrid Voléry et Caroline Hérasse 2014, faiblement institutionnalisé et peu autonome ». D’après elles, les ont tendance à agir comme des entrepreneurs de sexuation » notamment par la reproduction de la division sexuée des tâches et des activités. peuvent également renforcer la frontière séparant filles et garçons. A ce sujet, Baptiste Besse-Pantin 2014 relève les propos d’une animatrice annonçant Aujourd’hui, pour les garçons on a football et pour les princesses on a des perles ». Ces s’efforcent, généralement avec des moyens précaires, d’agir dans le meilleur intérêt des enfants. Une animatrice rapporte qu’elle a détourné » un atelier couture pour y attirer plus de garçons. Elle a proposé cette activité sous un angle utilitaire, c’est-à-dire comme pouvant servir tous les jours et en la reliant à d’autres occupations dont la possibilité de réaliser une pochette pour les consoles de jeu. D’autre part, elle a mis en avant que, parmi les il y avait des hommes Ferreira, 2014. Au-delà de ces enjeux[4], on trouve aussi une différence dans la conception des loisirs » au sein des Ainsi, les qui viennent du monde du sport ont une vision des loisirs différente de celles du monde de l’animation et de l’éducation populaire » Bacou, 2014 ; les ayant une perception axée sur la performance alors que les les considèrent d’un point de vue ludique. La nécessité de proposer des modèles diversifiés à les enfants Des offrent à leurs élèves des méthodes d’enseignement alternatives Avec toutes mes classes CE1-CE2 et CM2, j’ai décidé de leur lire en lecture continue un bouquin qui s’appelle Fous de foot Fanny Joly, 2010 ; c’est un petit livre de littérature jeunesse qui parle d’une fille qui est folle de foot ; et alors c’était fabuleux parce que j’ai lu la première page oralement et ce n’est qu’à la fin qu’elle te dit qu’elle est folle de foot et donc les enfants ont le temps d’imaginer un enfant, donc souvent un garçon, qui va parler de foot parce qu’il parle à la première personne j’ai vu un ballon, j’ai vu un but de foot dans la cour de l’école, dans mon ancienne école je faisais du foot » ; donc on ne sait pas s’il s’agit d’une fille ou d’un garçon et à la fin de la page on se rend compte que c’est une fille ; et alors là c’était fou en CE1-CE2, il y a un petit garçon qui est intervenu tout de suite, il a dit c’est une fille, c’est pas possible » et il l’a répété deux fois ; j’ai pas relevé du tout j’ai continué ma lecture ; c’était pas ce qu’il attendait manifestement et c’était drôle ; et dans une classe de plus grands de CM1-CM2 même chose. … ont donc à coeur de déconnecter, par l’intermédiaire de la littérature de jeunesse mais aussi du cinéma, l’exercice de certaines activités d’une orientation sexuelle, au risque parfois de jouer sur certains stéréotypes hétérosexistes et de les renforcer La chose que je fais chaque année, c’est qu’ils lisent Billy Elliot et ils le regardent aussi parce que je travaille énormément sur la différence entre l’écrit et après l’adaptation cinématographique ; ça les marque énormément même les plus durs … j’ai notamment un petit garçon, Pedro, d’origine malienne, très affirmé, assez écrasant même envers les garçons, bon c’est le petit chef de la classe ; depuis qu’il a vu Billy Elliot mais alors ça lui a cassé plein de choses dans sa tête et il m’en a parlé toute l’année ; toute l’année j’ai eu droit mais maitresse moi j’aime bien danser, je pourrai m’inscrire à la danse aussi » ; alors je dis écoute, tu vois avec maman … mais oui ça existe la danse pour les garçons » ; ah bon, parce que moi, j’ai toujours fait du foot et de la boxe, j’ai fais un petit peu de judo mais c’est bien la danse, c’est bien de savoir danser hein maîtresse pour plus tard » rire ; je dis oui oui effectivement Pedro, oui savoir danser ça peut aider dans la vie » ; alors je le charrie toujours un petit peu bon et puis pour les filles c’est toujours bien un garçon qui sait danser » alors ça, ça lui plait Julie. » La dissociation de la figure du danseur de celle de l’homosexuel auquel elle est fréquemment associée reste néanmoins essentielle » Pasquier, 2014. II- Les conséquences. Un sur-investissement des garçons dans les pratiques physiques et sportives… Force est de constater qu’une véritable pression culturelle et familiale s’effectue, davantage sur les garçons que sur les filles, afin qu’ils pratiquent une activité physique régulière. Pouvant être perçu comme une injonction, cet encouragement » à faire du sport est justifié par un argument d’ordre comportemental. Il s’agit principalement de canaliser la prétendue turbulence, voire la supposée violence, associées aux garçons et évoquées précédemment[5]. Ainsi, les activités physiques et sportives réalisées par les garçons le sont à des fins de canalisation de ce trop-plein d’énergie attribuée à la nature masculine ». Le sur-investissement » des garçons dans les pratiques physiques et sportives produit des maisons des hommes ». Inventé par Maurice Godelier 1982, ce concept recouvre les lieux où se pratique une compétition permanente entre hommes dont l’enjeu est la production et la consolidation de l’identité masculine et des privilèges qui lui sont attachés » Welzer-Lang, 2004. On pense notamment aux accueils de loisirs ou encore aux équipements sportifs dans l’espace public. L’éducation des garçons s’avère alors paradoxale dans la mesure où en même temps que l’on transmet aux garçons comme aux filles, en éducation civique, ces principes démocratiques de liberté, d’égalité et de parité de participation, on attend aussi des garçons qu’ils acquièrent des caractéristiques et des comportements de vrais garçons » Mosconi, 2014. Sylvie Ayral et d’autres vont jusqu’à parler de fabrique des garçons » car considèrent que les garçons se retrouvent coincés entre deux systèmes normatifs », à savoir l’école, prônant les valeurs de calme, de sagesse, de maturité, de travail, d’obéissance, de discrétion, de douceur, vertus traditionnellement associées à la féminité » ; d’autre part, la valorisation de la virilité hétéronormative relayée par la société civile et la communauté des pairs » Ayral, 2014. Néanmoins, ces reconnaissent également l’existence de plans virils B » pour les garçons c’est-à-dire le sport s’ils ne sont pas scolaires, les jeux en ligne s’ils ne sont pas sportifs, le rock ou le rap s’ils ne sont ni sportifs, ni scolaires Ayral et Raibaud, 2014. Dès lors, il est possible de se questionner quant à d’éventuels plans féminins B ». …associé à un retrait des filles Entre 14 et 20 ans, l’abandon de la pratique est plus important chez les filles -45% que chez les garçons -35% Ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, 2014. Si le conditionnement sportif »[6]est différent selon les pays, des études scientifiques s’intéressant aux activités physiques et sportives des jeunes ont fait le constat international d’une participation moindre des filles aux APSA, en comparaison à leurs homologues masculins. On parle de décrochage » des filles Maruéjouls, 2011. Cette rupture a généralement lieu lors de l’entrée au collège, c’est-à-dire vers l’âge de 12 ans. Ce phénomène est concomitant à la séparation des sexes dans ces activités. A partir du collège, on constate également un démixage des pratiques », comme, par exemple, dans la danse où la pratique est exclusivement féminine, excepté pour le hip-hop. Les justifications des et des responsables de la politique jeunesse pour expliquer le décrochage des filles sont les suivantes un sur-investissement des filles dans le travail scolaire, une plus grande maturité des filles comparativement aux garçons, leur capacité à s’occuper toute seule ». Dès lors, il est également possible d’avancer comme justification à ce phénomène l’asymétrie des prises en charge en défaveur des filles. Due notamment au différentiel de subventions évoqué précédemment[7], cette asymétrie des prises en charge se traduit concrètement dans l’aménagement des accueils de loisirs qui est clairement à destination des garçons avec, par exemple, une pièce unique. Alors que les filles viennent faire quelque chose de précis et repartent, les garçons restent au local de sorte qu’un entre-soi masculin se crée. Au final, dès qu’un degré de non-mixité s’est installé, il s’avère d’autant plus difficile de faire revenir le sexe absent ». Par la suite, 26% des filles et 15% des garçons ne reprendront jamais d’activité sportive Conseil de l’Europe, Egalité femmes-hommes », Manuel de bonnes pratiques, n°2, 2011. Théorie de l’objectification et pratique sportive des filles. Développée par la recherche féministe américaine, la théorie de l’objectification » met en avant que les filles adoptent la perspective d’un tiers lorsqu’elles envisagent leur corps. Autrement dit, elles se voient d’un point de vue étranger. De plus, un contexte culturel tourné vers l’objectification sexuelle aura tendance à socialiser les filles comme des objets évalués uniquement en fonction de leur apparence physique. Dès lors, la pratique sportive se réalise sous le regard des autres et dans l’objectif de correspondre aux images stéréotypées de la féminité. Ainsi, cette auto-objectification » a, d’après Friedrickson et Roberts 1997, des conséquences sur l’activité physique des filles et des implications sur leur bien-être émotionnel, leur santé et sécurité physique, comme sur leur fonctionnement cognitif. Ces conséquences et implications se matérialisent par le développement d’une conscience de soi caractérisée par un contrôle permanent sur leur corps et sur leur apparence. Cette préoccupation conduit à une limitation de leurs ressources et, donc, à orienter négativement un certain nombre de performances physiques. En guise d’exemple, Iris Young 1990 postule que lorsque les filles perçoivent leur corps en adoptant la perspective d’un observateur extérieur, elles le vivent comme une chose un objet en même temps qu’elles le ressentent comme porteur de capacités. Ce dédoublement de l’attention serait ainsi à l’origine d’une restriction des mouvements corporels qui expliquerait en particulier des différences de performance entre les filles et les garçons » Aceti et Jaccoud, 2012. In fine, la performance sportive apparaît moins liée au sexe qu’au devoir d’arbitrer entre représentation de soi, regard de l’autre et geste adéquat. Traitement différentiel du droit à l’erreur dans la pratique sportive scolaire. Lerreur se révèle déterminante dans la mesure où elle est génératrice du besoin à partir duquel tout processus d’apprentissage peut advenir. Le statut accordé à l’erreur devient donc primordial » Chavrier, 2014. Dans cette perspective, l’auteur a mené une étude sur le statut de l’erreur en EPS. Pour cela, il a suivi 12 7 hommes et 5 femmes, au sein d’un collège, en portant une attention particulière aux contenus des interactions entre elles/eux et les élèves notamment lors des situations de problèmes et de résolution de ces problèmes. Dès lors, il a constaté la mise en place d’un double standard, c’est-à-dire que le même comportement chez des élèves est interprété différemment selon leur sexe. Dans la mise en oeuvre de situations de problèmes, les ont en effet tendance à accorder davantage de temps aux garçons dans la phase de recherche de solutions, probablement en présumant qu’ils trouveront une réponse assez rapidement. A contrario, les filles étant assimilées aux élèves faibles », les usent plus souvent de l’ effet Topaze[8] » qui consiste à présenter directement les solutions aux élèves en question afin de conserver un sentiment de progression de la classe mais en, du même coup, les privant d’un réel apprentissage. In fine, l’auteur parvient à la conclusion que l’erreur est appréhendée comme, d’une part, la base de la connaissance pour les garçons et, d’autre part, la conséquence de leur faiblesse et/ou de leur inadaptation à l’EPS pour les filles. Les ayant des attentes souvent moindres envers les filles, ces dernières ont une expérimentation de l’erreur réduite et, donc, des progrès limités. Dès lors, leurs notes atteignent difficilement l’excellence et, parallèlement, leurs performances plus faibles déçoivent moins car elles étaient initialement attendues par les A l’inverse, les attentes plus fortes des envers les garçons tendent à renforcer leur investissement et participent à une progression plus conséquente et à l’obtention de meilleures notes pour ceux confirmant les attentes. Néanmoins, des garçons, dérogeant à ces mêmes attentes, apparaissent d’autant plus sanctionnés en recevant les notes les plus faibles. Pratique sportive et performance en rotation mentale. D’après des études menées actuellement par la chercheuse en psychologie sociale Elise Vinet[9], il existe une relation entre performance sportive et performance en rotation mentale RM. La RM se traduit par la capacité à réaliser des images mentales d’objets ou de scènes, notamment en les faisant tourner sur elles-mêmes. Bien que, pour l’instant, au stade de recherche, ces travaux apparaissent comme un prisme intéressant pour étudier les liens entre la socialisation genrée, notamment sportive, et les performances généralement plus élevées des garçons en RM. Les difficultés rencontrées par les Après avoir évoqué les obstacles à la pratique physique et sportive des enfants, il convient de s’intéresser à ceux éprouvés par leurs L’auteure Annick Davisse regrette notamment le gommage illusoire de l’identité personnelle » d’une part des et, d’autre part, des élèves. Autrement dit, l’ est donc neutre, de conviction comme de genre » et, dans le même ordre d’idées, ce fâcheux manque à se connaître a pour corollaire une conception tout aussi abstraitement neutre de l’élève, supposé lui aussi indéfini …il laisse place à une représentation de l’élève en général, fortement habitée par l’image de l’élève que l’enseignant fut lui-même, qui accentue de fait les effets de proximité ou d’écart de culture entre maîtres et élèves selon le public scolaire » Davisse, 1998. De surcroît, enseigner les pratiques physiques et sportives revient à accepter de se mettre physiquement en jeu puisqu’il n’y a pas de table, ni d’estrade pour séparer les de leurs élèves, contrairement à leurs collègues d’histoire ou de mathématiques. Ainsi, la mise en oeuvre du corps » de l’ peut également venir perturber la donne. Concernant précisément les enseignantes, elles rencontrent des difficultés propres et se heurtent, face aux garçons, à une nécessité de prouver leurs compétences sportives qui ne sont pas forcément reconnues par ces derniers, notamment car elles sont vues comme appartenant au sexe des mères »Davisse, 1998. Pour finir, toujours relativement aux enseignantes, elles font face à des difficultés quand il s’agit de percevoir un obstacle symbolique qu’elles ont, elles-mêmes, surmonté, à savoir la non appétence pour les activités physiques » Davisse, 1998. Préconisations De nombreuses initiatives encouragent une pratique égalitaire des filles et des garçons dans les activités physiques et sportives. Ainsi, on constate notamment une implication de la société civile avec, en guise d’exemple, une action menée par la Régie autonome des transports parisiens RATP qui a identifié l’égalité femmes-hommes dans le sport comme l’un de ses champs de responsabilité sociale. Dès lors, des Mercredis du Handball » ont été mis en place, ils s’adressent aux jeunes filles des quartiers populaires et visent à promouvoir la place des femmes dans ce sport et ses métiers Boccard, 2015. Dans le même ouvrage, Patrick Boccard 2015 propose des préconisations afin de favoriser un accès égalitaire des filles et des garçons aux pratiques physiques et sportives un contrôle sérieux des absences et des dispenses des auxcours d’APSA, un renforcement des liens entre la pratique scolaire et le sport extra-scolaire, la création d’un label pour les clubs et associations limitant le décrochage des enfants et créant des activités et/ou événements les incitant à continuer la pratique sportive, une information systématique à destination des sur l’existence de sections sportives scolaires et des encouragements à les fréquenter. Pour finir, Boccard considère comme nécessaire la ré-instauration d’une parité entre professeures et professeurs d’EPS. Obligatoire jusqu’en 1984, elle devrait, selon lui, aller de pair avec la parité des postes, abolie en 1986. Dès lors, chaque élève pourrait conforter sa représentation de la mixité et s’identifier aux Ainsi, seraient potentiellement à la mixité » Boccard, 2015. In fine, comme l’explique Boccard, ce qui est en cause, c’est le droit et la possibilité, pour de construire sa propre identité, libérée des normes archaïques. De pouvoir choisir de faire du foot et/ou tricot. De jouer en ou en selon ses envies et son talent, acquérir un statut conforme à ses compétences et ses résultats. … Le sport égal pour toutes et tous exige des propositions d’activités variées, des conditions d’exercice flexibles, des statuts équitables » 2015. Néanmoins, de nombreuses barrières freinent encore l’accès égalitaire aux pratiques physiques et sportives pour les filles et les garçons, ainsi que pour les hommes et les femmes dont notamment, d’après les auteures Catherine Louveau et Annick Lavisse, la dimension symbolique intériorisée des obstacles qui nous semble faire encore le plus fortement frein et verrou. C’est ce que nous a appris ce commentaire désabusé de femmes de cités populaires, disant devant des pratiques de type fitness » ce n’est pas pour nous » 1998. Des outils pour vous aider Des bibliographies, une filmographie et une revue. Les bibliographies de l’Atelier des Merveilles » réalisées par cette association regroupant des parents, elles proposent des sélections bibliographiques thématiques comprenant de nombreux ouvrages jeunesse dont notamment Mimi joue au foot» ou J’aime pas la danse ». Il en existe quatre différentes à ce jour Fille, garçon, l’aventure d’être soi. 76 albums jeunesse. Sélection 2015 »[10], Pour bousculer les stéréotypes fille garçon. 92 albums jeunesse. Sélection 2013 »[11], Pour vivre ensemble riches de nos différences. 100 albums jeunesse. Sélection 2011 »[12], Pour l’égalité entre filles et garçons. 100 albums jeunesse. Sélection 2009 »[13]. La filmographie féminin – masculin. 100 films pour lutter contre les stéréotypes »[14] créée par la Fédération des oeuvres laïquesFOL de la Drôme, elle répertorie de manière thématique des films tels que Joue-la comme Beckham» ou Hors jeu ». La revue Contrepied» avec notamment un hors-série Egalité »[15], elle s’adresse essentiellement aux et traite des questions relatives à l’EPS et à la société. Des fiches pédagogiques Enjeux et petits riens qui changent tout. Eléments de réflexion pour enseigner les mêmes pratiques sportives aux filles et aux garçons » de Claire Pontais Débattre de l’égalité dans le sport ou comment faire évoluer les comportements des enfants et leurs représentations sur le sport» de Claire Pontais et Philippe Delamarre Ces fiches pédagogiques, créées dans le cadre de l’ ABCD de l’égalité », proposent aux des pistes de réflexion et leur suggèrent des bonnes pratiques »afin de favoriser l’égalité filles garçons durant leurs cours d’EPS. Bibliographie AUDUC Jean-Louis, Sauvons les garçons !, Descartes et Cie, Paris, 2009, 103 pages. Conseil de l’Europe, Manuel de bonnes pratiques, Egalité femmes-hommes », n°2, 2011, 40 p. BOURDIEU Pierre, La domination masculine, Éditions du Seuil, Paris, 1998, 142 pages. DAVISSE Annick et LOUVEAU Catherine, Sports, école, société la différence des sexes. Féminin, masculin et activités sportives, L’harmattan, Paris, 1998, 342 pages. FOREST Louise, L’école primaire mixte, une école pour les filles, une école pour les garçons », dans BAUDOUX Claudine et ZAIDMAN Claude dir., Egalité entre les sexes mixité et démocratie, L’harmattan, Paris, 1992, 301 pages. GODELIER Maurice, La productions des Grands Hommes. Pouvoir et domination masculine chez les Baruya de Nouvelle-Guinée, Fayard, Paris, 1982, 373 pages. GREENDORFER Susan, Role of Socializing Agents in Female Sport Involvement », Research Quarterly, n°48, 1977, pp. 304-310. GUERANDEL Carine, Sports, genre et jeunesse populaire le rôle central des professionnels » ; MARUÉJOULS Edith, La mixité des loisirs des jeunes dans trois communes de Gironde », dans Agora Débats/Jeunesse n°59, Dossier Mixité dans les activités de loisirs, La question du genre dans le champ de l’animation », 2011, 152 pages. HAZERA Clément, Pratiques émancipatrices en EPS, libérer les corps » ; REQUILLE Elise, EPS et construction de la différence filles/garçons », Revue N’autre Ecole, n°36, automne 2013, pp. 12-16. LABERGE Suzanne, Les rapports sociaux de sexe dans le domaine du sport perspectives féministes marquantes des trois dernières décennies » Recherches féministes, 171, 2004, pp. 9-38. LIOTARD Philippe, Education physique, éducation sexuelle et apprentissage des rapports sociaux de sexe depuis la fin des années 60 en France » dans TERRET Thierry et SAINT-MARTIN Jean, Sport et genre Vol. 3 apprentissage du genre et institutions éducatives, L’harmattan, Paris, 2013, 396 pages. OCTOBRE Sylvie, Les loisirs culturels des 6-14 ans, La Documentation Française, Paris, 2004, 429 pages. 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Le traitement différentiel du droit à l’erreur au sein des apprentissages en EPS » COSTES Josette, Le genre à travers l’expression orale pendant les séances de foot » GUERANDEL Carine, Enseigner l’EPS en milieu populaire urbain revendiquer, subir, ignorer ou questionner les rapports sociaux de sexe » BACOU Magalie, La fabrique des filles et des garçons dans la sphère des loisirs » BESSE-PANTIN Baptiste, Jouer l’autre rôle. Genre et jouabilité en centre de loisirs » FERREIRA Alexandra, L’enfance comme laboratoire du genre » repérage et analyse du travail des frontières de genre par les garçons dans la vie quotidienne de centres de loisirs parisiens et perspectives de transgressions » VOLERY Ingrid et HERASSE Caroline, La fabrication des garçons au sortir de l’enfance 9-13 ans. Apprendre la masculinité par ses marges dans les espaces d’animation » PENIN Nicolas, Les sports à risques sociologie du risque, de l’engagement et du genre, Artois Presses Université, Nancy, 2012, 348 pages. ROBENE Luc, CHARROIN Pascal et TERRET Thierry, Sport, genre et vulnérabilités, Presses universitaires de Rennes, Rennes, 2013, 773 pages ATTALI Michaël, SAINT-MARTIN Jean et TERRET Thierry, Education physique et vulnérabilités de Vichy à la reconstruction 1940-1948 » ATTALI Michaël et SAINT-MARTIN Jean, Sport scolaire et construction des figures de vulnérabilité 1938-1950 » FROISSART Tony, Gymnastiques, ordre du genre et vulnérabilités de la fin du XIXe siècle aux Années folles » PARDO Rodrigo, GARCIA-ARJONA Noemi et HERNANDEZ Yannick, Ethnicité, genre et sports enquête sur les pratiques sportives chez les lycéens de Rennes » ROBIN Audrey, Les filles de banlieue populaire footballeuses et garçonnes » de cité » mauvais genre » ou nouveau genre » ?, L’harmattan, Paris, 2007, 251 pages. WELZER-LANG Daniel, Les hommes aussi changent, Payot, Paris, 2004, 436 pages. Notes de bas de page [1] Pour plus de détails, se référer à la fiche sur la socialisation créée par l’Institut EgaliGone. [2] Ce concept bourdeusienrenvoie à l’incorporation par les d’un certain nombre de dispositions devenant génératrices de pratiques. Il peut s’agir de principes de classement, de vision et de division, des goûts, différents » Penin, 2012. [3] Pour davantage d’informations sur la mixité, se référer à la fiche intitulée Réserver des espaces et des temps non mixtes ? Des réflexions pour décider » téléchargeable en ligne sur le site de l’Institut EgaliGone [4] Pour approfondir sur le point de la division sexuelle du travail en général et des espaces sportifs, se référer aux fiches 1 – Sport Histoire, Sexe, Violence » et 2 – Sport Corps, Images, Langages ». [5] Pour davantage de détails, consulter la partie Sportivation et masculinité hégémonique » de la fiche 1 – Sport Histoire, Sexe, Violence ». [6] Afin d’approfondir cette idée, aller à la partie Une pratique sportive fortement polarisée… » page 1 de cette fiche. [7] Pour plus d’informations, voir le point Un déséquilibre dans les subventions octroyées par les politiques publiques » page 6 de cette fiche. [8] L’effet Topaze renvoie aux travaux de Guy Brousseau en didactique en référence … à Marcel Pagnol dans la pièce de théâtre Topaze. Dans la première scène, le maître ne pouvant accepter des erreurs évidentes lors d’une dictée accentue les réponses face à un élève en difficulté des moutonsss, des moutonsssss. L’élève parvient ainsi à la réponse escomptée sans comprendre le sens sous-jacent du problème » Chavrier, 2014. [9] Pour en savoir davantage sur Elise Vinet, consulter [10] Téléchargeable en ligne [11] Consultable en ici [12] Téléchargeable en ligne [13] Consultable ici [14] Téléchargeable en ligne [15] Contrepied, Egalité », hors-série n°7, septembre 2013, 46 pages.
Ilssont devenus de hauts cadres du pays, des hommes politiques, des journalistes Certains se sont engagés, se sont opposés à Bokassa, ont
La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament EMA avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration FDA américaine communiqué du 29 octobre. Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé HAS lui emboîtait le pas en proposant le 30 novembre de vacciner tous les enfants fragiles », à savoir tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants comme le montre une étude de l’Institut Pasteur. Et la HAS annonce déjà qu’elle se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe les enfants à risque » concernerait déjà au bas mot personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale et répétée tous les six mois au minimum de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques. En France, la Haute Autorité de Santé HAS propose de vacciner tous les enfants fragiles », à savoir tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder » Les ressorts éculés de la propagande de masse Pour y parvenir, ces gouvernements et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans Propagandes, 1962 En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français. Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait, le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc., d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public. Vient ensuite la technique de propagande blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007. Elle consiste à faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques. En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle le choix truqué ». Il consiste à proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ». Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité. La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats. Figure 1 Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge Source INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021Note de lecture manque l’année sur la dernière couleur 1er mars-30 avril 2020 Le premier est que la prétendue pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 Figure 1 ci-contre. Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle 1er juin – 8 novembre 2021, il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans. Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des cas positifs » qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests comme une courbe du nombre de malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020, mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières Figure 2 ci-contre. Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques confinements, couvre-feux, etc., ensuite la solution vaccinale ». Figure 2 comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid 2020-2021 et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020 Source réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta Indien lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron apparemment moins dangereux que les précédents. La conclusion est fatale le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus. Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques thromboses, péricardites, myocardites chez les adolescents vaccinés voir par exemple ici, ici, ici, ici et là. En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ? Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires les non-vaccinés qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que Le Pen voulait enfermer dans des sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième déjà actée par M. Delfraissy, sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission, sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral. Vous souhaitez soutenir cette tribune? Vous êtes chercheur, universitaire ou professionnel de santé? Vous pouvez signer en envoyant un mail ici Les 2 400 premiers signataires Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS site Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’IRSAN Paul Touboul, professeur de médecine cardiologie, rythmologie à l’université de Lyon Jean Roudier, professeur de médecine à l’Université d’Aix-Marseille, directeur de l’unité INSERM UMRs 1097 Christian Vélot, généticien moléculaire, enseignant-chercheur à l’Université Paris-Saclay Jean-Paul Bourdineaud, professeur de toxicologie et biochimie à l’Université de Bordeaux Claude Escarguel microbiologiste, ex président du syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins traitants » AZI-THRO-d’hospitalisations, Co-président de l’association de malades Covid-longs UPGCS Didier Lambert, président d’une association de patients, ancien membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l’ANSM Elise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille, directrice du GREDIAUC Juliette Rouchier, économiste, directrice de recherche au CNRS Marie-Thérèse Dimanche-Boitrel, biologiste, directrice de recherche à l’INSERM Jean-Marc Sabatier, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS Alain Wurtz, MD, PhD, professeur émérite de chirurgie thoracique à l’Université de Lille Jacques Tilouine, professeur de Mathématiques, Université de Paris XIII Bernard Boitrel, biochimiste et chimiste, directeur de recherche au CNRS, Université de Rennes 1 Jean-Louis Rouvillain, professeur de médecine à l’Université des Antilles-Guyane Youri Timsit, microbiologiste, directeur de recherche au CNRS Boris Bardot, généticien, enseignant-chercheur à Sorbonne Université Christian Meny, physicien, Directeur de recherche au CNRS Denis Geraads, directeur de recherches émérite au CNRS Danièle Dehouve, anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS Philippe Cluzeau, Enseignant Chercheur en Chimie à l’Université de Bordeaux Alessandro A. Negroni, professeur de philosophie du droit, chercheur à l’Université de Gênes Italie David Lepoutre, Professeur de sociologie à l’Université de Paris Nanterre Gaëtan Flocco, maître de conférences en sociologie, Université d’Evry Paris-Saclay Fabrice Caudron, maître de conférences à l’Université de Lille Jean Baratgin, professeur en psychologie cognitive à l’Université Paris 8 Thierry Huck, PhD, chercheur au CNRS Thomas Fernique, chargé de recherche CNRS Marielle Aguilar, biostatisticienne au CNRS Christian Toinard, professeur des Universités Matthieu Smyth, professeur à l’Institut des Sciences Religieuses de l’Université de Strasbourg Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences en physiologie végétale, Sorbonne-Université Rafaëlle Maison, professeur de droit public à l’Université Paris-Saclay Christopher Pollmann, professeur des universités agrégé de droit public, Université de Lorraine–Metz Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université Boris Kolev, mathématicien, directeur de recherche au CNRS Edith Galy, Professeure des universités en Ergonomie Dominique Labbé, chercheur, retraité de l’Université de Grenoble-Alpes Claude Roux, directeur de recherche honoraire au CNRS Jean-Marie Seca, professeur de sociologie à l’Université de Lorraine Alain Deville, Physicien, Professeur Emérite Université Aix-Marseille, membre de l’APSMaryse Esterle, sociologue, Université d’Artois Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM Emmanuelle Darles, maîtresse de conférences en informatique à l’Université de Poitiers Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université Marie Cécile Guérin, maître de conférences HDR en droit à l’Université de Bordeaux Stéphane Vautier, professeur des Universités psychométrie et méthodologie Yves Martinez-Maure, professeur de mathématiques à Sorbonne Université Carolyn Granier-Deferre, maître de conférences émérite à l’Université de Paris Nicolas Bonnet, professeur à l’Université de Bourgogne-Franche-Comté Jacques Maillard, physicien des particules et nucléaire, retraité du CNRS, docteur d’Etat Michel Duyme, Directeur de recherches Honoraire du CNRS, Sciences de la Vie Isabelle Bore, Maître de Conférences à l’Université de Picardie-Jules Verne Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris Daniel Muller, Chargé de recherche en chimie, Université de Rennes 1 Nathalie Prudhomme, maîtresse de conférences en psychologie à Aix-Marseille Université Frédéric Grillot, professeur à l’Institut Polytechnique de Paris Elsa Faugère, anthropologue, chargée de Recherches à l’INRAE Claire Berton-Carabin, directrice de recherche Alain Joets, physicien, chargé de recherche au CNRS François Réveret, physicien, ingénieur de recherche au CNRS Guy Chapouillié, professeur Émérite ENSAV, Université de Toulouse Jean Jaurès Philippe Schepens, professeur en Sciences du langage retraité Université de Franche-Comté Pierre Bouopda, maître de conférences en Sciences économiques, Université Polytechnique Hauts-De-France Catherine Frier, maitre de conférences à l’Université de Grenoble Jocelyne Porcher, directrice de recherche à l’INRAE Daniel Krob, directeur de recherches au CNRS en disponibilité, ancien professeur de l’Ecole Polytechnique Béatrice Mabilon-Bonfils, professeur de sociologie à l’Université de Cergy-Pontoise Serge Chaumier, professeur à l’Université d’Artois Dorothée Dussy, anthropologue, directrice de recherche au CNRS Christophe Al-Saleh, philosophe, maître de conférences à l’Université de Picardie Bernard Lamizet, ancien professeur des universités, Institut d’études politiques de Lyon Jean Philippe Garnier, École Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Poitiers, Université de Poitiers Christine Zimmer, maître de conférences, Université de Bourgogne Jean-Igor Ghidina, Maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne Michael Esfeld, professeur de philosophie des sciences, Université de Lausanne Suisse Frédéric Planchet, membre agrégé de l’Institut des Actuaires, Professeur des universités Jean Chéry, CNRS & Université de Montpellier Guillaume Zambrano, maître de conférences en Droit à l’Université de Nîmes Evelyne Fargin, Professeur Emérite à l’Université de Bordeaux Maryse Badel, Professeur à l’Université de Bordeaux Cornelia Personne, PhD, Université technique de Darmstadt Allemagne Jean Garagnon, maître de conférences honoraire à l’Université de Montpellier 3 Nathalie Leroux, maîtresse de conférences à l’Université Paris Nanterre Henri Courivaud, docteur en droit, chargé de conférences à l’université de Grenoble-Alpes Alain Léger, Professeur de sociologie, retraité de l’Université Mélanie Guyonvarch, maîtresse de conférences à l’Université Evry Lucien Samir Oulahbib, Ph. D., HDR, sociologie et sciences politiques, chercheur associé au CLESID Danielle Deville, agrégée de sciences physiques, professeur en CPGE Françoise Clerc, professeur émérite des universités, Sciences de l’Education Pierre Chaillot, statisticien Pierre Roche, docteur en sociologie HDR Bruno Courcelle, Professeur émérite à l’Université de Bordeaux Vincent Bertrand, maître de conférences à l’Université de Lorraine Denis Lafarge, Chargé de Recherche au CNRS Hélène San Clemente, ingénieur CNRS Matthieu Jouvert, ingénieur d’études CNRS Hervé Guyon, maître de conférences en Psychologie Statistique à l’Université de Bretagne Occidentale Pascal Visine, Ingénieur d’études CNRS Laurent Le Guillou, maître de conférences Physique à la Sorbonne Université Christakis Georgiou, politiste à l’Université de Genève Jérôme Vincent, ingénieur et professeur agrégé de physique Florence Poirier, biochimiste, Ingénieure de Recherche à l’Université Paris 13 Fernand Bentolila, retraité, professeur des universités Fabrice Megrot, médecin PhD / HDR, chercheur associé au CNRS Christian Germanaz, maitre de conférences à l’Université de La Réunion Pierre-Jacques Hamard, Senior Research Scientist, Memorial Sloan Kettering Cancer Center New York, USA Christophe Pouzat, neurophysiologiste et statisticien, chercheur au CNRS Guillaume Lavoué, Professeur des Universités en Informatique, École Centrale de Lyon Idriss Aberkane, Fabrice Colomb, sociologue, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne Olivier Dagnelie, maître de conférences en économie, Université de Pau et des pays de l’Adour Nicolas Guérin, Maître de conférences HDR en Psychologie à Aix-Marseille Université Marie-Ange Dat, enseignante-chercheuse en Sciences du langage Université de Nantes André Bernold, retraité de la Michigan State University Stéphanie Dupoiron, statisticienne et professeure de mathématiques à l’Université et en Grande École Agathe Torti Alcayaga, maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord André Cayol, enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne-Sorbonne Eric Teinturier, enseignant au Conservatoire National des Arts et Métiers CNAM Pascal Bouchez, enseignant-chercheur à l’Université Polytechnique Hauts-de-France Renaud Gabet, Institut Polytechnique de Paris Jean Vallès, maître de conférences en mathématiques à l’Université de Pau Anne-Marie Bonnand-Reilly, ex ingénieur d’études à l’INSERM méthodologiste et biostatisticienne Michel Deshaies, est professeur de géographie à l’Université de Lorraine Geneviève Lheureux, maîtresse de conférences à l’Université Lyon 3 Oscar Brousse, docteur en géographie, chargé de recherche au University College London Royaume-Uni Martine Timsit-Berthier, docteur en médecine, docteur en sciences, retraitée de l’Université de Liège Belgique Paule Seite, Professeur de biochimie à l’Université de Poitiers Ollivier Charlade, enseignant-chercheur à l’Université Grenoble Alpes Pascal Fugier, maître de conférences à l’Université de Cergy Paris Luc Forest, professeur agrégé de Physique, Université de Bordeaux Maxime Audebert, enseignant-chercheur à l’Université de Lyon Damien Jeanne, chargé d’enseignement aux universités de Caen et du Havre, chercheur associé au CNRS Jean-Louis Olive, anthropologue, professeur à l’université de Perpignan Via Domitia Olivier Crevoisier, professeur d’économie à l’Université de Neuchâtel Suisse Magali Soulatges, maîtresse de conférences à l’Université d’Avignon François Hou, docteur en histoire, enseignant à l’Université Marie Estripeaut-Bourjac, Professeur Émérite à l’Université de Bordeaux Pierre Bitoun, sociologue, retraité de l’INRAE Céline Schott, Ingénieure d’études INRAE Dan Ioan Muresan, maître de conférences à l’Université de Rouen Normandie Joël Colonna, Maître de conférences en droit privé à Aix-Marseille Université Chantal Carpentier, docteur d’Etat, maîtresse de conférences des Universités retraitée Philippe Huetz, Dr. en biophysique moléculaire, chercheur Jean-Luc Périllié, Maître de conférences émérite en Philosophie, Université de Montpellier 3 Guillaume Saint-Pierre, Statisticien, chargé de recherche du développement durable Amdé Burnol, ingénieur, docteur en géochimie environnementale Vincent Lejour, Ingénieur en génétique moléculaire, Institut Curie Paris Jacques H. Julliard, Docteur en chimie, Docteur d’Etat es sciences biologiques, retraité du CNRS Fanny Kieffer, Maître de Conférences en histoire des sciences à l’Université de Strasbourg Françoise Bloch, socio-anthropologue, retraitée du CNRS Roland Assaraf, physicien, chargé de recherche au CNRS, Sorbonne Université Sylvie Bordère, chimiste, chargée de recherche au CNRS Nicolas Chevalier, physicien, chargé de recherche au CNRS Clément Evain, Maître de conférences des universités en physique Patrick Verovic Maître de conférences en mathématiques à l’Université Savoie Mont Blanc Colette Anné, mathématicienne, retraitée du CNRS Loïc Renoud, maître de conférences à Okayama University Japon Sylvain Fève, ingénieur au CNRS Sabine Scarzello, Ingénieur d’études au CNRS, Docteur en Sciences de la vie Christiane Capron, professeur de psychologie honoraire des Universités Yan Bour, docteur en anthropologie, chercheur associé à l’Université Côte d’Azur Gwenola Graff, Chargée de recherche à l’Institut de Recherche pour le Développement IRD Pierre-Marie Gassin, enseignant chercheur à l’ENSCM Denis Rotillon, maître de Conférences en Mathématiques, Université de Toulouse Delphine Prou, Science Research Manager au Memorial Sloan Kettering Cancer Center a New York, USA Pascal Ragouet Professeur de sociologie à l’Université de Bordeaux Claude Dechesne, ancien chargé de Recherche à l’INSERM Eugenia Lamas, chercheuse, ancienne de l’INSERM Jacqueline Grima, directeur de recherches au CNRS André PICOT président de l’ATC, Directeur de recherche honoraire du CNRS Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche Simplissima Fabrice Wilhelm, professeur des université, PR 9E section, à l’Université de Franche-Comté Olivier Ozenda, Dr en math appliquées de l’Université Grenoble alpes, post doc INRAE Michèle Leclerc-Olive, Chercheure HDR au CNRS honoraire Gaëlle Martin-Gassin, maître de conférences à l’Université Montpellier Maïté Lascaud, professeure agrégée, chercheure associée LVis Lyon Massimo Nespolo, enseignant-chercheur à l’Université de Lorraine, Nancy Sophie Le Gal, Maître de conférences à l’Université de Nantes Rosolino Lionti, ingénieur de recherche Michèle Ramond, Professeur honoraire de l’Université Paris 8 Alain Chatelet, enseignant-chercheur à l’École Nationale Supérieure d’architecture de Toulouse Clara Romero, Maitre de conférences en Sciences du langage à l’Université de Paris Sabine Fenner-Wegener, enseignante aux universités de Darmstadt et Marbourg Allemagne Ariel Prunell, ex Directeur de Recherche CNRS, spécialité Biologie moléculaire Shirin Jindani, PhD., enseignant à l’Université Rennes 2 Muriel Cassel-Piccot, maître de conférences à l’Université Lyon 3 Thierry Oblet, Maître de Conférences en Sociologie à l’Université de Bordeaux Jean-Christophe Cousin, maître de conférences, Telecom Paris, Institut Polytechnique de Paris Régis Chambert, enseignant-chercheur retraité de l’Institut Jacques Monod de l’Université Paris 7 Henri Persat, Dr ès Science, PhD en Biologie, médaillé du CNRS Duval Marie-France, Professeur retraitée, Aix-Marseille Université Sacha Singh, enseignant à l’Université de Lille Xavier Moniot-Lundy, juriste et enseignant droit, économie à l’Université Etienne Fieux, Maître de conférences, Institut de Mathématiques de Toulouse, Université Paul Sabatier Isabelle Aubert, Maitre de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux Michel Massol, Chimiste-Médecin, Professeur Honoraire à l’Université Toulouse III Isabelle Salle, enseignante-chercheuse à l’Ecole d’Economie d’Amsterdam Pays-Bas Anne Isla, Economiste, Université de Toulouse Hélène Conjeaud, Retraitée, Chercheure au CNRS Biophysique Eric Desmons, agrégé de droit public, professeur des universités Alain Pénoël, professeur agrégé de mathématiques, docteur de l’Université Paris VI Patrick Labarthe, Professeur émérite à l’Université de Zurich Suisse Anselm Gerhard, professeur à l’Université de Berne Suisse Joseph Romano, sociologue, maître de conférences HDR, retraité de l’Université de Lorraine André Fougerousse, professeur de Chimie émérite à l’Université de Strasbourg Alain Bernard, agrégé de droit privé, professeur émérite des universités Roland Hinnion, professeur de mathématiques retraité à l’Université Libre de Bruxelles Belgique Pierre Couturier, Maître de conférences à l’Université de Clermont-Auvergne Denis Roux, docteur d’Etat, retraité de l’université Marc Cizeron, maître de conférences HDR à l’Université de Clermont-Auvergne Jeanne-Louise Deschamps, doctorante en droit public de l’Université de Limoges Agnès Rouby, enseignante-chercheuse dans l’enseignement supérieur Giordano Mastrocola, chercheur à l’Université Toulouse – Jean Jaurès Dominique Harmand, professeur émérite de l’Université de Lorraine Géraldine Victoir, maître de conférences, université Paul Valéry Montpellier 3 Shanti Rouvier, docteur en Psychologie Clinique et Psychopathologie, chargée de cours à Aix Marseille Université Thierry Ternisien d’Ouville, chercheur retraité au Centre National d’études des Télécommunication Françoise Morato Lallemand, Maitre de conférences, Faculté des sciences, Université de Montpellier Charles Bourdeau, ingénieur de recherche, retraité du CNRS Rémi Mongruel, économiste, chercheur à l’IFREMER Eric Perera, Sociologue, maître de conférences HDR à l’Université de Montpellier Marie lecomte-Tilouine, anthropologue, chercheuse au CNRS Daniel Richard, Professeur retraité des Universités en Neurosciences Daniel Boichu, Enseignant-chercheur retraité de l’Université de Compiègne Élisabeth Campagna-Paluch, docteure en Anthropologie Sociale, Université Paris VIII- Saint-Denis Claude Depollier, professeur émérite à le Mans Université Estelle Garbay-Velázquez, maître de conférences à l’Université de Bourgogne Franche-Comté Nadine Piat, professeur à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques Emmanuel Piat, Maître de Conférences HDR à l’École Nationale Supérieure de Mécanique et des Microtechniques Bernard Valette, doctorat d’État, chercheur associé au Laboratoire ISTerre Chambéry-Grenoble, UGA, USMB, retraité de l’IRD Martine Timsit-Berthier, Docteur en Médecine, Docteur en Sciences. Retraitée de l’Université de Liège Belgique Marie-Françoise Petit-Glatron, chercheuse retraitée du CNRS, Sciences de la Vie Maxime Parisotto, et chercheur en biochimie Pauline Garnier-Géré, PhD, Chercheur en génétique évolutive à INRAE Philippe Mengue, Agrégé et Docteur d’État en philosophie Marc Richevaux, maître de conférences à l’Université du Littoral Côte d’Opale Jérôme Couillerot, professeur à l’Université Lyon 3, détaché auprès de l’université St Joseph Beyrouth, Liban Bruno Décoret, maitre de conférences agrégé de mathématiques HDR Christophe Lemardelé, enseignant, historien des religions Christophe Brochier, sociologue, maître de conférences à l’Université Paris 8 Maxime Prévost, Professeur titulaire à l’Université d’Ottawa Canada Franck Galtier, chercheur en économie politique au CIRAD Anne Mandeville, Maître de conférences HDR en science politique à l’Université Toulouse Capitole Milagros Ezquerro, Professeure des Universités Raphaël Gély, Professeur aux Université Saint-Louis Bruxelles, Belgique Caroline De Mulder, professeur à l’Université de Namur Belgique Michèle Crogiez Labarthe, professeur ordinaire à l’Université de Berne Suisse Madalina Calamaz, maître de conférences des universités Benoit Marpeau, Maître de conférences en Histoire à l’Université de Caen-Normandie Jean-François Georgis, Physicien, Maître de Conférences à l’Université Toulouse III Nadia Lamm professeure retraitée de l’Université de Rouen François Rosset, professeur à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne Suisse Hélène Bregani, psychologue retraitée à l’Université de Genève Suisse Anne Mantero, maître de conférences à l’Université de Franche-Comté Christian Ferrié, Professeur de chaire supérieure CPGE, Strasbourg Hélène Pelczar Maître de conférences Georgie Durosoir, professeur émérite à la Sorbonne Université Aurélien Dyjak, docteur en sociologie, enseignant-chercheur à l’Université d’Aix-Marseille Valérie Lowit Ingénieure d’études à l’Université de Paris Christophe Leroy, Docteur en Biologie Moléculaire et Cellulaire Jean Jimenez, docteur en Génie Biologique et Médical Alain Brunel, docteur en biologie Maya Habegger, Docteur en psychologie cognitive, neurosciences et biologie neurale Michel Herren, docteur en philosophie Lausanne Jean-Marc Del Percio-Vergnaud, docteur en science politique Simon Archipoff, docteur en informatique Christophe Andréo, docteur en sociologie Nicolas Murcier, docteur en sociologie Eveline Jaumary-Lapeyre, Docteur en Science Politique et droit public Damien Gauden, Docteur ès sciences physiques Patrice Gibertie, PhD, géographe Françoise Gil, sociologue Véronique Verdier, Docteur en philosophie, Université Paris 1 Marc G. Wathelet, docteur en biologie moléculaire Emmanuelle Reulier, Docteur ès sciences économiques Patrick Frayssinet, docteur en médecine, docteurs es sciences Martine Lacour Masvigner, docteur en psychologie Agnès Segura, Docteur en psychologie Géraldine Bérail, Docteur en chimie de l’environnement et santé Maxime Izoulet, docteur en économie de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales EHESS, Paris Agnès Lainé, historienne, Institut des mondes africains Georges Herault, Professeur des universités Alain Delannoy, docteur de l’Université d’Orléans Gérard Maudrux, médecin, ancien président de la Caisse maladie des professions libérales et de la Caisse de retraite des médecins Michel Cucchi, Directeur d’hôpital Jacques Bouaud, chargé de valorisation de la recherche à l’AP-HP Vincent Béja, ancien statisticien et chargé d’études à l’Observatoire Régional de la Santé de Provence Alpes Côte d’Azur Bruno van Peteghem, Association Toxicologie-Chimie ATC, Président du fonds de dotation I For Lyme iFL Benoît Bataille, médecin anesthésiste réanimateur Anne-Marie Monjo, médecin anesthésiste-réanimateur Olivier Lhoest, médecin anesthésiste-réanimateur Pierre-Yves Garnier, médecin, expert scientifique à l’international Laure Laffly, biochimiste/biologiste ancienne cadre R&D chez Sanofi vaccin Anne Stein, praticien hospitalier et maitre de conférences en biochimie à Aix-Marseille-Université Pascal Trotta, Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin radiologue, fondateur de l’institut de médecine naturelle de Saint-Sébastien Nancy Béchard Radiologue Andrei Cividjian, Chargé de mission – recherche, Hospices Civils de Lyon Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, Docteur d’état Louis-Claude Le Gueult, médecin biologiste, ancien Directeur du site transfusionnel du Havre Paul Bousquet, médecin, santé publique évaluateur de risques Judith Ribbe, médecin en santé du travail Philippe Teyber, cadre supérieur de santé Jacqueline Collard, chimiste, présidente associative, ancienne administratrice CHU de Grenoble, représentante ARS AURA Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne Carole Xavier, médecin spécialiste en Anatomie Pathologique Beatrice Fort médecin anesthésiste réanimatrice Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur Nabil Bensalem, Médecin Généraliste et urgentiste Michel Thomas, docteur en médecine Isabelle Chivilo, médecin généraliste Gérard Vigneron, médecin généraliste Philip Siegenthaler, médecin généraliste Suisse Yves Colliez, médecin généraliste Alain Garenne, médecin généraliste Isabelle Grégoire, Docteur en médecine, médecine générale Franck Hugbéké, chirurgien-dentiste Amandine Thomasset, psychiatre, praticien hospitalier Dominique Lesuisse, psychiatre Bruxelles François Thioly, psychiatre Laurent Jacquemin médecin psychiatre William Suerinck, Dr en médecine, psychiatre, ex Praticien Hospitalier Maria Ancona, psychothérapeute en Psychiatrie Fonction Publique Hospitalière Michel Brack, médecin ex attaché INSERM François-Xavier Roth, praticien hospitalier, pédiatre Marie Grenet, médecin, pédiatre Christine Coremans, Cardio-pédiatre Gérard Machline, médecin généraliste Helene Chollet médecin généraliste Françoise Volot, médecin généraliste Bernard Verdoux, médecin généraliste Marie Pasquier, médecin coordonnateur en EHPAD suspendue Marlène Mellinger Chirurgien-dentiste Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste Véronique Pécastaings, sage-femme Sandrine Mathieu, sage-femme Hélène Roux, médecin généraliste Brigitte Bertoldo médecin régulateur libéral SAMU suspendue Daniel Chollet pneumologue Catherine Raulin, médecin ostépathe Marc L’Hospitalier, ostéopathe Philippe Ollivier, médecin, ophtalmologie Idriss Abiola, infirmier anesthésiste Éric Reboli, médecin urgentiste Arturo Perez, médecin urgentiste Fabien Quédeville, médecin généraliste Sandro Provenzano, médecin généraliste Catherine Dubien, médecin généraliste Marc Arer, médecin généraliste suspendu Catherine Delmas, médecin dermatologue Dominique Rivière, médecin, gériatre, praticien hospitalier Diane Williot, médecin généraliste et médecin coordonnateur en Ehpad Roseline Marie, médecin généraliste Dominique Eraud médecin généraliste Emmanuel Pichot, médecin radiologue Catherine Solignac Fernstrom, immuno-allergologue Delphine Rive médecin généraliste Vincent Reliquet, médecin généraliste AIMSIB Laurent Huillard, médecin généraliste Emmanuelle Lemonnier, médecin généraliste Robert Le Texier, médecin généraliste Brigitte Weiss, médecin généraliste Christian Marquis, médecin généraliste Alain Berthier, médecin généraliste Philippe Cliquet, médecin généraliste Pascale Mourgues, médecin généraliste retraitée Line Cabot, médecin généraliste Christian Sarthe médecin généraliste Patrick Viot, médecin généraliste Anne-Laure Geslin, médecin généraliste Bertrand Calichiama, médecin généraliste Georges Oberzusser, médecin généraliste et médecin du travail Hélène Oberzusser, radiologue Ida Berar, radiologue Marie Josephe Contrucci. Cadre de santé en Centre hospitalier Denise Peyrat-Colonna, chirurgien dentiste Christophe Grangeon, médecin urgentiste Jean-Luc Lebrun, médecin, ex-praticien hospitalier cessation d’activités Jacques Le Lann, médecin généraliste, gériatre et spécialiste de Santé Publique et Médecine Tropicale Eric Beeth, Docteur en Médecine Bruxelles Frédéric Schnee, Docteur en médecine générale Anne Marie Begué-Simon, médecin homéopathe retraité, ancien maître de conférences et expert près des Tribunaux Jean-Philippe Cros, médecin Honoraire des Hôpitaux, ancien chef de service Françoise Caumont, chirurgien-dentiste Corinne Masson, sage-femme interdite d’exercer Bertrand Jop, Cardiologue Jacques Mabit, médecin généraliste Catherine Maso, médecin généraliste Joelle Locatelli, médecin généraliste Véronique Ahari, médecin généraliste Philippe Lemasson, médecin généraliste Jean-Bernard Morez, médecin généraliste Bernard Bozzi, médecin généraliste Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste Jean-Marc Rehby, médecin généraliste Floriane Lefèvre, médecin généraliste Olivier Vercruysse, médecin généraliste Alain Mazeyrat, médecin généraliste Éric Portes, médecin généraliste Bruno Geoffray, médecin généraliste Franck Zeiger, médecin généraliste Alain Carillon, médecin généraliste Daniel Fagnano, médecin généraliste Anne Nespolo, médecin généraliste Claire Lenclud médecin généraliste Christiane Vallin, médecin généraliste Maryse Morin-Bateau, médecin généraliste Michel Marcadé, médecin généraliste Anne Catherine Martin, médecin généraliste Catherine Gal Bozzi, médecin généraliste Sylvie Leroux, médecin généraliste Hubert Sroussi, médecin généraliste Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste Dominique Prost médecin généraliste Daniel Robinson, médecin généraliste, ancien médecin des hôpitaux de Lyon Patrice Perrette, médecin généraliste, ancien président du Collège des Généralistes Alain Batarec, médecin généraliste Simone Casabon, médecin généraliste Michel Boudet, médecin généraliste Anne-Lise Vidal, docteur en médecine Gaëlle Douhet, docteur en médecine générale René Messagier, docteur en médecine Olivier Personne, médecin généraliste Allemagne Daniel Dhaussy, médecin généraliste retraité Jean Marie Pavard, médecin retraité Isabelle Rossetti, médecin généraliste Daniela Engel médecin généraliste Philippe Imbert, médecin généraliste Françoise Douady, médecin généraliste Caroline Chalbos. Médecin généraliste Philippe Bonnet, médecin généraliste Jean-Luc Boesch, médecin généraliste Catherine Artviga, médecin généraliste Estelle Prevost, médecin psychiatre Jérôme Jeudy médecin généraliste Béatrice Mullie, médecin généraliste Corinne Constantin, médecin généraliste Pascal Henriot, médecin généraliste Chrystelle Martin, médecin généraliste Marie-Christine Rabut, médecin généraliste Jean Grimberg, Chirurgien Orthopédiste Frédéric Pic, médecin, rhumatologue Martine Mérour pneumologue Farida Ouadghiri chirurgien gynécologue à l’hôpital de Niort suspendue Laurence Duboc-Lecocq, docteur en Médecine Vétérinaire Claire Martin, médecin vétérinaire Nadine Prouilhac, sage-femme Aurélie Colin, sage-femme Nathalie Ba, sage-femme Fanny Semblat, sage-femme Morgane Chazaud, sage-femme hospitalière Nicolas Bojic, médecin gériatre Marie Gaspard, médecin biologiste Véronique Grasset médecin généraliste Jacky Maillard, médecin généraliste Eric Menat, médecin généraliste Christine Le Pezron médecin généraliste Michel Souid, médecin généraliste et gériatre Jean Claude Bourrin, médecin généraliste retraité Alix Moulanier, Médecin généraliste Armelle Blanchard, médecin généraliste Corinne Bernard, Docteur en médecine Jacques Gardan, médecin généraliste Murielle Oger Rucker, médecin généraliste Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur Philippe Bos, médecine anesthésiste réanimateur Sylvie Cagnin, médecin anesthésiste-réanimateur Isabelle Curtet, médecin anesthésiste réanimateur Richard Faitg, médecin anesthésiste réanimateur Laurent Durinck, Anesthésiste Valérie Mach-Alingrin, médecin en soins intensifs, Centre hospitalier Élisabeth Angoujard, docteur en médecine, radiologue Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique Jean Gabriel Balique, chirurgien hospitalier Eve Lefrancq, Médecin Cardiologue Valérie Sierra, médecin cardiologue Bernard Hardt, Chirurgien Urologue Janine Nazaire docteur en chirurgie dentaire Francis Fiocconi, radiologue Béatrice Gay, oncologue médical et médecine interne générale J. Oosterlinck, médecin généraliste Pierre Jacq, chirurgien-dentiste Isabelle Le Bras chirurgien-dentiste Jacqueline Mariani, chirurgien-dentiste Marie-Jacques Poncet, médecin gynécologue Antoine Gastal, médecin MPR des Hôpitaux de Saint Maurice Hélène De Cristoforo, médecin généraliste Virginie Thomas-Haag, médecin urgentiste Anne Crepy, médecin gériatre Geneviève Pagnard, psychiatre David Esfandi, Psychiatre Frédéric Badel, psychiatre Marie Hélène Lottin, psychiatre Jacques Vigne, psychiatre Louise Riguet, Médecin psychiatre Muriele Savigny, psychiatre Jean-Michel Delaroche, psychiatre Lise Gandolfi, psychologue Fabienne Carver Psychologue clinicienne Aline Gosset-Rage, psychologue clinicienne Yamina Cherrou, psychologue clinicienne Isaline Heulin, psychologue Alexandra Meert, Psychologue Laure Novarese psychologue clinicienne Sylvie Blasquez, Psychologue clinicienne Lise Nathanson, psychologue clinicienne Claire Roy, pharmacienne Jean-Jacques Devic, pharmacien François Carre, docteur en pharmacie Coralie Amar, Dr vétérinaire Laurent Aufrere, docteur en chirurgie dentaire Jacqueline Warnet, Gastro-entérologue Paul-André Bellot, chirurgiuen-dentiste Jean-Pierre Letourneur, Gastroentérologue Hélène Costamagna, Gynécologue Tess Deffinis Ostéopathe Hélène Hamon pédiatre Corinne Tilloy, médecin généraliste Hilde De Smet médecin généraliste Belgique François Le Corre, médecin généraliste retraité Valérie Papapietro, médecin gastro-entérologue Patrick Bruno, Ingénieur hospitalier Arnaud Brun, Docteur en pharmacie Aurore Rizzon, psychologue clinicienne suspendue Jean-Luc Laurent, psychologue clinicien Rose-Marie Rohé Psychologue clinicienne Viviane Truel psychologue clinicienne Laurence Maury, psychologue Hervé Staub, médecin généraliste Patrick Marcon, médecin généraliste François Berenger, médecin, pédopsychiatre Catherine Bonnet, médecin, pédopsychiatre Frédéric Goaréguer, médecin, pédopsychiatre Véronique Helmlinger, médecin psychiatre suspendue Clélia Dubois, aide médico-psychologique en psychiatrie Danielle Vautrin, médecin généraliste Claude Murtaza médecin généraliste Philip Keros, médecin généraliste Gilles Cizeron, médecin généraliste Annie Logli-Poumerol, médecin généraliste Cecile Miraglia Romer, médecin généraliste Bernadette Meignan médecin généraliste Laurent Hervieux, médecin généraliste Didier Tarte médecin généraliste Catherine Noel, Docteur en médecine Anne Marie Pillon, médecin généraliste retraité Yannick Jouan, docteur en Médecine Jean-Luc Stanek, Santé Navale et docteur en chirurgie dentaire Xavier Le Gregam, médecin généraliste homéopathe Philippe Vernet, docteur en médecine – chirurgien Antoine Damotte, chirurgien orthopédiste Marc Franchini, Chirurgien Ophtalmologiste Philippe Gombourg, chirurgien-dentiste Gabin Lopez, médecin ophtalmologiste Léna Le Flem, biologiste médical, PhD Valérie Daubié sage-femme Guylaine Lestienne Sage-femme Françoise Casas, Psychomotricienne Psychothérapeute Pascale Cloquell-Munos psychomotricienne Anne-Sita Forest, Psychomotricienne Marion James-Leduc, Psychomotricienne Marianna Drinoczi, Psychologue clinicienne Charline Chaveneau Orthophoniste Laurent Redien, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe Sabine David, masseur-kinésithérapeute Cyrille Ortman, kinésithérapeute Sylvain Lafargue, masseur-kinésithérapeute Matthias Giraudon, kinésithérapeute Kim Gallois, kinésithérapeute Clément Belmahdi, Masseur-kinésithérapeute Françoise Cluzeau kinésithérapeute Marie-Laure Pignier, masseur-kinésithérapeute Caroline Grante, masseur-kinésithérapeute Rose-Blanche Lehours Chaboud, infirmière en santé mentale Laurence Jacquin Infirmière Isabelle Rousset, Infirmière Virginie Guillaume infirmière Deniz Sevim, infirmière Florence Marechaux, infirmière Education Nationale Marie-Claude Durel, infirmière Monique Lars, infirmière Valérie Hutsebaut Infirmière Nelly Cahuzac, Infirmière Véronique Chevalier Infirmière Marielle Raggi, infirmière Guillaume Renouf¸ infirmier Nicolas Wodiczko, infirmier Bénédicte Huguet infirmière Cynthia Thezenas, infirmière Puéricultrice Éric Comellini, Psychomotricien Fabienne Garcia Kinésithérapeute Ghislaine Le Corre, Kinésithérapeute Thomas Brossier masseur kinésithérapeute Laurence Meert, Kinésithérapeute Bernard Chervet, psychiatre Pierre Babilliot, médecin psychiatre Suzette Vieira Roth, pédiatre Nicolas Ziolkowski Responsable Affaires Réglementaires et Évaluations cliniques – Dispositifs Médicaux Isabelle Hoehne, docteur en médecine, médecin généraliste cessation d’activité Rose-Marie Castello, médecin du Travail Donia Hammami, vétérinaire Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier, masseur kinésithérapeute Julie Ceccone Radiophysicienne médicale en cancérologie, en CHRU Francoise Poulain, praticien hospitalier urgentiste Nathalie Caradot, docteur en médecine Béatrice Petit, médecin généraliste retraitée Philippe Martin, Ostéopathe Emmanuelle Gaultron, ostéopathe Marie Labat Médecin spécialiste Philippe Saegesser médecin anesthésiste Vincent Morault Docteur en Pharmacie Isabelle Lagny, Médecin du travail Marie Pascual, médecin du travail Yves Richard, docteur en Chirurgie Dentaire Catherine Lidon, sage-femme Sébastien Moret, kinésithérapeute Virginie Pichault, infirmière en psychiatrie Claude Deroussent, Médecin Généraliste Dominique Ricci Cagnol, médecin ORL Françoise Giorgetti-D’Esclercs, médecin ORL Gérard Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue Nicole Delépine pédiatre cancérologue Marie Dominique Tronchon, Ostéopathe, psychothérapeute Richard Defay neuropediatre Annie Aubin, docteur en médecine Geneviève Farrachi, médecin généraliste Julien Petit, médecin généraliste Isabelle Chivilo, médecin généraliste Jean François Teyssier, médecin généraliste Gilles Spagnolo, médecin Gynécologue Obstétricien Jean-Luc Lauer, Kinésithérapeute-ostéopathe Stéphan Lepetit-Teston, Ostéopathe, Kinésithérapeute Laurent Redien, kinésithérapeute Frédéric Texereau, chirurgien dentiste Anne-Françoise Van den Bulke, infirmière anesthésiste Jean-Marc Le Gall, kinésithérapeute Danièle Augé psychanalyste Sandrine Raison. Infirmière Noelle Vial, infirmière Lucie Campitelli infirmière Flottes Noémie, orthophoniste Christine Mathou Orthophoniste Anne-Gabrielle Mottier, orthophoniste radiée Corinne Martin Rondeau, Orthophoniste suspendue Emmanuelle Colson, Orthophoniste Françoise Font Orthophoniste Thibaut Berry, électroradiologie médicale Jolanta Amouyal, Psychologue Clinicienne et du Travail Françoise Verriest, psychothérapeute José Pedralva da Silva, Psychologue clinicien Elsa Hybertie psychologue clinicienne Sandra Pain psychologue Agathe Vastel-Paris, docteur en pharmacie, diplômée en biologie médicale Laura Minart, docteur en médecine, médecine du travail Déborah Busidan, médecin du travail Martine Breteau, médecin du travail Zineb Deheb, médecin, dermatologue Jean-Charles Luizard, psychiatre Laura Giusti, médecin psychiatre Bernard Chervet, psychiatre Sylvie Imbert psychiatre Magali Delvaux, médecin psychiatre Anne Meriglier, psychologue clinicienne suspendue Françoise Ternoy, psychomotricienne Delphine Bensaïd, psychologue clinicienne Yvette Klein Wurtz psychologue clinicienne Dominique Lismonde, psychologue clinicienne Roselyne Charvet Dischly, psychologue clinicienne Aleth Naquet, psychologue clinicienne Catherine Vasseur psychothérapeute Charles-Henri Crochet, psychologue clinicien Michel Forné-Vivó, médecin, psychothérapeute Marie-Bénédicte Hibon, médecin généraliste Christian Latriche, médecin généraliste, homéopathe, acupuncteur Jacqueline Guérin, docteur en médecine Philippe Danjou Urologue, praticien hospitalier. Benjamin Guy, médecin hospitalier Dominique Jaulmes, médecin hospitalier Véronique Aymes, docteur en chirurgie dentaire et professeur de mathématiques Nadine Dumont, psychothérapeute Elodie Petit-Aguilar, psychologue clinicienne Fabrice Guilbaud, psychologue clinicien Jean-Pierre Morinière docteur en pharmacie Sophia Hamdi, psychologue Karine Baillieu, psychologue Florence Amat, psychologue Florence Pichot, psychologue Gilles Rochette, psychologue Sophie Plantade, psychologue Ève Cottignies, psychologue clinicienne Catherine Duchossoy, psychologue clinicienne Christophe Charpiot, Psychologue de l’Education nationale Eve Martin, psychologue de l’Éducation nationale Françoise Zannier, Psychologue et docteur en Psychologie Valérie Ventureyra, PhD, Docteur en Psychologie Véronique Debeaumont, psychologue sociale Iréne Bouchaud psychothérapeute Monique-Cécile Drouet, psychiatre Clémence Garçon, soignante suspendue Alain Freby, Médecin généraliste Marceline Bogaert, kinésithérapeute Johanna Radosevic, psychomotricienne suspendue Marjorie Etienne, cadre de santé, infirmier fonction publique hospitalière suspendue Sarah Kharmouche, kinésithérapeute Mathieu Armessen Ostéopathe Goulven Saliou, infirmier spécialisé en bloc opératoire Anne-Françoise Hémion, pédicure-podologue Jacques Guillet, masseur-kinésithérapeute Michèle Serres médecin généraliste Françoise Salkowsky médecin généraliste Pierre Pennamen, Docteur en Médecine Laurence Le Gall, médecin généraliste Cécile Poiroux, médecin généraliste Sophie Colmart, médecin généraliste Sandra Jasmin médecin généraliste Christophe Robin, médecin généraliste Karine Delaumône, médecin généraliste Michel Jreige, médecin généraliste, ancien urgentiste suspendu Pierre Billon, docteur en médecine générale Emmanuel Peyre médecin généraliste Guaracy Gadegbeku, médecin générale Valerie Vigne Chazaud sage-femme Sternotte Isabelle, Ostéopathe, Sage-femme Bénédicte Dassonville, médecin généraliste, ingénieur de l’ENSH Marc Naudin, ostéopathe Sophie Bezert, Orthophoniste Charline Chaveneau, orthophoniste Laurence Ducol, orthophoniste Najia Majdi, sage-femme Anne Veyrac, infirmière Murielle Jouannet Infirmière Alain Giordanetto, infirmier Martine Gaillard, infirmière Sandy Bonne, infirmier Benjamin Guglielmi, infirmier, cadre de Santé Claude Robert, Orthodontiste Zoé Debain, masseur kinésithérapeute Laurent Lalliot Masseur kinésithérapeuteIsabelle Lalliot Masseur kinésithérapeute Béatrice Adam – Kinésithérapeute Fabienne Carbonnel masseur-kinésithérapeute Joëlle Thuet, infirmière Magali Morroni, infirmière anesthésiste Jean-Marc Casamatta, infirmier de bloc opératoire Raphaëlle Montassut-Diarra, infirmière Virginie Rossi, infirmière en psychiatrie à l’hôpital Fabienne Ormillien, infirmière Marc Heinrich, infirmier Nathalie Vigat, infirmière Jacqueline Segot, Infirmière Stéphanie Montagut infirmière Dominique Danjou Loire, infirmière de bloc opératoire Marie-Line Ferreira, infirmière Lyne Furco infirmière Marie-Hélène Scheidel infirmière Alexandra Wendel, infirmière Patricia Bacquet, infirmière faisant fonction de cadre Cécile Fernandez, infirmière en pédopsychiatrie Vladimir Pavlovic, Educateur spécialisé en pédopsychiatrie Sylvain POIREL, infirmier, CHU de Montréal Canada Catherine Huerta, infirmière en EHPAD Margot Schnell, infirmière Emmanuelle Mesmacque, infirmière Aude Buche, infirmière Jackie Trividic, infirmière Christine Fernandez, infirmière Cristine-Isabel Goncalves. Infirmière en CHRU Marie-Anne Février, Infirmière Puéricultrice Yvette Laugier, Infirmière Isabelle Côte, Infirmière Annie Dumas, infirmière Nathalie Devaucoup Infirmière Jean Michel Valentini, infirmier Sophie Cauchois, infirmière Marie-Odile Desvalois, Infirmière Marion Philippon infirmière en hématologie à l’hôpital Viviane Defrance, infirmière scolaire, retraité Nathalie Blanchard, infirmière puéricultrice Jean-Roch Aubertein, Infirmier Zoé Moutel, Infirmière Nadine Mulas, infirmière Sylvie Bonnefoy Infirmiere Florence Joyeux, Infirmière Carole Auger, Infirmière Laurence Villedieu infirmière, auxiliaire de vie Françoise Astier, agents des services hospitaliers qualifiés en Ehpad Fatima Jriri, aide-soignante Marie-Pierre Barrier, aide-soignante Cyril Sala, aide-soignant Hasna Bouzid aide-soignante Charlène Kluck, aide-soignante suspendue Lise-Marie Chemineau Infirmière Christine Keiser, sage-femme Christophe Joie, ergothérapeute en Centre hospitalier Province de Liège Belgique Emmanuelle Cart-Tanneur, pharmacienne biologiste Frédérique Pegeot, pharmacien Martine Dejean, pharmacienne Stéphanie Cellier, pharmacienne Cathy Nicoud, infirmière urgences pédiatriques Julia Froment, aide-soignante Margaux Chopin, aide-soignante gérontologie Marie Weinrich, médecin généraliste Laurent Hennequin, Docteur en Médecine, ancien chef de service de Radiologie en CHR Luc Quintin, médecin anesthésiste réanimateur, charge de recherches au CNRS physiologie cardiovasculaire Guy Van Hoonacker, médecin anesthésiste réanimateur Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur hospitalier Denis Asselineau, médecin anesthésiste réanimateur Koryna Socha, PhD, médecin et docteur en sciences médicales Marie-Hélène Poirier Garcia, psychiatre, EPSM Gaël Puget, orthophoniste Renée Marx, orthophoniste Anne Mouriès, orthophoniste Marie France Coquillay, pharmacienne et enseignante chercheuse retraitée Alain Le Hyaric, médecin en santé publique Florence Parent, Médecin de santé publique Pierre Buet, médecin généraliste Chau Huu Tin, docteur en Médecine Nathalie Souzan-Delagrave, docteur en Médecine Cécile Morgan, médecin généraliste Brigitte Chorliet, médecin généraliste Claire Paris, médecin Généraliste Julie Chataing, médecin généraliste Virginie Airiau, médecin généraliste Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste Anne Damais-Cepitelli, médecin biologiste Jean Emsallem, Médecin Vasculaire Marcel Hoehne, chirurgien vasculaire Philippe Cepitelli, médecin Perrine Millet, médecin, gynécologue obstétrique Christian Quichaud médecin généraliste Amel Abbad, attachée de Recherche Clinique Benoit Artault, médecin, ancien directeur médical de centre de santé Marie Claude Granget-Calliet, psychologue clinicienne Julien Reboul Coordinateur Service éducatif de soins de santé à domicile SESSAD Monique Marien Sroussi, gynécologue Linh Hoang-thi médecin acupuncteur Roman Florent, infirmier Amandine Laurent infirmière Anne Laissus, Infirmière Marianne Passarrieu, pharmacienne Anne Gardiesn pharmacienne Marie Belliot, infirmière de réanimation à l’hôpital Jacques cœur de Bourges suspendue Fatima Rezig, infirmière Pascale Morbois, infirmière Arlette Fétat, infirmière Florence Verbaenen, infirmière en psychiatrie Caroline Giron, psychologue Denis Bellano, Docteur en psychologie, psychologue clinicien Éric Lemlé, docteur en chirurgie dentaire Laetitia Trossat, médecin en soins palliatifs Jean-Jacques Picard, kinésithérapeute ostéopathe Raphaël Sendrez masseur-kinésithérapeute Marie-Christine Faure, infirmière puéricultrice Jacques Pollini, anthropologue de la santé Anne Camus-Bruneau, orthophoniste Nicole Chaudière, pharmacienne Laurent Tonnerre, infirmier Nicolas Soloy, Art Thérapeute en Hôpital de jour Florence Pierre, masseur kinésithérapeute Denis Chefdor, Masseur-Kinésithérapeute ostéopathe Marie-Laure Martin, kinésithérapeute Caroline Lecouvette kinésithérapeute Serge Houël, Masseur Kinésithérapeute interdit d’exercer Frédéric Barbier Damiette, kinésithérapeute suspendu Dimitri Jacques, psychothérapeute, biologiste en nutrition Eberhardt Wittich, ex biologiste et chimiste Théodore Rottier, psychologue Emmanuelle Schulz psychologue clinicienne Martine Durand Jullien, médecin généraliste Patricia Melot médecin généraliste Lagorce Sebastien, médecin généraliste Sophie Dévé, médecin généraliste Nicole Perrot médecin généraliste Caroline Mouzet, Médecin généraliste Martin Gauthier, médecin généraliste Romain Dupont Docteur en médecine Donald Archer, médecin généraliste retraité Benoit Ochs, médecin généraliste Luxembourg Jean Pascal Serbera médecin généraliste Marie-Cécile Tellier, médecin généraliste Ourdia Krim, médecin spécialiste Marie-Line Eon, médecin et docteur en science de l’éducation Philippe Yannic médecin biologiste Cyril Loubradou, ostéopathe Marie Fages, kinésithérapeute Jean-Marie Kerlo, masseur kinésithérapeute Jean-Pierre Gay-Montchamp, praticien hospitalier, pharmacologie-toxicologie Daniele Guieu, Docteur Vétérinaire Grégory Desfilles, Masseur Kinésithérapeute Valérie Franco, infirmière Laura Roux, infirmière Christine Munier Infirmière libérale Gabrielle Charvet, infirmière Laurence Queffurus-Lepetit, infirmière dans un centre de cancérologie en CHRU Pascale Grimm, infirmière Lucie Massart-Chauvet, vétérinaire Clotilde Maurin, masseur-kinésithérapeute Antoine Rault, vétérinaire Christine Goldie, Attachée de Recherche Clinique Serge Perrin, sapeur-pompier professionnel Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé Murielle Bauchet, économiste et consultante en santé publique Tetsuaki Shigemitsu, Médecin-épidémiologiste Silvia Moreno, Microbiologiste PhD Karen Brandin, docteur en théorie algébrique des nombres mathématiques Virginie Charreau, ingénieur en nutrition, diététicienne nutritionniste Thierry Raffin, PhD, sociologue Emmanuelle Lepoutre, sophrologue Claire Seigneur, Psychologue Margot Szefer, ergothérapeute Josiane Risacher, Ergothérapeute Martine Crogiez, Ergotherapeute Nathalie Pech, PhD, économiste Gauthier Lasou, ingénieur chercheur Catherine Vaillandet, orthophoniste Karine Rabiet, orthophoniste Xavier Gallet, psychopraticien Lucia Martinez, Aide médico-psychologique en EHPAD Céline Merigot, éducatrice spécialisée auprès d’adultes ayant des troubles psychologiques Christine Quélier, Sociologue et psychologue Pierre Concialdi, chercheur en sciences sociales Monique Plaza, chercheur en neuropsychologie Anna Marie Cournil, gérontologie sociale Renaud de Bellefon, docteur en histoire Gérald Pech, ingénieur, ancien chercheur dans le spatial François Sanchez, doctorant à l’université de Mulhouse Hervé Brochart, chercheur, docteur ès sciences pharmaceutiques Olivier Rimbault, docteur en lettres classiques, chercheur indépendant Jean-Claude Barescut, ingénieur nucléaire, radioprotection Anne-Marie Ropert, ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts Julie Lioré, anthropologue, rédactrice scientifique indépendante Pierre Goletto, retraité, École Centrale de Marseille, IAE d’Aix en Provence Victor Molinié, interne en médecine spécialité gériatrie en CHU Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire Philippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire Irina-Maria Stefanescu Chirurgienne Anna Levy Bencheton Dermatologue Romy Roudier, pharmacienne Odile Huchet, pharmacienne Yannick Marcadet, pharmacien Marie-Claude Marcadet Fièvet, pharmacienne Mireille Coulon, masseure-kinésithérapeute, cadre de santé Séverine Guitton, Cadre de santé Anne Vincent, Cadre de santé Fabienne Consoli, médecin généraliste Françoise Rometti Psychiatre Sylvie Laval, psychiatre Sophie Sabatier, médecin généraliste Brigitte Faure médecin généraliste Fabienne Emonnot psychiatre Yvette Dorémieux, psychiatre Hanna Kump pédiatre Daniel Avisse médecin généraliste Régis Pouthier, médecin généraliste Corinne Navarro, médecin généraliste Dominique Sabatier, médecin généraliste Véronique Beranger, médecin généraliste Gaëtan Cantineau, radiologue Claudie Henru, pharmacienne Katia Bustamante, chirurgien Frédéric Teste, Ostéopathe Mélanie Faucher, psychologue en centre hospitalier Caroline Collin-Blondel, psychologue clinicienne et ancienne attachée de recherche clinique suspendue Danièle Santini, psychologue Erika Cadat, psychologue clinicienne Patricia Bres, infirmière Mireille Klenovski, infirmière Frédérique Yampolsky, infirmière Florie Gaeta, infirmière hospitalière Philippe Chauveau, infirmier Marie-Anne Morien, infirmière Marie-Françoise Stigliani, pharmacienne Jean-Pierre Moutel, médecin généraliste Stéphane Cheslet, podologue posturologue Solen Halloin, sage-femme suspendue Laurence Borgogno, médecin vétérinaire Amandine Eloy, opticienne Marie Berthet, dermatologue Thierry Coquet, aide-soignant Nicolas Ecobichon infirmier Fabienne Tremillon, Infirmière Stéphanie Delaigue infirmière Dominique Cadoret, psychologue Marie Boutrolle psychologue Muriel Chetcuti, ergothérapeute Josiane Risacher, Ergothérapeute Gérard Martinez psychologue Clinicien Bernard Guibbaud, psychologue, sexologue Elisabeth Griffon, assistante sociale hospitalière suspendue Nicolas Erhardt, cadre socio-éducatif dans la fonction publique hospitalière suspendu Eddy Prave, ingénieur et technicien de recherche, Université de Rennes 2 Raymond Barbry, chercheur au Centre international de recherche en étude transdisciplinaire CIRET Jérémie Salvadero, docteur en psychopathologie clinique et psychanalyse Marc Guibert, gynécologue obstétricien Charles Bénard, électro-radiologie Thuy Chi Nguyen, médecin généraliste Suzanne Vanet, chirurgien Nicole Sicard, docteur en médecine, ancien chef de service hospitalier, accompagnante en santé Thierry Deliere, chirurgien vasculaire, ancien Chef de service à l’Hôpital Gaëlle Saliou, docteur en pharmacie Patrick Guérin, docteur vétérinaire Jolivet Delphine, infirmière Paul Polis, médecin vétérinaire Florence Lair, médecin radiologue Claire Pasquinelli Masseur-Kinésithérapeute Anne Gauquelin, orthophoniste Josselyne Abadie, consultante éthique Aïd Zair, kinésithérapeute Marie-Christine Hénaut, kinésithérapeute Delphine Leterrier kinésithérapeute Sylvain Deleplanque, psychologue clinicien Marie-Claire Hemptinne, psychothérapeute Gérard Ostermann, psychothérapeute Marie-Gabrielle Vasseur, chirurgien-dentiste Christine Blanc, médecin Généraliste Céline Arnaud, sage-femme Claire Soulas, infirmière Fabrice Davison, Infirmier Andrée Martini, infirmière anesthésiste Frederic Jolly, Podologue Christine Oliveira, psychothérapeute Vanessa Girard, ostéopathe Jérôme Turostowski Osteopathe Anne Bastin, orthophoniste Antoine Fredot, pédicure Podologue Gwénaëlle Gombourg, chirurgien-dentiste Denis Ribbe, Praticien Hospitalier Urgentiste et gériatre Anna Rosset, biologiste, médecin spécialiste en radio-oncologie Philippe de Joux, médecin généraliste Yvonne Parquer, médecin généraliste Valérie Mayaud, médecin généraliste François Ribière, médecin généraliste Hélène Skolka, médecin généraliste Annie Bendayan, médecin généraliste Marcel-Marie Gricourt, médecin généraliste Anne Belin médecin généraliste Olivier Boumendil, médecin radiologue Samira El Ouali, médecin ostéopathe Jean-Dominique Maupu, Médecin retraité Christine Cieur, docteur en pharmacie Odile Normant, directrice d’Établissements Médico-sociaux Carole Pellissier, Masseur kinésithérapeute Françoise Rouillé, infirmière cadre et psycho-clinicienne Henri Duchemin, ambulancier suspendu Pascale Le Marquand, Ambulancière hospitalière Nathalie Ingenito, laboratoire bio-médical Marie-Hélène Lacarra, kinésithérapeute Solène Charon, kinésithérapeute et Ostéopathe Julia Froment, aide-soignante Esther Joly, sociologie et psychanalyste Florence Belasco, psychologue clinicienne Yoanna Micoud, psychologue Lecomte Valérie, infirmière Gérard Bunel, infirmier Danièle Mullet, infirmière Anne-Laure Durix, infirmière Pascale Polly, infirmière Philippe Baudier, infirmier de Secteur Psychiatrique Clothilde Mora, diététicienne-nutritionniste Vanessa Szpatkowski, infirmière Amélie Huberlant, infirmière anesthésiste Aram Ndiaye, Infirmière en cancérologie Viviane Dubost, psychologue Lucile Brochot, vétérinaire Charles-Antoine Winter, diététicien nutritionniste Jean-Guillaume Bellier, professeur agrégé de géographie Benoît Diné, ingénieur de recherche Jean-Pierre Reyal, ingénieur à l’INSA Nicolas Tetaz, Ingénieur spatial Gabrielle Radault, PhD., Ingénieur Brevets Patrick Meunier, enseignant agrégé de Biochimie-génie biologique Xavier Audebert, audioprothésiste Xavier Pascal, Ingénieur informaticien Sabine Lasou, ingénieur chercheur Patrick Lawson, ingénieur d’études Bruno Vassoille, ingénieur d’études Thomas Metge, ingénieur d’études Maxime Goulon, Ingénieur d’études Olivier Gosselet, Ingénieur d’études Dorothée Dumay, Ingénieur d’études Sandrine Marasco, technicienne de laboratoire d’analyses médicales Jean-Jacques Navarro, ingénieur à Centrale Paris Frédéric Goupil, Ingénieur aéronautique Marc Savall, docteur en informatique de l’INSA Helene Chambatte Abeille, ancien interne des hôpitaux de Lyon Jean Soldini, philosophe et historien de l’art Roland Dubourg, chercheur en sûreté nucléaire René Chiche, professeur de philosophie, Vice-président du syndicat Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation Benoît Brandin, professeur agrégé de philosophie Marc Thibault professeur agrégé de philosophie Sophie Amant, professeur de sciences économiques et sociales, doctorante en sociologie Marie-Virginie Cambriels, doctorante à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 Jörg-Andreas Bötticher, Professeur FHNW/ Musikhochschule, Basel Suisse Jean Leplant, enseignant dans les Établissement et Services de Réadaptation Professionnelle Laurent Gaillard, professeur de sciences physiques Anne Girerd, professeur agrégé de Sciences de la vie et de la terre Kévin Krantz, professeur agrégé de philosophie Jacques Eutrope, retraité de l’industrie Denis Guillec, professeur agrégé de philosophie Marie-Suzanne Bourgeade, enseignante-chercheuse retraitée de l’université Georges Sorais, Professeur de mathématique/Sciences physiques Jean-Claude Villanueva, psychologue clinicien, chargé d’enseignement à l’Université de Montpellier Christophe M. Dubois, ancien chercheur à l’Institut d’études européennes de l’Université Catholique de Louvain, ancien attaché de cabinet ministériel Sylvie Lasserre, PhD, grand reporter Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise Gérald Sawicki, professeur agrégé et docteur en histoire contemporaine Sébastien Aubert, normalien, professeur agrégé de génie mécanique Dominique Arnaud, ingénieur retraitée du corps de l’industrie et des mines, Autorité de sûreté nucléaire Michel Doucet, ingénieur chercheur retraité du CEA Alvaro Buero Buoro, géophysicien Cathy Brunel, microbiologiste Michèle Florquin, biologiste Belgique Guylain Cabantous, vice-président de CPAM, membre de la commission exécutive CGT Santé Action Sociale Anthony Boccaletti, Astronome, Directeur de Recherche au CNRS Patrice Petit Directeur de recherche CNRS Sylvie Mellet, Directrice de recherche au CNRS Benjamin Thomas, ex-Ingénieur de Recherche CNRS Jean Cabane, professeur de médecine à l’Université Paris VI Stéphanie Auzoux-Bordenave, Maitre de conférences en Biologie à Sorbonne-Université Christian Ghasarian, Professeur à l’Institut d’ethnologie de l’Université de Neuchâtel Suisse Damien Lacroix, Professeur de Biomécanique à l’Université de Sheffield Grande Bretagne Jean-Vincent Loddo, Maître de conférences à l’Université Sorbonne Paris Nord Sandrine Dubel, maîtresse de conférences HDR à l’université Clermont Auvergne Bruno Poucet, Directeur de Recherche Emérite au CNRS, Neurosciences Samuel Bates, Professeur de sciences d’économie à l’Université d’Angers Pascal Vrignat, maître de conférences à l’Université d’Orléans Maxence Bailly, Maître de Conférences HDR Aix-Marseille Université Michèle Monte, professeure émérite à l’Université de Toulon Laurence Cousin. Docteur en Mécanique. Ingénieur-Chercheur CEA Yves Limoge, Directeur de recherches du CEA, docteur d’État en Physique Olivier Poinsot, Juriste en droit de la santé, Chercheur associé à l’Université de Lyon 3 Alain Jacquot, économiste et statisticien Mariane Borie, Docteur en philosophie Hubert de Foresta, ex Chargé de Recherche à l’IRD Serge Carfantan, docteur agrégé de philosophie Alexandre Gonzalez Professeur agrégé de chimie Pierre Guidicelli, Agrégé Sciences physiques Herve laloy, docteur et professeur de phosophie Stéphane Wojnarowski, ingénieur et sociologie Jean-François Briefer, Docteur en psychologie, Psychologue Joëlle Goudineau, Université Côte d’Azur Julien Ogereau, docteur en Sciences Humaines, chercheur à l’Université de Vienne Autriche Etienne Vernaz, physicien, ex Directeur de Recherche au CEA et professeur à l’Institut National des Sciences et Techniques Nucléaires INSTN Vivien Vergès, Ingénieur d’étude à l’ENS de Lyon Jean-Luc Stigliani, maître de conférences à l’Université de Toulouse 3 William Sassi, Géologue, Dr. Université d’Orsay, HDR Université Cergy-Pontoise Jean-Pierre Fleury, docteur en sociologie Michel Simon, maître de conférences retraité de l’université Paris Diderot, Paris 7 Chantal Duprez, maitre de conférences en physique, retraitée de l’université de Lille Renaud Bouchard, docteur en économie EHESS Annette Lexa, Docteur en Toxicologie, Evaluateur de risque en santé environnement Jacques Durand, Docteur es Sciences, Chercheur au CNRS retraité Marie-Hélène Tandonnet, Agrégée ès Lettres, Chargée de mission MESR Maurice Margenstern, professeur émérite de l’Université de Lorraine Jean-François Matteudi, docteur en anthropologie sociale et culturelle Marion Feledziak, docteure en sciences et professeure de chimie en Haute Ecole à Bruxelles Belgique Karine Bénac-Giroux, maîtresse de conférences HD Hervé Janecek, Docteur Vétérinaire, chercheur en biophysique Jean-Yves Monnat, biologiste en retraite Charles Alunni philosophe ENS Denis Lemercier, Maître de conférences HDR de psychologie Franck Bourges, ingénieur en Datascience, données statistiques de santé Dominique Santens, professeur agrégé de génie électrique, école d’ingénieur ENSEA puis université de Valenciennes Eva Lavaud, Pharmacien, docteur en immunopharmacologie et immunotoxicologie Yoann Dumel-Vaillot , Docteur en philosophie, chercheur Jean-Pierre Desmoulins Ingénieur, professeur agrégé de génie électrique Valérie Riou, enseignant-chercheur à l’Université d’Evry Val d’Essonne Marie-Christine Hazaël-Massieux, Professeur des Universités, retraitée d’Aix-Marseille Université Marie-José Arnoux – Enseignante Chercheur en Chimie en école d’ingénieur à Lyon Hubert de Bon, agronome, retraité du CIRAD Hélène Vivien, maître de conférences de mathématiques retraitée Alain Baguet professeur honoraire de sciences physiques Jean Defrenne, Docteur d’Etat es Science; professeur d’Université retraité Robert Arrieux Professeur des Universités retraité de l’Université Savoie Mont Blanc Vincent-Marie Bonaldi, Médecin, Docteur en Sciences, Habilité à Diriger les Recherches Michel Pocchiola, Professeur, Institut de Mathématiques de Jussieu, Sorbonne Université Alain Wurtz, MD, PhD, Professeur Émérite de Chirurgie Thoracique, Université de Lille Jean-Marc Kérisit, ingénieur, docteur en intelligence artificielle Maurice Mahieu, ingénieur d’études retraité INRA Pierre Sochala, docteur ingénieur, chercheur en mathématiques appliquées Jean-Pierre Meeschaert, Professeur en sciences de l’information et de la communication Université Lille III et Université de Valenciennes Joëlle Vernet, docteur en médecine, université Claude Bernard, Lyon Christian Véron, Docteur en chirurgie dentaire, habilité à diriger les recherches, Université de Lille Romain Telliez, Maître de Conférences Histoire, Université Sorbonne-Université Paris André Eberhardt, Retraité. Professeur des Universités Gérard Monnier-Besombes, Biologiste, Député européen honoraire Gilles Sene, professeur agrégé de Sciences de la vie et de la terre, et chercheur Dana Martin-Steinbrück, maître de conférences à l’Université Clermont Auvergne Bruno Riondel, Docteur en Histoire, professeur Aubeline Vinay, Professeure des Universités, Psychologie clinique du lien social Jean-Rémi Lapaire, professeur de linguistique, Université Bordeaux Montaigne Bernard Anselmetti, Ancien professeur des universités, Université Paris Saclay Dominique Messineo, Maître de conférences en histoire du droit à l’Université d’Orléans Catherine Lucquiaud, PhD, Ingénieur de recherche INRIA Carole Waldvogel, ingénieure de recherche en sciences sociales, Strasbourg Hélène Bregani, psychologue retraitée, Université de Genève Suisse Gilbert Klam, professeur retraité de mathématiques, INSA de Strasbourg Sophie Evrard, Médecin généraliste et médecin régulateur Samu Françoise Baunaure, Pharmacien hospitalier interdiction d’exercer et Docteur en Parasitologie moléculaire Laurent Jacquemin, médecin psychiatre au centre hospitalier de Digne-les-Bains Guy Mazairac, chirurgien-Urgentiste Camille Besch, médecin Hélène Riot, pharmacienne hospitalière, diplômée en Pharmacologie et Pharmacodynamie Stéphanie Dor, docteur en pharmacie Annette Le Quang, médecin psychiatre Alain Gressard médecin retraité des hôpitaux de Lyon cardiologue Jacques Soufron, chirurgien viscéral. Frédéric Vernerey, médecin anatomopathologiste Marlène Charpentier, psychologue clinicienne Marie Victoria Josson, médecin retraitée Sophie Conord médecin spécialiste Docteur Alain Butnaru, Docteur en Médecine Jean-Marie Lupart, médecin psychiatre en retraite Nadia Fernandez, médecin Stéphanie Cordelier, psychologue clinicienne Jean-Yves Colin, psychiatre cessation d’activité Valérie Durand, Cadre de Santé Suspendue Juliette Lombard, chirurgien, démissionnaire du CHU de Nancy Anne-Sophie Wurtz, Hépato-gastro-entérologue, Médecin du sport Nina martin, infirmière Corinne Mayer, Médecin de Prévention à la retraite Florence Leiros, sage-femme Dupont Véronique, Médecin Retraitée Valérie Servajean, ergothérapeute Marie-Paule Cabrol, médecine interne maladies du sang Marie-Odile Meyer, cadre de santé infirmier Alexis Billes, Docteur Vétérinaire Gilles Gauzeran, Chirurgie- Dentaire Séverine Roquain, médecin Martine Durieux Médecin généraliste Maud Charvieux, psychologue clinicienne Jean Eric Bouché-Pillon, Vétérinaire Caroline Terrenoir, docteur en médecine, retraitée Denis de Valmont, Médecin généraliste François de Chabalier, Médecin, psychiatre, épidémiologiste Laura Kuster-Besnier, Orthophoniste et docteur vétérinaire Gwendal Le Boité, infirmier en santé mentale et addictologie Bernadette Barral-Baron, infirmière territoriale Valérie Leclerc, vétérinaire Isabelle Ducrocq, ostéopathe Léa Goldberg, Médecin Pierre Flouck, médecin anesthésiste intensiviste Suisse Isabelle de Lorme, pédopsychiatre, psychothérapeute Pascale Miniou, Docteur en Médecine André Girier, Pédiatre Christian Escafre, Psychiatre Jean-Baptiste Mouzet, médecin généraliste Martine Thomas, ex cadre de santé, enseignante en IFSI Cristina Sans, psychothérapeute Frédérique Giacomoni, Psychiatre-Psychothérapeute Dominique Leiber, médecin généraliste Sandrine Vanlaethem, ex infirmière Regazzi Christine, sage-femme suspendue Eric Saintilan, Masseur Kinésithérapeute suspendu Cristian Ionescu, Masseur-Kinésithérapeute suspendu Fabian Dortu, docteur en sciences physiques appliquées, chercheur en optique appliquée au diagnostic biomoléculaire Nathalie Allain, Médecin spécialiste Michelle Camelin, médecin généraliste Guy Etelage, médecin généraliste Christine Boisserie, ostéopathe Sylvianne Honorez, infirmière, enseignante en soins infirmiers Belgique Christelle Sinoquet, agents des services hospitaliers qualifiés suspendue Claire Chanu, Chirurgien-dentiste Marie Radigois, Médecin psychiatre Geneviève Chéreau-Lazdunski, pédiatre Laugier Yvette, infirmière Claudine Asencio, infirmière puéricultrice Aîssa Sanogo, médecin vasculaire Anny Augé, infirmière Élisabeth Auzel, infirmière de bloc opératoire Morel Sebastien, pharmacien Philippe Collomb, psychologue Marie Nivault, psychologue suspendue Hélène Godefroi, docteur en Médecine Caroline Durolek, médecin généraliste David Durolek, médecin généraliste Jean Gouézo, médecin généraliste Martine Fargier, retraitée infirmière hospitalière Jean Michel Segur, médecin Thierry Gibergues, médecin Bernard Fontes, médecin anesthésiste réanimateur retraité Valérie Météier, psychologue Janick Wysocki, Infirmière Astrid Dreyer kinésithérapeute suspendue Nathalie Péronnet Salaün, médecin généraliste Martine Steck, infirmière Antoine Chevalier, thérapeute Jean-Claude Aubry, docteur en médecine, spécialisé en radiologie et imagerie médicale Anne-Marie Roudot, orthophoniste suspendue Sylvère Caron, Kinésithérapeute Ostéopathe Michel Angles médecin généraliste suspendu Denys Holder, infirmier suspendu Docteur Bernard Fauchère, anesthésiste réanimateur retraité Agnès Perier, Infirmière Nicole Karsenti, Médecin Nutritionniste Isabelle Titti Dingong, médecin pédiatre Jean Pierre García, médecin généraliste Marie-France, Alessandri physicienne médicale Louise Claverie, médecin gynécologue Mohamed Khelif, pédiatre Lydia Bourriez, ex Agent des Services Hospitaliers en EHPAD Marie-Line Allard, kinésithérapeute Frédérique Paquet, Chirurgien-dentiste Michel Malige, infirmier de secteur psychiatrique Sofia Cotta, professionnelle de santé Ariane Bilheran, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie Lionel Suchet, kinésithérapeute ostéopathe Sandrine Bascoul, Psychologue Marie-Clotilde Hemery-Legrain, thérapeute, orthophoniste Gonthier Murielle, masseur-kinesitherapeute Cyril Lecomte, praticien hospitalier psychiatre Nathalie Avril, gériatre Natacha Stanojevic, infirmière Thierry Borg médecin généraliste Annie Bergere, aide-soignante Corinne Chesnais, Chirurgien-Dentiste Anne Vittecoq, psychothérapeute Mihaela Matei, Psychiatre Centre Hospitalier Thierry Bataille, masseur kinésithérapeute Mariette Halilaj, Masseur-kinesitherapeute Emmanuelle Jacquier, Ostéopathe Régine Hochard, aide-soignante suspendue Yves Faribault, Médecin généraliste Siham Aubry-Alaoui, Médecin généraliste Sylvie Rosset, médecin généraliste Christine Pradines, médecine du travail Clément Heinisch, psychothérapeute Nicolas Védrines, kinésithérapeute Laure Wagner, médecin psychiatre Nadine Bourgeaud, psychiatre Jeanne Maze, infirmière Stéphane Cohas. Aide-soignant Adèle Macrez, Cadre de santé à la retraite Jacques Lamothe, pédiatre Arnaud Greselin – Podologue, enseignant en biomécanique Fanny Cantono , infirmière Brigitte Gevaudan, orthophoniste Michel Soussaline AIHP-ACCHP Chirurgien Plasticien Cathy-Anne Piette Pireyn, Sage-femme Peter El Baze, Ex Médecin Attaché des Hôpitaux CHU Fanny Ecochard, Psychologue clinicienne Patrizia Chiaramello, gynécologue Dominique Le Houezec, pédiatre Réseau de Périnatalité de Normandie Margaux Chopin, aide-soignante Gérontologie suspendue Philippe Chambatte, ancien Médecin des Hôpitaux Anne Soret, médecin du travail Sylvie Monamy, Docteur en pharmacie Jean-Louis Meuric, masseur kinésithérapeute Laurence Pellegrina, pharmacien biologiste Jean-Pierre Pilet, Médecin Généraliste Philippe Seigneurin, Osteopathe Anne Cécile Bideau, psychologue France Benso, Docteur en Pharmacie Laurence Borgogno, Dr Vétérinaire Marion Lefebvre, infirmière Béatrice Vermeulen Gynéco obstétricien Brigitte Rochelemagne, infirmière anesthésiste Jean-Marc Jugand, psychologue retraité, personne qualifiée ARS Normandie Anaëlle Gaillard Infirmière Beatrice Guillaume, infirmière en addictologie, retraitée Sara Delbecque, infirmière Pascale Brun acupuncteur Martine Sochala, médecin généraliste à la retraite Michel Sochala, medecin généraliste à la retraite Marie José Teisseire, Docteur en médecine et gériatre Claire Lauffenburger, psychiatre retraitée Michel Beguier, Infirmier Karine Biarnes, infirmière Marianne Dusson, sage-femme Pascaline Provoost, Psychothérapeute Jean-Luc Humblet, Ostéopathe et physiothérapeute Lecomte Valérie, infirmière Sandrine Mastier, psychologue clinicienne Nathalie Toublanc, pharmacienne Henri Le Lan, Médecin retraité Hugo Patourel, Infirmier Fanny Heuze, anthropologue et sage-femme Belgique Catherine Vincent, aide-soignante Marie Thé Ducluzeau. Infirmière en Ehpad suspendue Yassine Benamrane, médecin anesthésiste réanimateur Thomas Sochala, psychologue hospitalier Christine Regazzi Sage-femme Marie Christine Grennerat, infirmière cadre supérieure de santé en psychiatrie Marie-France Mao, infirmière retraitée Pierrette Sourisseau retraitée hospitalière Carole Monnier, préparatrice en pharmacie suspendue Claudine Noel ex psychologue clinicienne dans les hôpitaux publics Beatrice Donot, Kinesitherapeute Valérie Le Corneur, médecin généraliste Ann Bojko, Kinésithérapeute Marc Beranger, Osteopathe Valérie Chénard, psychologue sociale et du travail Flores Maxime, Kinésithérapeute Emmanuel Thomas, médecin vétérinaire Patricia Bres, chef de service éducatif, ex Infirmière Michel Malige, infirmier de secteur psychiatrique Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute – ostéopathe Christine Girard-Blanc, ingénieur de recherche en biologie Jean-Pierre Minier, Ingénieur-Chercheur, Physique Appliquée Alexandra Delcamp, doctorante à l’Université de Bâle Suisse Jean Luc Maurin, Kinésithérapeute Patrick Besnier, Dr vétérinaire Romuald Tatard, technicien biomédical Philippe Despeyroux Pharmacien retraité Jean-luc Deconinck , psychologue Anne-Marie Hyvernaud, psychologue clinicienne Laurent Lafargue, psychanalyste Association des Psychanalyste Européens APE Marie-Pierre Monnerat Schneider, Pharmacien, PhD Christine Femmelat, infirmière Anesthésiste Ségolène Quéro-Chatelet, Chirurgien-dentiste Jules Duroch, Master en sciences pharmaceutiques Jean-Pierre Réau, professeur de mathématiques Christine Quintana, aumônier des cliniques de Montpellier Michel Tauc, directeur de recherche à l’INSERM François Ledrappier, mathématicien, Directeur de recherches émérite au CNRS Eric Mercier, professeur à l’Université de Nantes, Faculté des Sciences et Techniques Pierre Verlot, Enseignant-Chercheur Physique, Institut Universitaire de France Janine Robert-Baudouy, professeur émérite des universités, ancienne directrice d’une unité mixte INSA-CNRS en biologie cellulaire et moléculaire Yves Besançon, professeur de sciences économiques et sociales, ancien Attaché de l’Institut national de la statistique et des études économiques INSEE Thibaut Jarrosson, maître de Conférences à l’Ecole Nationale Supérieure de Chimie de Montpellier Emmanuelle Sultan, Ingénieure de Recherche en Environnement au MNHN Thierry Morvan, Ingénieur de Recherches INRAE Diane Dorelon, enseignante-chercheuse à l’Université Grenoble Alpes Pierre Arbus, maître de Conférences HDR à l’Université de Toulouse Jean Jaurès Abdessadek El Ahmadi, PhD, maître de conférences en psychologie mathématique à l’Université d’Aix-Marseille Nourédine Yahya Bey, maitre de conférences en Physique à l’Université de Tours Hubert Gallée, directeur de recherches émérite au CNRS, climatologie et épidémiologie Luc Lelièvre, sociologue Fabrice Rizzoli docteur en sciences politiques Bernard Courbot, agrégé, de mathématiques, processus stochastiques et statistique Robin Candau, professeur à l’Université de Montpellier Florian Deloup, maître de conférences, institut de mathématiques de Toulouse Nathalie Auger, MD, PhD, médecin biologiste Jean-Luc Kop, maître de Conférences en psychologie à Université de Lorraine Alain Vidal, Professeur Consultant, AgroParisTech, Membre Académie d’Agriculture de France Marie-Line Cal, économiste de la santé à l’université Luc Mampaey, Docteur de l’Université Versailles St-Quentin et ancien maître de conférences à l’Université Libre de Bruxelles Belgique Colette Camelin, Professeure émérite des universités Agnès Boutet, Maître de Conférences, Sorbonne Université Patrice Pattegay, Docteur en sociologie de l’EHESS Anne Surgers, professeur des Universités, en retraite Arnaud Chiffaudel, Chercheur physicien, ancien chargé de recherches au CNRS René Guénon, maître de conférences en microbiologie environnementaleSophie Allain, Sociologue HDR à l’INRAE Franck Waille, Docteur en histoire contemporaine, Chercheur associé au LARHRA Jean Lerbet Professeur aux universités d’Evry Val d’Essonne et Paris-Saclay Loïc Mazou, Enseignant-chercheur à l’Université de Poitiers Françoise Willmann, maître de conférences émérite, Université de Lorraine Mario Culotti, Ex professeur au CNAM Jean-Pierre Combe, ingénieur, ancien élève de l’Ecole Polytechnique Philippe Fritsch, professeur de sociologie retraité à l’Université Lyon 2 Christian Guilleminot, docteur en sciences du langage Hélène Pignot, Maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Georges Forlen, ingénieur retraité, docteur en électronique Mathias Couturier, Maître de conférences en droit privé et sciences criminelles, Université de Caen Normandie Maria Felice Arezzo, professeur de statistique à l’université de la Sapienza Rome, Italie Tony Février, enseignant en mathématiques à l’université Paris-Saclay Eric Castagne, Professeur des sciences du langage à l’Université de Reims Champagne-Ardenne Marc Vigneron Chargé de Recherche INSERM Marie-José Minassian, philosophe Fanny Pascual, maîtresse de conférences en informatique à Sorbonne Université Jean Paul Fohr, retraité Maitre de Conférences à l’Ecole d’Ingénieur de l’Université de Poitiers Michel Le Normand, ancien professeur de botanique et pathologie végétale en Ecole Nationale Supérieure Agronomique, docteur es sciences Benjamon Rondeau, maîtres de conférences en géologie à l’Université de Nantes Patrick Lehébel, docteur es sciences mathématiques, professeur agrégé honoraire Régis Gougeon, professeur de l’Université de Bourgogne Olivier Albagli Curiel, chercheur au CNRS Lyu Abe, astronome-adjoint, Observatoire de la Côte d’Azur, Université de la Côte d’Azur François Migeot, directeur de recherches honoraire en sciences du langage à l’université de Franche Comté Leslie Carnoye, maitre de conférences en économie à AgroSup Dijon Florent Pasquier, maître de Conférences HDR à Sorbonne Université, directeur du CIRET Didier Coureau, Professeur à l’Université Grenoble Alpes Youssef Serrestou, professeur agrégé à l’université du Mans Hélène Palma, maître de conférences à Aix-Marseille Université Claudie Rey, maître de conférences à l’Université de Tours Michel Mulliez, chercheur en chimie organique biologique, retraité du CNRS Michel Emsalem, professeur émérite à l’Université de Lille Nadine de Courtenay, maîtresse de conférences en histoire et philosophie des sciences à l’Université de Paris Julien Neuville, doctorant et vacataire à l’université de Caen-Normandie Sandra Schmieder, Docteur en Sciences de la Vie, diplômée de l’Université de Nice Sylvain Lebreton, chercheur post-doctoral en Histoire Mathilde Pflieger, docteure en histoire de l’art Karine Sellegri, Directrice de Recherche CNRS, Laboratoire de Météorologie Physique, Université Clermont Auvergne Lydie Venteo, docteur es science spécialité sciences biologiques pharmaceutiques Sabine Philippin, ingénieure de recherche au CNRS Jean-Claude Trap, Docteur-Ingénieur en Génie des Procédés Sébastien Larrue, maître de conférences HDR – Université Clermont Auvergne Raoul Huys, chargé de recherche au CNRS Sandra Negro, docteur en sciences biologiques diplômée de l’Université de Canterbury, Nouvelle-Zélande Michel Duru, directeur de recherche, retraité INRAE Patricia Chirot, enseignante chercheuse et directrice de recherches Michel Stanislas Professeur des Universités émérite Claude Tregnier, Docteur en psychologie, Université Paris 5 René Descartes Joel Abadie, Phd, ingénieur de recherche au CNRS Jacques Joas Dr en science des aliments, retraité CIRAD Sara Jaleco, PhD /IGGM-CNRS Montpellier Sylvie Lasserre, docteur en physique Eric Guasco, médecin urgentiste, urgences pédiatriques Patrice Guedj, médecin Anesthésiste Réanimateur Carole Lebrun, Praticien Hospitalier, Pédopsychiatre Christine Perrot, médecin pédopsychiatre retraité, ancien chef de clinique du CHU Toulouse Jeanne Sigalla, pédiatre Gerlind Gilbert, médecin généraliste Claude Swaenepoel, pédiatre Geneviève Sibold pédopsychiatre Pascal Martin, Médecin généraliste Denis Riès, chirurgien-dentiste Sonia Bonnaire, sapeur-pompier volontaire cessation d’activité Estelle de Giovanni, psychologue suspendue Julie Boisson, Orthophoniste suspendue Florence Bosse, psychologue de l’éducation nationale suspendue Jeanne-Marie Brossollet, Docteur en chirurgie-dentaire Philippe Harvaux, Président de l’AIMSIB Association Internationale pour une Médecine Scientifique, Indépendante et Bienveillante Stéphane Darteyre, neuropédiatre et docteur en recherche clinique, santé publique, innovation technologique université Claude Bernard Lyon, Polynésie Française Marie-Laure Martin-Poulet, médecin vasculaire Delphine Perche, médecin généraliste Patricia Meyer Fuhrer, Médecin généraliste, Médecin du sport Andrée-Line Ponce-Biaggini, infirmière Arnaud de Chateaubriant, rhumatologue Jean Marc Meysonnet – ex kinésithérapeute hospitalier Jean Kopp, médecin généraliste Isabelle Chaussee-Ruzzica Médecin dermatologue Jean Suignard psychologue retraité Julie Legaut, Orthophoniste Franck Dubus, Pharmacien Jean-Paul Guérard, docteur en médecine Philippe Hunaut, Ostéopathe Noëlle Girod, infirmière Auriane de Fenoyl, psychologue clinicienne Jean-Philippe Labreze. Médecin poursuivi par l’ordre des médecins Annelore Raveneau, médecin généraliste cessation d’activité Matthieu Bonnery, sage-femme suspendu Charles Pellissier, médecin généraliste retiré de la vie professionnelle par la loi d’août 2021 Marcoux Marie Kinésithérapeute cessation d’activité en août 2021 Emmanuelle Menard, infirmière responsable d’accueil de jour pour personnes Alzheimer suspendue Catherine Fernstrom, médecin allergologue retraite anticipée Kirsten Mc Murtry, chirurgien-dentiste Olivier Vautey, ostéopathe Devika Apavou, médecin généraliste Sabine de Monvallier, Médecin généraliste Elisabeth Artaud, Médecin généraliste à la retraite Sabine Prothon, infirmière Nicolas Rahmani, psychologue Florian Pailhès, diplômé en pharmacie de l’Université de Liège Belgique Dominique Bourdin, docteur en médecineNathalie Genot, infirmière sans emploi depuis le 25 novembre 2021 Patricia Henry, Masseur-Kinésithérapeute cessation d’activité Alain Drux, médecin suspendu Anne Lemlé-Le Roux, orthophoniste suspendue Catherine Thomas, infirmière suspendue Corine Lopez, psychologue territoriale cessation d’activité Marie-Claude Clair, soignante à La Réunion suspendue Véronique Bouvet, aide-soignante non renouvelée Marie-Anne Beltjens pharmacien d’officine démissionnaire Eric Loridan, Chirurgien viscéral et bariatrique en CH Véronique Boireau infirmière Parisa Azeri, Infirmière Thierry Danglot, aide-soignant Joëlle Barnabo, infirmière retraitée Valérie Jouband, cadre de santé, formatrice en travail social Pauline Roux, psychologue clinicienne exerçant en milieu hospitalier Julie Lascols, psychologue Anne Daumalin, gynécologue médicale Mélanie Audureau-Picaut, Psychologue clinicienne Sébastien Kalaydjian Pharmacien Béatrice Le Barillec, Chirurgien dentiste Jérôme Goudé Masseur kinésithérapeute Olivier Raymaekers Kinésithérapeute Marion Quinchard, psychologue clinicienne Danielle Delporte, psychiatre hospitalier Marie-José Munier infirmière Jean-Claude Sroussi, cardiologue Antonella Bertoli psychologue/Psychothérapeute Patrick Chetcuti, vétérinaire Danièle Augé psychologue-psychanalyste Vincent Bentolila, chirurgien orthopédiste à La Réunion Anne Moro L’Kaissi chirurgien infantile CHU La Réunion Sophie Augustin, médecin généraliste, La Réunion Albert Waysberg, radiologue, Nouvelle-Calédonie Marion Court médecin anesthésiste Eric Billard, Pédiatre retraité Julie Diquélou, Orthophoniste cessation d’activité Isabelle Foucher, Orthophoniste Doriane, Lpage, aide-soignante Géraldine Stevenin, psychologue, psychothérapeute Luca Oppizzi, Psychologue, psychothérapeute Clotilde Hennequin Rivoire, Psychologue clinicienne Jean-François Huet, Anesthésiste Réanimateur Retraité Ahmed Wadjinny, médecin, endoctrinologue Hélène Flouquet, médecin ophtalmologiste Frédérique Peteaux, infirmière anesthésiste Yves Lepennetier, médecin généraliste Marc Maine, médecin généraliste retraité Yvonne Lebarbier retraitée de Pharmacie Claire Pernot ergothérapeute Nathalie Klein, Pharmacien Hospitalier Frédérique Hautefeuille, infirmière Fabienne Basiletti, assistante sociale au Chu de Nantes en service de psychiatrie suspendue Elodie Tartrat, Cadre de santé Marie-José Colibeau, ostéopathe Simon Rey-Dorène, ostéopathe Estelle de Giovanni, psychologue clinicienne Christelle Chaillou, psychologue Jocelyn Astier, Psychologue retraité Noémie Scheffler, ex Kinésithérapeute Véronique Dépinoy, orthophoniste Brigitte Gevaudan, orthophoniste Marie Grandjacquet, Kinésithérapeute en milieu hospitalier, réanimation Marie-Françoise Stigliani, Pharmacienne Rebekah Rossignol, psychologue Herenui Vonsy, psychiatre Myriane Boucher, cadre de Santé Laurence Gerardin, infirmière retraitée André Arnaud médecin Généraliste retraité Catherine Billod, médecin généraliste Thierry Duclos Médecin généraliste Luc Ribeton, médecin généraliste retraité Guillaume Lemonde, Médecin généraliste Hélène Boulay Médecin généraliste Somaly Kaing, médecin généraliste Patrick Aufrère Médecin généraliste Annick Telegone Médecin généraliste Paule Pierron, Médecin généraliste Jean-Louis Puricelli – psychologue clinicien Annick Picard Pharmacien biologiste retraitée Joel Fritschy Psychologue- psychanalyste Béatrice Manceau-Meynier, médecin, ostéopathe Laurent Bauer, infimier Anthony Chauvet, Psychologue Clinicien Laïla Tomaiuolo, kinésithérapeute et étudiante en neuropsychologie Rachel Icard, Infirmière Hubert Hiron, Dr Vétérinaire Agnès Souillard, pharmacien hospitalier Françoise Portal, Psychiatre retraitée Matthieu Audureau, Psychologue Clinicien Marie Macé, infirmière retraitée Gabrielle Gothié, Orthophoniste Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue Suzette Laugier, Médecin Ariane Cassiot, psychologue P. Vidal, Psychologue et psychanalyste Nicole Robert, Psychologue clinicienne Laïla Malaga Psychologue Fabienne Le Coq, Kinésithérapeute Marie Lalfert, orthophoniste Daniel Denayrou, Kinésithérapeute, ostéopathe Sébastien Constans, Kinésithérapeute, ostéopathe Louise Quéré Psychologue-Psychothérapeute Julia Ripault, Psychologue clinicienne, Psychologue scolaire Jean-Marie Terpereau, kinésithérapeute retraité, thérapeute Jean Teisseire, Médecin généraliste Michèle Rommens, infirmière retraitée Christine Marescaux, art thérapeute en psychiatrie Beatrice Bobay Pédicure podologue Delphine Monteville, école d’infirmière Marie Pataud Pharmacienne Martine Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire retraitéePhilippe Ladouce, Docteur en chirurgie dentaire retraité Anne Planchon, Cadre de santé formateur infirmier Carole Larmanou, Kinésithérapeute Francoise Dusart, ostéopathe suspendu Célya Maury, ex-Préparatrice en Pharmacie Hospitalière Gérard Nauret, Psychologue hospitalier, psychanalyste Isabelle Donot médecin généraliste Émeline Bastide, infirmière Emmanuelle Zoratti, infirmière Anne Frouin, infirmière en EHPAD cessation d’activité Richard Laffont, Aide-Soignant Charlotte Harbeby. Aide-soignante Christine Pomer, Aide-soignante Ariane Baldacchino, aide médico-psychologique Maëlle Gajan masseur-kinésithérapeute ostéopathe Jean-Claude Hennebicq, Cadre médico-social Dr Claude Swaenepoel pédiatre Fabienne Bonnet infirmière Françoise Ferir Kinésithérapeute Sarah Wauquiez, psychologue Arnaud Bozek, Infirmier coordinateur PSDM Michel Château infirmier Irene Bretones infirmière Brigitte Lehours infirmière Chantal Piéton, infirmière retraitée Aude Lambert sage-femme Thierry Wacker, aide-soignant Juliette Jeandron, psychologue Philippe Van Acker, docteur en psychologie Petra Jarry, Psychologue clinicienne Patrick Bélier, médecin généraliste Isabelle Galy, infirmière Ghislaine Usureau, orthophoniste retraitée Clémentine Bertrand, Accompagnante Périnatale Mbapé Gwladys infirmière Patricia Goldberg infirmière Patrick Sigwalt, Psychanalyste Monique Maquik, médecin du travail en milieu hospitalier retraitée Jean-Thomas Colmant, chirurgien-dentiste à la retraite Mbapé Gwladys infirmière Martine Long, Pharmacien Biologiste retraitée Laetitia Bouvier, rédactrice médicale, biologiste de formation Marie-Thérèse Bal-Craquin, directrice de l’université libre européenne en sciences infirmières et sciences de la vie Julie Poinsot-Meininger, psychologue clinicienne OnEstEnsemble, collectif d’étudiants qui souhaite libérer la parole sur la question de la crise sanitaire et de son impact sur la santé mentale des jeunes Lucile Daumas, Chargée de projet en santé publique, prévention, promotion de la santéFrançois Caces, Médecin ORL et Chirurgie Cervico-faciale Jean-Claude Richard, ostéopathe Denis Lairon, Directeur de recherche émérite à l’INSERM Aix-Marseille Université Johan Hoebeke, Directeur de Recherches au CNRS retraité Simon Joly, Maître de Conférence en Physique, Université de Bordeaux Glenda Comai, chercheuse en biologie au CNRS Olivier Jaquet, Docteur ès sciences Jeanine Belgodere, Maîtresse de Conférences à l’Université du Havre Clément Gass, statisticien à l’INSEE Olivier Sedeyn, ENS, agrégé de philosophie, professeur Julien Bettane, Ingénieur de recherche CNRS Patrick Stocco, Biologiste et virologue retraité Vincent Lescarret, enseignant chercheur à Centralesupelec Olivier Jourdan Maître de Conférences en physique de l’atmosphère à l’Université Clermont Auvergne Fréville Patrick, Ingénieur de Recherche, Université Clermont Auvergne Patrizia Cavalli, Docteur en Economie et Gestion, Université Catholique de l’Ouest Philippe Barascud, docteur ès lettres, enseignant au lycée et à l’université Muriel Cassel-Piccot, Maître de conférences à l’Université Jean Moulin Lyon 3 Gilles Sajous, docteur en sciences de la Terre Francisco Cabello Hurtado, Docteur en Biochimie et Biologie Moléculaire, Maître de Conférences à l’Université de Rennes 1 Françoise Watteau, Ingénieure de recherche Bernadette Leclercq-Neveu, Maître de conférences à l’ENS retraitée Evelyn Freney, chercheuse au CNRS, Université Clermont Auvergne Jérémie Seguin, Docteur en Neurosciences Julien Lapichella, Docteur en Chimie Jean Pouzat, biologiste, professeur retraité de l’Université de Tours Jean-Marie Lacrosse, sociologue, professeur émérite des universités Belgique Sandrine Stanislas, Docteur en chimie Fabrice Alliot Ingénieur, EPHE, Sorbonne Université Dominique Delmaire, enseignant-chercheur à l’Université Lumière-Lyon 2 Murielle MATUS, doctorante au CNAM Anne Carbonnel, enseignante chercheure en Sciences de gestion à l’Université de Lorraine Muriel Briançon, Maîtresse de conférences HDR, Université Catholique de l’Ouest à La Réunion Philippe Couraud, Docteur ingénieur en agro-économie Nadège Pandraud, sociologue, maître de conférences à l’Université de Lille Viviane Ridard, Enseignante universitaire Yann Henry, Enseignement Supérieur, Biochimiste – Microbiologiste Jérémie Kroubo Dagnini, Docteur d’Etudes anglophones, enseignant à l’Université d’Orléans Sarah Berndt, Docteur en Sciences Biomédicales et Pharmaceutiques Michèle Minet, Généticienne Enseignante Chercheuse à l’Université Paris VI, Guy Genevois, Psychologue, Maître de conférences honoraire des universités, retraitée Anne-Sophie Armand, enseignant chercheur à l’université de Paris en Biologie cellulaire Frédéric Soulié, ancien psychiatre des hôpitaux, ancien chef d’un pôle de psychiatrie Docteur Jean-Pascal Medurio, Praticien Hospitalier-Psychiatre des Hôpitaux Marie-Joëlle Haardt, médecin spécialiste Endocrinologue – Diabétologue Constance Yver Elleaume Médecin Soins Palliatifs Michèle Clément, médecin anesthésiste Bruno Barroso, Neurologue. P H. Centre hospitalier Serge Bellet, Médecin généraliste Alain Coiffard, Médecin généraliste Judith Rémy, médecin cardiologue François-Xavier Clément Anesthésiste retraité Pierre Matthieu, médecin généraliste retraité Sybille Burtin, médecin spécialiste de Santé Publique Vanessa Rigault, directrice d’établissements et services médico-sociaux Jehanne Van Wynsberghe, médecin pédopsychiatre en Belgique Patrick Fonvielle médecin généraliste Myriam de Dinechin sage-femme Geneviève Fribourg-Blanc, médecin retraité Philippe Dubar, chirurgien-dentiste Philippe Fleury, médecin radiologiste François-Marie Tanazacq, Médecin généraliste Nadine Lebrun, psychologue clinicienne Agnès Perrette Infirmière cessation d’activité Natacha Galet Psychologue Clinicienne mise à pied Julia Normand, psychologue clinicienne Agnès Legras, docteur en chirurgie dentaire François Richard, médecin généraliste retraité Belgique Arnaud Huboud-Peron, Chirurgien orthopédiste praticien hospitalier suspendu Christophe Julian, chirurgien-dentiste Elisabeth Le Guen-Barazer, pédiatre Elise Gérard, médecin généraliste Olivier ANNE, Neurologue Hélène Beaumont – Psychomotricienne Magali Gondal, psychomotricienne en arrêt Isabelle Leotard masseur kinésithérapeute Bruno Thezier, masseur kinésithérapeute radié Alain Lecavelier, docteur vétérinaire, ancien chef de service santé et protection animale Laurent Damiens Psychothérapeute Hélène Prins, psychothérapeute Clémence Leconte Orthoptiste Laurence castes, infirmière Lionel Reisdorffer, Docteur vétérinaire Cécile Torro, infirmière Catherine Jaeger Both, Psychologue – Psychothérapeute Suisse Isabelle Grange, masseur kinésithérapeute cessation d’activité Nathalie Jezegou, infirmière Lorys Elmayan, ancienne carde de l’industrie pharmaceutique, patiente-experte VIH Germain Lasterade masseur kinésithérapeute Bénédicte Paillard masseur kinésithérapeute Christophe Moorghen, Masseur Kinésithérapeute cessation d’activité Dominique Guilhaumon, Orthophoniste Sylvie Blanc Chirurgien-dentiste François Lhuisset, chirurgien-dentiste, ancien assistant de biophysique à la faculté de Paris Catherine Coblence, ancienne sage-femme et thérapeute Annie Benrhamous, Docteur en pharmacie Christèle Randon, infirmière Nadine Maillet, infirmière Dorothée Lopes, psychologue clinicienne en EHPAD Patrice Burgot Ex Aide-Soignant Patrick Perreard, Masseur-kinésithérapeute Valérie Peyraud-Gilly, ophtalmologiste suspendue Anne Duche, masseur kinésithérapeute Anna Cobbett, infirmière Frédérique Galaup, assistant dentaire Marie-Madeleine Bonaldi, psychologue Sylvie Malfroid, Masseur-kinésithérapeute Vincent Di Piero, psychologue clinicien Chahra Darfilal, Docteur en médecine Marie-Laure Rémézy, Docteur en pharmacie Claire-Anne Bordier, ostéopathe, Neuchâtel Suisse Philippe Jullian, infirmier Emmanuelle Portha, Ostéopathe Valérie Henry, psychologue clinicienne Bernadette Lucas, psychologue clinicienne Nadine Maillet, infirmiere Morgane Bardouil – Infirmière E-M Westphal, infirmière Joelle Piedquin infirmière Groupe Hospitalier Régional Florence Duvigneau, infirmière en pédopsychiatrie suspendue Frédérique Faure Psychologue Florent Daujat, Ostéopathe, masseur-kinésithérapeute Isabelle Idrac, professionnelle du secteur médico-social cessation d’activité Lise Rebattu, orthophoniste Lina Bourgeois, orthophoniste Véronique Larrauffie, infirmière suspendue Catherine Favre, docteur en biologie, psychologue clinicienne Malika Lounis, médecin, médecine physique et de réadaptation Bénédicte Herbez, chirurgien-dentiste Chatain Valérie, Thérapeute Catherine Sabre ostéopathe Véronique Billeret, docteur en médecine Françoise Montpeyroux, Médecin de Santé Publique Simone Bassinot Médecin Esmeralda Virlan, endocrinologue cessation d’activité Stephanie Roguet sage-femme Anne-Marie Georget kinésithérapeute Mathilde Baissac, orthophoniste Justine Muffat, Kinésithérapeute Nathalie Mosnier, Psychomotricienne dans la fonction publique hospitalière suspendue Hubert Debiolles, Médecin gynécologue obstétricien Franck Pisiaux, Kinésithérapeute ostéopathe Elisabeth Pellenq-Zemek, Médecin généraliste et régulateur libéral suspendue Michèle Clévy médecin généraliste retraitée Nicole Verdier, médecin du travail Gabrielle Seynave kinésithérapeute Eve Marty, psychologue clinicienne Romuald Caquiere, Psychologue Clinicien – Psychothérapeute Bruyat Sylvain Infirmier Géraldine Morel-Paulme Sage-Femme Caroline Mathis, kinésithérapeute Martine Migaud, médecin et acupunctrice Jolanta Amouyal, psychologue clinicienne et psychologue du travail Jacqueline Foriel, Préparatrice en Pharmacie Hospitalière suspendue Nicole Belin cadre de santé à la retraite Aurélie Bragagia, kinésithérapeute Charlotte Adenot, Infirmière Isabelle Ledig, infirmière Geneviève Fonvielle orthophoniste Anne Robert, directrice de recherche au CNRS Cécile Bourdais, Maîtresse de conférences à l’Université Paris 8 Pascal Bussy, Professeur de Mécanique à l’Université de Picardie Yan Gerard, maitre de conférences à l’Université Clermont Auvergne Valérie Vidal, chercheuse en biologie à l’INSERM Sabine Kraus, chercheur en histoire des sciences Xuxia Wang, chargée de cours à Sorbonne Université Isabelle Dangeard, Maître de Conférences en Sciences de Gestion à l’Université de Bretagne Occidentale Victor Dupuis, enseignant-chercheur post-doctoral à l’Institut Technologique de Karlsruhe Allemagne Emmanuel Carre, Docteur en sciences de l’information Bruno Maurer, professeur des Universités en Sciences du langage Montpellier 3 et Professeur ordinaire Université de Lausanne Florian Fouchet, technicien de recherche au département pharmacie de l’Université d’Angers Richard Hubert, chirurgien-dentiste, ancien président du Revih49 réseau ville-hôpital VIH Florence Langendorff, Docteur en psychologie clinique, ex psychologue clinicienne à l’AP-HP Henri Kotobi, Chirurgien pédiatre Josiane Martelin, Pharmacienne Nadine Charbonnel, médecin généraliste Samuel Belloir, médecin généraliste Véronique Ferry-Christin Masseur-kinésithérapeute Karine Godefroy, Cadre de Santé Karine Albernhe, Pédopsychiatre Jean-Marie Menin, infirmier Bénédicte Chauvelot, psychomotricienne Marie Bonnard Infirmière Bernard Maillat, médecin gynécologue obstétricien retraité Geneviève Soulas, médecin dermatologue retraitée Marie Lains Médecin gériatre Catherine Tran Kiem médecin du travail Claudette Barallier, sage-femme interdite d’exercer François Martin vétérinaire Cécile Chailloux, psychomotricienne, thérapeute Sofia Soual infirmière en EHPAD Morgane Maurel masseur kinésithérapeute cessation d’activité Alain Gibily médecin généraliste Valérie Dejaune, chirurgien-dentiste Claire Bossard masseur kinésithérapeute Frédéric Ronsse, Masseur-Kinésithérapeute Danielle Gomaris, infirmière retraitée Marcel Derrier, Médecin anesthésiste retraité Nathalie Bonnefoy, directeur de recherche au CNRS, génétique et microbiologie Carole Groussard, Maitresse de conférences HDR à l’Université Rennes 2 Marc Devillard, Chargé de Recherche en Chimie, Université de Rennes 1 Marina Bély, enseignante-chercheur à l’Université de Bordeaux Sarah Zorman, docteur en biologie moléculaire Athanasia Bara, économiste historienne doctorante en Histoire CRH Alain Maskens, docteur en médecine, agrégé de l’enseignement supérieur Belgique Spyros Marchetos, historien, professeur adjoint à l’Université Aristote de Thessalonique Grèce Mohan Ranganathan, Professeur des Universités, Tours Sylvie Monchatre, sociologue, professeure à l’Université Lumière Lyon 2 Gilbert Hervé, chimiste, professeur Université retraité David Le Roux, maître de conférences à l’Université Rennes 2 Philippe Guillemant, physicien, Ingénieur de recherche au CNRS Jeanne Mallet, Harvard, Professeur émérite des universités Pascal Guillot, historien, Université Versailles Saint-Quentin Christophe Pébarthe, maître de conférences en histoire grecque, Université Bordeaux Montaigne Anne Sylvie Ehrensperger, biochimiste, retraitée de l’Université Claude Bernard de Lyon Cécile Folschweiller, agrégée de philosophie, maître de conférences à l’université Jacques Luzi, Maître de conférences, Critique sociale, Université de Bretagne-Sud Alain Sergent, Enseignant-Chercheur à l’Université Savoie Mont Blanc Jean-Luc Peiry, professeur des universités, université Clermont Auvergne Esra Aykin, doctorante à l’Université Gustave Eiffel, Marne-la-Vallée Henri Louis Go, MCF-hdr, université de Lorraine Bianca Botea, Maîtresse de conférences HDR en anthropologie, Université Lyon 2 Franck Olivier De Winne, médecin anesthésiste réanimateur Catherine Deshays médecin psychiatre Lucie Dinh, Docteur en médecine, médecine générale Gwendolyn Angélis, directrice d’une résidence autonomie suspendue Marc Mozès, Chirurgien- Dentiste Jennifer Bailly, infirmière suspendue Sophie Dessauvages, aide-soignante Monique Bourdais, médecin territorial retraitée Cyril Sala, aide-soignant Jean-François Terrasse, docteur, Pharmacien Geoffrey Janier-Dubry, Ostéopathe Erik Lafon, Médecin Lucien Ristorcelli, Docteur en Pharmacie Juliette Crosnier, Médecin du travail en retraite Claude Deroussent, Médecin Généraliste Frédérick Gallas, masseur kinésithérapeute en milieu hospitalier suspendu Emmanuelle Cristiani, infirmière Fabienne Chesnais, infirmière Valérie Thoral, infirmière clinicienne Barbara Leguy, aide-soignante Marielle Jaën, sage-femme Odile Cazes Laurent, psychomotricienne Natasha de Félice, aumônier santé en charge de 5 Ehpads suspendue Serge Lainé, Ophtalmologiste Sylvie Eslan, Infirmière puéricultrice Pascale Fouratier, pharmacienne Nolwenn Battistini, infirmière anesthésiste Marie Verdier, infirmière retraitée Rachid Khelifi, Psychologue, docteur en psychologie cognitive Catherine Ruyssen Pédiatre Belgique Catherine Vincent aide -soignante retraitée Sylvie Descriaud, Chirurgien-dentiste Evelyne Vercruyssen, infirmière en psychiatrie retraitée Emmanuel Daigneau, Ostéopathe Aurélie Tur Moreno Psychologue Vincent Chazalnoël, Médecin généraliste et acupuncteur Claire Delattre, Sage-femme Anne Meunier, Masseur-Kinésithérapeute Magali Garric, aide-soignante Pascale Nau, pharmacienne Ann Bojko, kinésithérapeute Florence D’Olier, Sage-femme en retraite Marie Laure Pommier, aide-soignante Charlotte Laffont, orthophoniste Joubaud infirmier Pierrette Lavezzi, cadre de santé, infirmière puéricultrice et formatrice en soins infirmiers Aurélie Saulnier, éducatrice spécialisée dans le médico-social Eveline Jaumary-Lapeyre Docteur en science politique et actuellement avocat Émilie Gey, ostéopathe Jean-Baptiste Tollet, masseur kinésithérapeute et ostéopathe Lydia Vincent, préparatrice en pharmacie hospitalière Emmanuel Daigneau Ostéopathe Séverine Laye, infirmière suspendue Nathalie Auger, Maîtresse de conférences en chimie à l’Université de Rennes 1 Michel Tauc, directeur de recherche INSERM Anne Fremaux, agrégée de philosophie, Docteure en écologie politique Mickaël Laguerre, docteur en chimie François Schar, Docteur en Pharmacie, intervenant à l’Université de Besançon Gaëtan de Lacheze-Murel, Ingénieur – Chercheur au CEA et à l’Institut Louis de Broglie Thierry Canler, Ingénieur en sûreté nucléaire Christine Saint Léger, Ingénieure en Chimie-Biologie Nadège Peron, Ingénieure en biologie Michel Lafon, Ingénieur d’études au CNRS retraité Hervé Boukari, physicien, chargé de recherche au CNRS Anne-Emmanuelle Monnier, professeur de philosophie Claire Monceret, docteure en Littératures comparées et pompier volontaire suspendue Henri Eckert, Professeur émérite de sociologie à l’Université de Poitiers Boris Bertin, Docteur en droit de l’Université Jean Monnet de Saint Etienne Olivier Di Giovanni, Saint-Cyrien, ancien élève de Sciences-Po Paris, professeur de philosophie et de littérature Marie-Françoise Barme, maître de conférences en Mathématiques à l’Université de Lille Mauro Armanino, anthropologue Colette Valero, Ingénieur au Centre National d’Etudes Spatiales CNES Juliette Létoquart, docteure es sciences Olivier Saint-Martin, enseignant-chercheur à l’Université de Rouen Paul DIRKX, professeur de littératures francophones à l’Université de Lille Philippe Longchamp, sociologue, professeur ordinaire à la Haute École de Santé de Vaud Suisse Florent Bertinotti, Doctorant en Sociologie à l’Université Evry Paris-Saclay Bruno Couderc, Docteur STAPS, Enseignant à l’Université de Rennes 2 Yulia Akutina, chercheur au Karlsruhe Institute of Technology Allemagne Patrick Stocco, biologiste et virologue retraité Denis Peyrat, Ancien Directeur d’un Établissement Public de Recherche, Historien de la médecine Sébastien Ménard, économiste Catherine Hubert, Statistique et Applications biomédicales, Université de Paris Jean-Pierre Combe, PhD, ingénieur, ancien élève de l’Ecole Polytechnique Nathalie Blanc, maitre de conférences à l’université Claude Bernard Lyon 1 Yann Kilborne, maître de conférences, Université Bordeaux Montaigne Sébastien Ménard, économiste Françoise Duthu, économiste et ancienne députée au Parlement Européen Maria Werdenberg. Docteur en Sciences Biologiques et docteur en Psychologie Gerard Horta, Dr. en anthropologie sociale et professeur à l’Université de Barcelone Catalogne Pierre Gauthier, ingénieur, retraité du ministère de l’agriculture Isabelle Schuffenecker, docteur en médecine Hélène Bordei, médecin anesthésiste réanimateur à l’hôpital de Colmar cessation d’activité Denis Chazerans, médecin généraliste Lydie Thibault infirmière Fabienne Huret, psychologue clinicienne Isabelle de Lorme, médecin Béatrice Georget-Tard, médecin Julie Zaccaï médecin vétérinaire Belgique Isabelle Guinhut, masseur kinésithérapeute suspendue Didier Plagnol, Psychiatre, Psychanalyste, ancien Expert-Visiteur de la HAS Marie Coisnon, kinésithérapeute Nathalie Clerc, infirmière suspendue Gabriel Marion, psychiatre psychothérapeute Laura Sadowski, Psychologue Carole Auberger, psychologue en Centre médico-psychologique Thibaut Manifacier, docteur en médecine, assistant spécialiste des hôpitaux Claire Mastalski, psychologue clinicienne et psychothérapeute Jean-François Lafay, Docteur Vétérinaire Serge Bernstein, médecin Julia Ripault, Psychologue clinicienne dans l’Éducation nationale Fabienne Bâcle, Psychothérapeute Anne Schaub-Thomas, Psychothérapeute Philippe Cayrel, médecin généraliste retraité Sophie Bel, médecin généraliste, gériatre Aurore Chmith, infirmière Philippe Hoyois, docteur en Médecine Vétérinaire Tommaso Cornali, infirmier Georgina Aslanidis médecin Sylvie Châtelet Brasseur médecin retraitée Sophie Ronsin, Psychologue clinicienne Syndie Faurie, psychologue clinicienne Regina Koehler, Psychologue clinicienne Eric sicard ostéopathe Danièle Comte, rhumatologue Pascale Noel, Infirmière Helfenbein, Chirurgien-dentiste Christine Letz, Psychomotricienne en CMPP suspendue Antoine Zabollone, Kinésithérapeute, Ostéopathe Patrizia Chiaramello, médecin Gynécologue Bénédicte Leclercq, masseur-kinésithérapeute arrêtée Sophie Loço, éducatrice en Institut médico-éducatif Rebecca Bardet, masseur kinésithérapeute et formatrice Sébastien Bouchardy, ostéopathe Catherine Bang Coffournic, psychanalyste Alain Herbecq, diplômé de physio-nutrition Alain France, Radiologue, retraité de la fonction publique Aurore Schmitt, anthropologue et archéologue, directrice de Recherche au CNRS Paul Héroux, Professor of Toxicology and Health Effects of Electromagnetism à la McGill University Medicine Canada Hélène Massip, enseignante à l’université François Berteloot, Mathématicien, professeur à l’Université de Toulouse Yves Floucat, Maître de conférences émérite à la Faculté de philosophie de l’Institut Catholique de Toulouse Michèle Teboul, Professeur des Universités en Physiologie Christian Bessy, Economiste, directeur de recherche au CNRS Mirjana Morokvasic-Müller, sociologue, Directrice de recherche au CNRS émérite David Baratoux, Géologue, directeur de recherche à l’institut de recherche Pour le développement IRD Lenka Baratoux, Chargée de recherche en géosciences à l’Institut de Recherche pour le Développement IRD Bernard Ollier, docteur en philosophie Shirley Maggie Castellanos Alva, ingénieur zootechnique Pérou Bernhard Elsner, docteur et agrégé de mathématiques, Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines UVSQ Anne-Marie Yim, docteur en chimie organique Salvatore Maugeri, docteur en sociologie Luc-Michel Mazenq, docteur en sociologie Jean-Charles Lévy, Agrégé de lettres, enseignant de communication à l’université Marion Laporte, PhD, Post Doctorante, Muséum National d’Histoire Naturelle Jean Potiron, pédiatre et épidémiologiste, Hôpital universitaire de Terrassa Catalogne Tiziana Pitton, psychologue Gilles Delassasseigne, psychologue Lucien Privet, médecin Paul Wulleman, Médecine interne – Pneumologie Marie Paule Cabrol médecin interniste hématologue retraitée Rose Marie Ragot, médecin, gériatre Patrice Pezet, médecin, cardiologue, ancien attaché des Hôpitaux de Paris Laurent Lagarrigue, podologue Olivia Darne-Micaelli, infirmière Claire Triquenot, infirmière Monique Pineau, infirmière en CHU Noelia Pavón Tercero, infirmière en soins intensifs EspagneJean-François Llauro, masseur kinésithérapeute Marielle Vicet, Docteur en psychanalyse et Psychopathologie, Victimologue Jean-Louis Bene, docteur en médecine, médecin du travail, Biologie et médecine du sport Jacqueline Darne, retraitée de la fonction hospitalière Alain Darne, retraité de la fonction hospitalière Ivonne Leukhardt, Kinésithérapeute Hôpital Public Françoise Riedlinger, médecin généraliste Marie-Christine Cudicio, médecin généraliste Bernard Pigier, médecin généraliste Karine Thory, psychomotricienne en EHPAD et service de soins à domicile Hélène Astuguevieille, médecin retraité Didier Van Hecke, Masseur Kinésithérapeute Retraité Sofian Mzari, Pédicure Podologue Guillaume Maljournal, chirurgien-dentiste Stéphane Jansegers, formation de Biologiste des individus et populations, Université Catholique de Louvain-La-Neuve Belgique Christophe Peschoux, Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, Genève Suisse
Livresrecensés . en 2001* en 2002 * en 2003 * en 2004 * en 2005 * en 2006 * en 2007 * en 2008 * en 2009 * en 2010 * en 2011 * en 2012 * en 2013 * en 2014 * en 2015 * en 2016 * en 2017 * en 2018 * en 2019* en 2020]Présentation plus détaillée à partir de 2002 ] 2001 . Janvier . Marie-Anne Couderc, Bécassine inconnue, préface de Jean Perrot, CNRS éd., 02.2000, 993BEF.
Il y a cinq ans, l’Étoile Rouge vendait pour 15 millions d’euros plusieurs joueurs formés au club. Nés pour la plupart en 1996, certains étaient considérés comme des cracks ». Où en sont-ils maintenant ? On vous donne de leurs nouvelles. Luka Jovic On commence par LA star. Bien qu’il ne soit pas né en 1996 comme la plupart de ses camarades, mais en 1997. Plus jeune buteur de Zvezda à 16 ans, cinq mois et cinq jours, il est parti à Benfica alors âgé de 18 ans, contre un peu plus de deux millions d’euros. Prêté à L’Eintracht Francfort pour retrouver du temps de jeu, il explose aux yeux du monde entier. Ses 27 buts et sept passes décisives en 48 matchs lors de la saison 2018/2019 ont convaincu le Real Madrid à dépenser 63 millions d’euros pour le recruter. Mais la concurrence, une gestion discutable de Zinedine Zidane, et des affaires extra-sportives font de son séjour à Madrid un semblant de cauchemar. Il retourne à Francfort jusqu’à la fin de la saison 2021, pour retrouver la forme et son panache. Il a déjà marqué trois buts en six matchs. Parti pour mieux revenir ? Mihailo Ristic Après 91 matchs disputés avec son club de cœur, il rejoint Krasnodar contre deux millions d’euros. Mais une blessure va freiner sa progression, et sera ensuite prêté au Sparta Prague. En perdition dans le club Tchèque, où il ne dispute que quatre matchs en un an, il retourne en Russie à l’issue de son prêt. Il sera recruté à la plus grande surprise par Montpellier quelques jours plus tard, en janvier 2019. Malgré une saison sur le banc, celle de l’adaptation, il est progressivement monté en puissance jusqu’à devenir un cadre dans le couloir gauche de l’équipe. Marko Grujic Si vous voulez un exemple parfait d’une mauvaise gestion d’un joueur, Marko Grujic est un bon cas. Liverpool l’a acheté en 2016 contre sept millions d’euros. Depuis, il a été prêté à Cardiff, au Herta Berlin, et est actuellement à Porto où il dispute des bouts de matchs. Il n’a disputé que 16 rencontres officielles avec les Reds. Le talent est là, mais pas la stabilité, ce qui l’empêche de facto d’exploser. Vukasin Jovanovic Parti au Zenit en 2016 pour deux millions d’euros, il a été prêté un an plus tard à Bordeaux, où ses prestations ont convaincu les dirigeants à acheter son contrat. Mais depuis, le manque de stabilité au club, les changements d’entraineurs et ses mauvaises copies, l’ont progressivement relégué sur la banc. C’est simple, il a disputé 0 minute cette saison, et son contrat qui se termine en juin ne sera pas prolongé. À lui maintenant de choisir le bon club pour se relancer. Filip Manojlovic On arrive maintenant aux joueurs qu’on a perdu de vue ou presque. Présenté comme le nouveau Predrag Rajkovic », Filip Manojlovic a rejoint Getafe en 2017 contre 1,25 million d’euros. Hélas, son aventure en Espagne ne se passe pas du tout comme prévu. Il n’a jamais joué la moindre rencontre avec Getafe, qui l’a prêté sans grand succès en Grèce au Panionios 11 matchs joués. Il est actuellement en troisième division espagnole, à l’UD San Sebastian de los Reyes, avec toujours zéro rencontre au compteur. Milos Stojanovic Grand espoir de cette génération, le défenseur central évolue actuellement au FK Bylis Ballsh, avant-dernier du championnat albanais, où il est titulaire indiscutable. Avant cela, il est passé par de nombreux clubs serbes dont Vozdovac qui l’a récupéré en janvier 2018, mais la marche était trop haute pour lui. De gauche à droite Luka Jovic, Milos Stojanovic, Marko Grujic MN Press Dusan Zivkovic Réputé jadis pour sa technique, le milieu offensif ne s’est jamais imposé avec l’équipe première de l’Étoile Rouge. Il passe brièvement au Spartak Subotica et au Radnicki Nis. Après presque trois ans et 59 matchs avec le Rad Belgrade, il rejoint cet hiver le Monténégro, plus précisément le FK Iskra Danilovgrad. Navigation de l’article
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